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Par Laurent P. · Publié le 6 mai 2022 à 11h44 Dans le cadre de la 18e édition de la Nuit des Musées, le Musée Fragonard de l'École nationale vétérinaire d'Alfort ouvre gratuitement ses portes aux visiteurs le samedi 14 mai 2022. Pour la 18e édition de la Nuit des Musées, le Musée Fragonard (pas celui sur le parfum à deux pas d'Opéra, mais celui situé au coeur de l' École nationale vétérinaire d'Alfort) vous attend pour une nocturne gratuite et exceptionnelle le samedi 14 mai 2022. L'un des plus anciens musées de France, créée en 1766, en même temps que l' École royale vétérinaire de Paris, vous propose pour l'occasion des visites inédites. À lire aussi La Nuit des Musées 2022 à Paris et en Île-de-France, le programme de la soirée Nuit des Musées 2022 dans le Val-de-Marne (94) Une collection qui a traversé les siècles, résistant aux révolutions et aux guerres, vous invitant à découvrir ce patrimoine exceptionnel dédié aux animaux, conservé au sein du musée. Meaux : que font ces ruches dans le parc du musée de la Grande Guerre ? | La Marne. Déplacée trois fois depuis la création des lieux, cette collection, comprenant un millier d'objets, vous propose un voyage hors du temps, dans une atmosphère de la fin du XIXe siècle.
« On les redécouvre lors de la guerre 14-18 mais on les utilisait déjà… dans la Grèce antique! Les armées de Louis XIV ont creusé des tranchées pour s'emparer de la ville d'Arras (Pas-de-Calais). Puis les tranchées réapparaissent lors de la guerre de Crimée, entre 1853 et 1856. » «Un système qui protège des vies mais fait durer la guerre» La tranchée traîne derrière elle la réputation d'être hautement meurtrière. Musée des trois guerres rose. Mais, paradoxalement, selon l'historien, au plus fort de son utilisation, le nombre de morts par jour était le moins conséquent. « J'ai fait des statistiques sinistres. En 1917, on dénombrait en moyenne 448 morts par jour contre 1 969 morts par jour en 1914. » En réalité, les tranchées permettent de diminuer le nombre de victimes mais verrouillent aussi le conflit, le bloquent, le sclérosent. « C'est un système opératif, comme disent les militaires, qui protège des vies mais fait durer la guerre. » Les soldats ne vivent pas en permanence dans les tranchées. Il y a des rotations des militaires.
Paris. Alors que la guerre en Ukraine sévit et que chaque jour apporte son lot d'images effroyables du conflit, deux expositions à Paris abordent la photographie de guerre sous des angles très différents l'une de l'autre. Une statue de Louis XIV à plus de deux millions d’euros pour le Musée des Beaux-Arts de Rennes - Valeurs actuelles. Au Musée de l'Armée, c'est l'histoire des images de guerre, de leurs usages et expressions visuelles que retrace « Photographies en guerre », ce depuis les premières images connues. Pour l'écrire, le musée a constitué un conseil scientifique présidé par l'historienne Françoise Denoyelle; il mène aussi depuis plus d'une dizaine d'années une politique d'acquisitions particulièrement active, notamment sur la partie contemporaine, afin de compléter ses collections exceptionnelles. La mise en valeur de ces fonds largement méconnus est par ailleurs l'un des atouts de l'exposition. Au Musée de la Libération de Paris – Musée du Général-Leclerc – Musée Jean-Moulin, « Femmes photographes de guerre » se situe sur un tout autre registre. Le Kunstpalast de Düsseldorf est à l'origine de cette exposition itinérante sur huit femmes photographes de guerre dont trois Françaises de même génération: Catherine Leroy (1944-2006), Françoise Demulder (1947-2008) et Christine Spengler (née en 1945).
En dehors des trois œuvres de l'artiste, le musée d'art Kuindzhi abrite dans sa collection 650 peintures, 960 œuvres graphiques, 150 sculptures et plus de 300 œuvres d'art décoratifs et appliqués d'artistes ukrainiens du XXe siècle, dont on ne connaît pas encore le destin. Cet évènement nous rappelle la terrible attaque dont dont a déjà fait l'objet le Musée d'histoire locale de la ville d'Ivankiv qui hébergeait des œuvres de Maria Prymachenko, artiste folklorique ukrainienne admirée dans le pays. Doodle de Google diffusé en janvier pour le 180e anniversaire du peintre ©️Google Cet article Guerre en Ukraine: les Russes bombardent un musée à Marioupol est apparu en premier sur Connaissance des Arts.
Stay tuned! La Gestion du Patrimoine UNESCO à Luxembourg La visite explique sur le terrain les actions et mesures entreprises par l'État et la Ville de Luxembourg pour préserver l'authenticité et l'intégrité du site à valeur universelle exceptionnelle: «Luxembourg, vieux quartiers et fortifications», patrimoine mondial culturel de l'UNESCO. Outre la découverte du UNESCO Visitor Center au Lëtzebuerg City Museum, la visite a pour but de rappeler les critè Type(s): Visite guidée Le siège de 1684 - Vauban à Luxembourg À partir de 1681, les troupes de Louis XIV bloquent la forteresse de Luxembourg. À Noël 1683, la ville est bombardée durant plusieurs jours. C'est seulement à la fin du mois d'avril 1684 que le siège du maréchal Créqui commence. Le Musée des deux Guerres Mondiales - My-Tourisme. Après... À l'assaut du Kirchberg Un impressionnant système de fortifications, presque entièrement disparu depuis le Traité de Londres de 1867, a défendu le Kirchberg et protégé la ville-forteresse. Les premières constructions militaires sur les hauteurs du Kirchberg remontent à l'époque de Louis XIV.
Impossible de ne pas remarquer le bâtiment, quand on parcourt la Bülowstrasse, entre la Nollendorfplatz et la Potsdamer Strasse. Du mur d'enceinte débordent vers les passants des branches de pins plutôt inhabituelles en plein centre-ville, tandis que des bambous vigoureux s'élancent vers le ciel. Cette verdure cache une petite merveille historique: une ancienne station essence des années 1950, typique du miracle économique allemand, rénovée de fond en comble pour accueillir un nouveau musée, consacré à George Grosz. L'immense offre culturelle de Berlin s'est encore accrue, le 13 mai, d'un nouvel endroit décalé, pour rendre hommage à l'un des artistes les plus importants de l'entre-deux-guerres, observateur sévère de la République de Weimar. Juerg Judin, galeriste et collectionneur réputé, propriétaire du bâtiment, le loue pour une durée de cinq aux promoteurs privés du projet muséal, l'association « George Grosz à Berlin ». Musée des trois guerres tours. L'objectif est de trouver d'ici 5 ans un modèle pérenne. Le nom retenu, « das kleine Grosz Museum », est basé sur un jeu de mot entre « klein » (petit) et « gross » (grand) que l'artiste a lui-même utilisé dans sa jeunesse.