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Ainsi, leur présence varie de 2 à 56% dans les lupus discoïdes, de 5 à 74% dans les dermatomyosites, de 13 à 96% dans les sclérodermies… Relier à la clinique La détection des ACAN étant un test de faible spécificité, il est important de préciser leurs cibles antigéniques, certains auto AC étant plus spécifiques de telle ou telle maladie, sans en être cependant pathognomoniques (tableau II). Ainsi, les AC anti ADN natif sont hautement spécifiques du lupus érythémateux systémique mais peuvent être observés dans certaines polyarthrites rhumatoïdes et des hépatites chroniques auto-immunes. De même, les AC anticentromères sont les marqueurs le plus souvent présents dans les sclérodermies systémiques limitées mais sont également vus dans le syndrome de Gougerot-Sjögren, la cirrhose biliaire primitive, certains lupus systémiques ou dans la famille du 1er degré des patients atteints de sclérodermie. Par ailleurs, dans la plupart de ces affections, il existe souvent des AC de spécificités différentes, à des taux différents.
Bonjour, Possible SVP de me donner des nouvelles sur votre etat actuel, je suis en phase de diagnostic et j'ai les mm symptomes que vous, j'espere que tt va bien pour vous. Amicalement, MOLI Messages: 3 Enregistré le: Ven 16 Nov 2018 19:22 par lilou3970 » Mer 21 Nov 2018 18:09 Bonjour, Je suis atteinte de la maladie d'Hashimoto qui est une maladie auto immune de la thyroïde. J'ai fait bcp de recherche par moi même avant d'avoir le diagnostic car je suis également passer pour une folle auprès de mes médecins qui ne croyaient pas en mes symptômes, on m'a même dit qu'on ne pouvait rien pour moi car ma thyroïde fonctionnait parfaitement! Je suis suivie en PMA pour une infertilité et ma gynéco a commencé a s'intéresser (elle au moins) a mon cas puisque j'ai tjs des symptômes et d'autres qui sont apparus malgré la stabilisation de ma thyroide. J'ai également des ac anti nucléaires mais qui sont moindres (1/160) qui laissent penser que j'ai une autre maladie qui se prépare mais pas encore déclarée.
Les facteurs rhumatoïdes sont souvent positifs et les titres peuvent être élevés. La VS est souvent élevée. La survie globale à 10 ans est d'environ 80% mais le pronostic dépend largement des manifestations prédominantes. Les patients qui présentent des caractéristiques de sclérodermie et de polymyosite ont un plus mauvais pronostic. Les patients ont des risques d'athérosclérose accrus. Les causes de décès sont l'hypertension artérielle pulmonaire, l'insuffisance rénale, l'infarctus du myocarde, la perforation colique, les infections disséminées et les hémorragies cérébrales. Certains patients connaissent des rémissions pendant de nombreuses années sans traitement. Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou antipaludéens (p. ex., hydroxychloroquine, chloroquine) en cas de maladie bénigne Corticostéroïdes et autres immunosuppresseurs (p. ex., méthotrexate, azathioprine, mycophénolate mofétil) pour les maladies modérées à sévères Inhibiteurs calciques (p. ex., nifédipine) et inhibiteurs de la phosphodiestérase (p.