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« L'instinct de survie apaise-t-il les conflits? » C'est cette question que Muzaref Sherif, psychologue à l'Université d'Oklahoma étudie, été 1954, à travers son expérience « La Caverne des Voleurs ». 1- Des individus ne se connaissant pas, amenés à agir dans un but commun, établissent une structure de groupe avec ses statuts hiérarchiques et des rôles déterminés. 2- Si deux groupes ainsi formés se trouvent en compétition, des attitudes hostiles apparaissent. 3- La résolution d'une situation de tension entre deux groupes passe par leur mise en danger par un péril commun. Muzaref engage 22 garçons ne se connaissant pas. Il les répartit en deux groupes « cobayes », qui ignorent l'existence l'un de l'autre. Il imagine trois étapes d'une semaine, dans le but de créer, d'amplifier puis de résoudre des conflits. PREMIÈRE SEMAINE: créer la compétition Chaque groupe arrive séparément à « la Caverne des Voleurs ». Les chercheurs animent le camp. Les enfants font connaissance sereinement. Chaque groupe développe ses propres règles: identité précise, structure claire et un meneur.
Toi, Barberousse, par le flanc droit, derrière le châtaignier; et moi, Tartamore, par le flanc gauche, derrière le rocher et tenons-nous bien cachés tous les deux. BARBEROUSSE ( Il se retourne). - Attention au commandement, de peur qu'il nous échappe. - Le mot d'ordre! BARBEROUSSE. - Au premier coup de sifflet, la bourse ou la vie... - En avant marche! ( Ils sortent tous deux du côté opposé à la caverne). LE PÉLERIN ( Il vient du côté de la caverne). - Je touche enfin au terme de mon voyage et vais revoir le pays que j'ai quitté depuis si longtemps; je n'ai plus que cette forêt à traverser pour y arriver. Quel plaisir j'éprouverai à me reposer de mes fatigues. Depuis que je suis pèlerin, j'ai erré par villes, par cités, par hameaux; j'ai grand besoin de prendre du délassement. Il y a trente-cinq ans que je ne me suis pas arrêté! J'ai été à Lucerne, j'ai été en Toscane, en Sicile; j'ai été en Syrie. Enfin, j'ai visité à Jérusalem le tombeau de notre Seigneur et me voilà de retour. Je suis bien fatigué!...
Comme chaque semaine, une expérience psychologique. Je vais vous présenter la recherche intitulée la « Caverne des voleurs », effectuée en 1961 par Sherif, Harvey, White et Hood. 24 enfants, répartis en 2 groupes de 12, ont participé à l'expérimentation. Ils ont installé les équipes à des moments différents dans un camp où ils ont occupé 2 logements différents relativement éloignés l'un de l'autre. Aucun contact n'est possible entre ces 2 groupes. La 1 ère semaine, les enfants sont invités à participer à des activités de loisirs. Chaque groupe va se donner un nom, les Eagles (les aigles en français) pour les uns et les Rattlers (les crotales en français) pour les autres. Dans chaque groupe, des rôles apparaissent avec des leaders qui s'imposent. La 2 ème semaine, un tournoi est organisé. Les gagnants remporteront un trophée ainsi que de beaux couteaux. La réussite d'une équipe implique l'échec de l'autre. Très rapidement des insultes et des accusations de tricheries sont proférées par les 2 groupes.
Après les événements de l' Holocauste pendant la Seconde Guerre mondiale, l'expérience a montré que (la plupart) des citoyens normaux américains étaient capables de suivre les ordres d'une autorité, même quand ils ont cru qu'ils causaient de la souffrance à une personne innocente. L'expérience de Stanford [ modifier | modifier le code] L' expérience de Stanford est une étude de psychologie expérimentale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte. Les prisonniers et les gardes se sont rapidement adaptés aux rôles qu'on leur avait assignés, dépassant les limites de ce qui avait été prévu et conduisant à des situations réellement dangereuses et psychologiquement dommageables. L'une des conclusions de l'étude est qu'un tiers des gardiens fit preuve de comportements sadiques, tandis que de nombreux prisonniers furent traumatisés émotionnellement, deux d'entre eux ayant même dû être retirés de l'expérience avant la fin.
( On entend un coup de sifflet). SCÈNE IV BARBEROUSSE, LE PELERIN. - La bourse ou la vie!... LE PÉLERIN. - Mon doux ami, je suis plus pauvre que vous, je ne puis rien vous donner. - Tu ne peux rien me donner?... Par ma moustache! si je n'ai pas de toi quelque chose... ou ton argent, ou ta tête, entends-tu? LE PÉLERIN. - Je suis un pauvre pèlerin, je ne vis que d'aumônes. BARBEROUSSE, - Eh bien, mon pauvre pèlerin, nous allons vous faire passer le goût du pain, LE PÉLERIN. - Croyez-moi, mon ami, ne faites pas cela: les mauvaises actions sont toujours punies de Dieu. - C'est ce que nous verrons. En attendant, je vais toujours te couper la tête ( Il le frappe). Hein! qu'en dis-tu? LE PÉLERIN. - Ah! Mon Dieu! (S a tête tombe et ensuite tout son corps du côté de la caverne). - Tartamore!
est le maître d'œuvre. Après (Aux) les razzias et massacres organisés par cet esclavagiste, suit la prise de possession de Léopold II. Il n'a rien à envier à ses prédécesseurs. Le système repose sur la spoliation pure et simple du pays, sans scrupule aucun. L'historien Jules Marchal, en 1997, estime l'enrichissement personnel de Léopold II à 6 milliards de francs français! L'indépendance, obtenue en 1960, est loin d'être un long fleuve tranquille. Mobutu Sese Seko règne sans pitié sur le territoire. De son nom zaïrois, on peut traduire « Mobutu le guerrier qui va de victoire en victoire sans que personne ne puisse l'arrêter ». Les répressions sanglantes, la corruption généralisée, le népotisme et le recours à la planche à billets sont le lot quotidien des habitants. Mobutu règne en maître. Il accumule plusieurs milliards de dollars pendant que les congolais assistent à la déliquescence des institutions. Qu'en est-il aujourd'hui? La République démocratique du Congo est toujours gangrénée par une corruption rampante.
Le parcours vélo le long du Blavet évolue ici sous une voûte de chênes et de châtaigniers. À Lochrist, l'itinéraire passe devant les anciennes forges d'Hennebont que vous pourrez découvrir en visitant l'écomusée. Voie verte du blavet les. La belle écluse fleurie de Polvern marque la fin du Blavet canalisé et le début de l'influence maritime avec le flux et reflux des marées. Aménagement de l'étape Voie cyclable: 22, 42 km Sur route: 1, 55 km L'itinéraire Parcours sur voie verte asphaltée. À Hennebont, traverser la passerelle pour rejoindre la gare (rive droite). La liaison vélo jusqu'à Lorient n'est pas encore balisée. TGV – TER Gares d'Hennebont et de Lorient Ligne SNCF – TER Rennes - Lorient - Quimper Ligne de car TER Saint Brieuc - Loudéac -Pontivy - Lorient
La vélo-route voie verte et son chemin de halage Pour faire de jolies balades à vélo dans la Vallée du Blavet, vous pouvez notamment emprunter le chemin de halage qui longe le Blavet! Toute la famille pourra pédaler en sécurité et en pleine nature. De Saint-Nicolas-des-Eaux en Pluméliau-Bieuzy jusqu'à Pont-Augan en Baud, 18 km de chemin de halage sont facilement accessibles sur la vélo-route voie verte n°8 (Saint-Brieuc/Lorient). Voie 8 Bretagne : cyclovoyage de Saint-Brieuc à Lorient. Sur votre parcours vous croiserez sans doute des plaisanciers naviguant sur le fleuve du Blavet, des pêcheurs ou des randonneurs profitant de la quiétude des lieux et des paysages naturels! Retrouvez les informations sur la carte touristique disponible en ligne ou à l'Office de Tourisme à Saint-Nicolas-des-Eaux. LOUEZ VOS VÉLOS CLASSIQUES OU ÉLECTRIQUES ET BÉNÉFICIEZ DE SERVICES ADAPTÉS A VOTRE PARCOURS. Plus d'infos ici. Itinéraires sur la voie-verte n°8 dans la Vallée du Blavet et ses alentours
Ou une promenade tranquille et sans efforts. >> A LIRE AUSSI: nos conseils pour une balade à vélo en famille Une balade vélo en été loin de la canicule Si le littoral nord est plutôt épargné par la pluie, l'intérieur des terres et le front Atlantique font honneur à leur réputation bretonne… Une région somme toute agréable pour pédaler puisque les températures dépassent rarement 22°C en plein été. Idéal pour fuir les fortes chaleurs qui peuvent toucher le reste de la France en pleine saison. L'hiver, bien qu'assez doux, est cependant à éviter, sauf si vous aimez pédaler sous la pluie! Chaque été le long du Blavet, découvrez le festival « L'art dans les chapelles ». Des artistes contemporains du monde entier investissent une vingtaine de chapelles situées aux abords du fleuve. Si vous êtes dans la région mi-juillet, ne ratez pas le célèbre et incontournable festival Les Vieilles Charrues à Carhaix-Plouguer, une soixantaine de kilomètres à l'est de la véloroute. V8 / Voie Verte du Blavet, de Pontivy à Pont-Augan (Baud) | AF3V. La Voie 8 Bretagne, un itinéraire paisible et fléché Balisée dans les deux sens, la Voie 8 emprunte tour à tour des petites routes paisibles et des voies vertes, celle de la rigole d'Hilvern dans un premier temps, puis celle du Blavet menant à Lorient.
Le parcours qui suit l'ancienne voie ferrée est bitumé, et donc très facilement praticable. Le point de départ se trouve à Kerfichant à Lorient, rue du Gaillec, en face du supermarché. « À l'aller, le chemin descend doucement vers la mer; au retour ça monte un petit peu! », prévient Sylvie Delanoy, ploemeuroise habituée des belles balades avec ses deux enfants et son chien fidèle. Voie verte du blavet francais. « Le nez au vent, sans les voitures, c'est super. Les promeneurs que l'on croise sont détendus, tout le monde se salue! » La dernière partie remonte vers les immenses terrils de kaolins, et présente une belle vue panoramique sur l'océan et l' île de Groix. En guise de récompense, un p'tit verre vous attend au Courégant avant de poursuivre plus loin… Et pour faire durer le plaisir: ©Emmanuel LEMEE. Ploemeur, panneaux signalétiques entre les voies vertes des kaolins et du littoral Une fois au Courégant, on rejoint la voie littorale (piste piétons/vélos, sécurisée par une rambarde en bois). Elle mène d'un côté vers Guide l (8 km); de l'autre vers Larmor-Plage (9 km, dont 4, 3 km sur route classique).
Forte descente sur 2 km pour gagner le barrage de Guerlédan depuis le centre de Mûr-de-Bretagne. Voir la trace: Étape 6 >>> Pontivy / St-Nicolas-des-Eaux - 18km Étape 7 >>> St-Nicolas-des-Eaux / Pont-Augan - 19km Étape 8 >>> Pont-Augan / Hennebont - 23. 5km