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C'est le premier travail que l'on a fait avec Malik Nejmi en 2010, en lui demandant de photographier nos clients de façon complètement libre. Cela a donné lieu à notre première carte blanche qui avait uniquement été pensée pour une édition privée. Notre intention était d'inscrire cette volonté dans le temps avec une invitation régulière, nous avons donc poursuivi l'année suivante avec Mohamed Bourouissa, la demande initiale était de photographier les supporters, il a ramené un travail très différent et pourtant ô combien intéressant; ce sont les joies de la Carte blanche PMU. La troisième année, nous avons décidé d'ouvrir cette carte blanche, en lançant un appel à candidature soutenu par un jury pour sélectionner les futurs photographes et de l'offrir au public avec une présentation au BAL. 9 lives: Comment évolue la Carte blanche PMU aujourd'hui? Comment se développe votre démarche de mécénat? B. C. : Cette démarche a grandi dans le temps. Une des évolutions majeures de cette Carte blanche a été le passage du Bal au Centre Pompidou.
20 000 euros, une exposition au Centre Pompidou, un livre aux éditions Filigranes: la Carte blanche PMU soutient la création photographique contemporaine. Entretien avec Benoit Cornu, directeur de la communication du PMU, également président du jury de l'édition 2016. Comment est née l'idée de la Carte blanche PMU qui fête son 7e anniversaire cette année? Jusqu'à la création de cette Carte blanche, nos actions de mécénat étaient essentiellement tournées vers l'hippisme et le patrimoine, donc en lien direct avec l'univers du PMU. Dans les années 2008-2009, nous avons voulu modernisation notre image, loin du cliché du parieur coiffé d'un béret et la cigarette à la bouche. Dès cette époque, nous pensions que la photographie pouvait nous permettre d'y parvenir. Grâce au téléphone, elle était en train de devenir un média du quotidien pour tous. Mais comment réunir les deux univers? Le hasard a bien fait les choses puisque que nous avons rencontré Diane Dufour et Raymond Depardon qui, à l'époque, travaillaient à la création de l'espace d'exposition du Bal.
Temps de lecture estimé: 6mins Sept mois après la nomination d'Elina Brotherus comme lauréate de la Carte blanche PMU 2017, on découvre enfin le fruit de son travail à la Galerie de photographies du Centre Pompidou. Un « double je », avec cette nouvelle exposition présentant les travaux d'autoportraits d'Elina et de son alter ego, explorant le « jeu » dans son sens le plus large. L'ouverture de « Règle du Jeu » est l'occasion pour 9 lives de revenir sur la genèse du projet, et le développement du mécénat culturel avec Benoît Cornu, Directeur de la communication du PMU. « Je ne voulais pas passer de commande, je souhaitais vraiment leur donner carte blanche et ainsi leur offrir toute liberté. » – Benoît Cornu 9 lives: Le PMU soutient la photographie contemporaine et la jeune création depuis plusieurs années. Vous êtes partenaire du BAL, de la Galerie de Photographies du Centre Pompidou et vous avez créé la carte blanche il y a 8 ans. Pouvez-vous nous parler du mécénat culturel que le PMU a mis en place dans une logique à long terme?
Kimberly Kiel est née en Saskatchewan, en 1972. Travaillant principalement à la spatule et à la peinture à l'huile, elle façonne ses tableaux aux couleurs vives d'un éventail de marques d'empâtement. Dynamique et enthousiaste, elle s'exprime à travers une multitude de sujets; forêts denses, bouquets luxuriants, concerts et grands cocktails. Kimberly Kiel - Vibrante passion Sa date et son lieu de naissance Kimberly Kiel est née en Saskatchewan, à Balgonie, en 1972. À 31 ans, elle débute sa carrière d'artiste peintre. Elle habite alors à Calgary. En 2008, appelée par la quiétude des grands espaces, elle revient s'installer dans sa province natale, où elle habite toujours. Sa formation, sa carrière Après avoir obtenu un diplôme en Finances de l'Université de Regina, Kimberly s'installe en Alberta, attirée par les opportunités de carrière qu'offre la province du pétrole dans les années '90. Elle y fonde son propre cabinet de services financiers en 1993. Après une décennie à se consacrer avec succès à cette activité, elle rêve néanmoins de changement.
Depuis toujours, son amour pour la création s'assouvit à travers la musique et la danse. Puis, la première fois qu'elle fait glisser un pinceau, qu'elle inonde un canevas de couleurs, elle vibre de sa plus grande passion. Elle vend son entreprise pour se consacrer à temps plein à son apprentissage de la peinture. Kimberly éprouve autant de joie dans le processus de peindre qu'elle en a à découvrir le résultat de son inspiration; « L'art me passionne! Pour moi, la création est une célébration de la joie et de la couleur que l'on retrouve dans la vie. » Quoiqu'essentiellement autodidacte, Kimberly a pu jouir en début de carrière de l'appui de précieux mentors. En plus de ces conseils avisés, son passage dans le monde des affaires l'a bien servi; grâce à son esprit d'entrepreneuriat et sa nature fonceuse, elle expose et vend maintenant ses œuvres à travers tout le pays. Son oeuvre, son art Le talent de Kimberly Kiel s'exprime à travers des sujets variés; paysages, fleurs, arbres et personnages.
Ensemble, faisons le tour de mes galeries préférées! Photo: Vladimir Horik, Galerie d'art Au P'tit Bonheur Photo: Kimberly Kiel, Galerie d'art Au P'tit Bonheur En mettant le pied dans la galerie d'art Au P'tit Bonheur, je suis accueilli chaleureusement par Madame Tremblay ou son père. La nouvelle collection de Sophie Paquet est arrivée! Je sais déjà, et eux aussi, que je vais avoir encore un coup de cœur. Cette immense galerie propose une expérience unique et une variété de créations artistiques auxquelles il est difficile de résister; Rémi Clark, Saint-Gilles, Vladimir Horik, Guylaine Saucier, et plusieurs autres. Après plus d'une heure à parcourir la galerie et une fois qu'une œuvre m'a conquise, Monsieur Tremblay la décroche doucement, la place devant moi et joue avec les différentes lumières qu'offre la galerie pour que je puisse admirer ses couleurs et ses textures à toute heure du jour. Sous le charme, bien que j'aie une petite pensée pour mes finances, impossible de résister. Je sais que je pourrai acquérir ma toile et la payer en plusieurs versements, au besoin, l'art est accessible.
Photo: André-Olivier Lyra Il m'arrive parfois de quitter La Malbaie pour faire une tournée des galeries de Baie-Saint-Paul. Il est inconcevable de ne pas arrêter saluer Monsieur Charest à la galerie d'art l'Harmattan. Je me laisse charmer par un violon de François Faucher, les œuvres d'Hélène Longval, j'admire Jean-Paul Riopelle, les visages d'Yvon Blais, je me sens rêveuse devant Dominique Fortin. C'est à la fois calme et chaleureux, je me laisse bercer par la magie des nombreux artistes de cette galerie. Pendant ma visite, je me dois d'arrêter à la galerie d'art Iris pour voir les nouveautés de Roger Alexandre, le premier peintre que j'ai accroché à mes murs. Sa collection est tout simplement splendide! Comptant plus de 50 artistes, j'y passe une bonne partie de l'après-midi, je vibre devant les couleurs explosives d'Annabelle Marquis, je suis en extase devant Humberto Pinochet, Yoakim Bélanger et Guy Paquet avec ses ciels infinis… Photo: Galerie d'art Iris Ma visite à Baie-Saint-Paul est terminée, mais dans mon Charlevoix natal, il y a 25 galeries et ateliers à découvrir, mes fins de semaine sont bien remplies!