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elle a dit que ça faisait mal et que rien ne pourrait plus entrer. Je lui ai dit que je voulais l'enculer totalement et que j'étais certain qu'elle allait aimer et que pour ça elle devrait se caresser. elle a obéit tout de suite et pendant qu'elle s'astiquait le clito, j'ai fait rentrer ma queue jusqu'au fond de son cul. J'ai attendu un peu qu'elle s'habitue et j'ai commencé à faire des va et viens doucement puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. J'entendais le "clapotis" de sa chatte, preuve qu'elle mouillait. Je lui ai défoncé le cul et elle s'est lâchée complètement et a crié" je vais jouir, je vais jouir" et elle a joui avec ma queue dans son cul. L'Histoire Vraie d’une Rencontre dans les Coulisses d’un Restau. "L" était totalement ouverte et je lui ai dit qu'elle était une vraie salope et une petite enculée. je lui ai fait dire ces mêmes mots je lui ai même fait dire qu'elle mettrait son cul à ma disposition quand je le voudrais devant l'objectif de mon portable. J'ai sorti ma queue de son cul et je l'ai rentrée dans sa chatte pour la baiser de toute mes forces, sa jouissance continuait et elle disait que c'était bon.
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Ses petits seins se remarquent immédiatement car les tétons transpercent le tissus de ses chemisiers ou de ses pulls en permanence. Cela nous obligent tous à "lorgner" dessus ce qui semble la mettre mal à l'aise. Quand elle passe devant nous ou quand on la croise on ne peut s'empêcher de la regarder et de se retourner pour voir ses jambes gainées et ses fesses. Et un jour alors que je la croisais, j'ai remarqué qu'elle portait une jupe beaucoup plus courte que d'habitude, et qu'elle était montée sur des escarpins avec des talons vertigineux. Son chemisier blanc était déboutonné jusqu'au niveau des seins et on voyait parfaitement le soutien gorge blanc en dentelle qui se trouvait en dessous. Histoire de cul vrai ou faux. J'ai suivi "L" du regard mais je lui ai emboîté le pas sans savoir pourquoi. J'ai pu remarquer qu'en marchant sa jupe laissait entrevoir parfois le haut de ses cuisses et surtout je pouvais voir le haut de ses bas noirs tenus par un porte jarretelle noir lui aussi. J'étais subjugué par cette situation et j'ai continué à la suivre sans me faire remarquer jusquà la voir sasseoir à son bureau.
D'un coup et sans ménagement il claqua mon cul puis il s'enfonça en moi. Surprise par tant de fougue, je lâchais un gémissement avant de l'encourager à me prendre sauvagement. Ses mains agrippaient mes hanches et il commença à pilonner ma chatte. Sa grosse bite sortait puis s'enfonçait à nouveau en moi, ses va-et-vient tantôt lents tantôt rapides me faisaient perdre la tête. Vidéos de Sexe Histoire vrai de cul - Xxx Video - Mr Porno. Très vite j'oubliais que j'étais dans les vestiaires de mon boulot, que peut-être un collègue viendrait et nous surprendrait, je gémissais de plus en plus, l'invectivant de continuer encore et encore… Je gémissais de plus en plus fort. À chaque fois qu'il claquait mon cul je gémissais un peu plus et à chaque fois il me défonçait encore un peu plus. Il lâcha ensuite mes hanches et tandis qu'une main venait pétrir mon sein droit, l'autre tirait mes cheveux. Sous l'action de cette tension je me redressai, bouche ouverte, haletante, le cul encre plus cambré. Plus je gémissais plus il se déchainait, plus il claquait mon cul et plus j'adorais ça.
Oui!!! Plus fort, plus profond vas y oooooh oui, putain vas-y dfonce moi le trou de balle, oooooh oui encooooore, aaaaah!!!!!! " J'ai eu le droit a 10 minutes de jouissements comme a, aprs elle a joui de toutes ses forces et moi aussi. C 'tait fini... " Alors, t'as aim?, me demanda-t-elle. - Ouais j'ai vraiment pris mon pied avec toi. - Moi aussi, vraiment.. " Elle m'embrassa, enleva le DVD porno du lecteur, cette baise avait dur une heure, il tait 20h15, le temps pour moi de rentrer, ma famille venait ce soir pour mon anniversaire. On s'embrassa encore, et je partis. Avant de partir elle me demanda: " Tu voudrais pas qu'on sorte ensemble? - Je pense que tu connais la rponse, lui rpondis-je avec un sourire. - Ouais, la vrit c'est que fait lomgtmeps que je veux sortir avec toi. - Ah ouais? Moi aussi en fait. Histoire de cul vrai amour. " Elle me sourit, m'embrassa, on s'est dit au revoir, et je suis partis. Maintenant, je crois que les week ends vont tre beaucop mieux...
Je m'apelle Thomas, j'ai eu 18 ans il y a une semaine, et cette histoire s'est justement passe ce jour l. Mon anniversaire il y a longtemps que je le fte plus, mais, Joyce, ma meileure amie, m'a rserv une suprise, elle avait tout organis. Elle m'avait invit chez elle ce jour l pour qu'on passe une journe regarder des films et aller sur internet. Histoire de cul vrai nom. Bien qu'on ne sortait pas ensemble on aimait bien parler de cul ensemble, on avait beaucoup de points communs. Joyce avait eu 18 ans le mois dernier, mesurait 1m 70 pour 50 Kg elle avait les cheveux chatains, longs et boucls, ils lui arrivaient a peu prs au milieu du dos, elle avait un bon 95 d, et un trs joli cul, elle etait trs jolie. Je suis donc venu chez elle vers 15h, et aprs avoir regard scary movie 1 et 2, elle m'a propos d'aller sur internet, j'ai dit oui, et elle a allum son oridnateur. Elle dmarra MSN et ouvrit une fenetre d'internet explorer, je lui demandais sur quel site elle voulait aller et elle me repondit que a allait me plaire, je ne regardais pas la barre d'adresse quand elle tapa le lien mais son merveilleux decollet et je descendis mon regard vers son pantalon blanc moulant avant que Joyce me fit relever la tte en me disant de regarder l' cran de l'ordinateur.
Je salivais d'excitation et sans y prêter attention, mes mains déboutonnaient déjà son pantalon. J'avais rapidement entre mes mains son énorme sexe, droit comme un « i » et très dur. J'adorais, déjà à l'époque, sucer. C'était, pardon, c'est mon péché mignon. Ce fut donc sans attendre son invitation que je me penchais en avant pour goûter son chibre si gros. Tellement gros que c'était avec difficulté que je l'enfonçais au fond de ma bouche. Après quelques va-et-vient, il s'assit sur un des bancs partageant le vestiaire en deux. À genoux devant lui, je le suçais encore et encore plus profondément, goulument. Je n'avais, à l'époque, jamais sucé une aussi grosse bite. J'en avais plein la bouche et j'adorais ça, mais je ne voulais pas le faire jouir avant de la sentir dans ma chatte trempée par l'envie. Tout en le regardant je continuais à le sucer pour lui donner l'envie de me prendre… et ce fut rapidement chose faite! Il se leva, je me mis devant lui, en levrette sur un banc, le cul bien tendu, les jambes écartées, la chatte béante.