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Se détachant d'un orchestre pourtant très présent, voire tumultueux, le violon de Repin vibre sous des doubles cordes à la fois précises, puissantes et dramatiques dans les deux Allegros extrêmes et, tout en contraste, s'affine miraculeusement dans l'Adagio central où il dessine une ligne continue d'une étrange beauté. Au premier mouvement, Repin choisit la cadence de Jascha Heifetz, celle-là même que le légendaire violoniste jouait dans son deuxième enregistrement du Brahms (avec Fritz Reiner, 1955, RCA). Dans le Double concerto, Truls Mörk se révèle l'égal de Repin à tous égards. JOHANNES BRAHMS, Une existence paisible - Encyclopædia Universalis. En fait, violon et violoncelle, comme le prolongement l'un de l'autre, se répondent avec la fluidité suggérant un seul instrument. Ici encore, orchestre bien détaillé. On entend le moindre pizzicato. L'op. 77 de Znaider est moins impressionnant. Znaider joue la cadence de Joseph Joachim, qui créa le concerto en 1879, mais son jeu est souvent maniéré, voire accrocheur - il fait du violon plutôt que de la musique -, et la direction de Gergiev paraît banale à côté de celle de Chailly.
Sinon, sur les blanches du début, il y a un crescendo qui est indiqué sur la partition, ce que je traduis par un petit "accent". En tout cas, bon courage à toi dans l'étude de ce morceau, qui est très joli. JPS1827 Messages: 3426 Enregistré le: lun. 25 avr., 2011 11:27 Mon piano: Steinway A, Seiler 122 Localisation: Bourg la Reine par JPS1827 » dim. 06 nov., 2016 23:24 Bravo Huizinga, c'est très intimiste et c'est tout à fait comme ça que je souhaite l'entendre. Pour le passage central, ça vaut la peine de le travailler comme il est écrit à l'origine (si tu retravailles cet Intermezzo), car celui lui donne un côté plus allusif. par huizinga » lun. BRAHMS vu par les PMistes - Page 2 - Pianomajeur.net. 07 nov., 2016 7:41 JPS1827 a écrit: Bravo Huizinga, c'est très intimiste et c'est tout à fait comme ça que je souhaite l'entendre. Merci pour ton commentaire, JPS1827. En lisant le fil sur cet intermezzo, je me disais aussi que j'aurais pu insister comme certains l'ont fait et travailler la partie centrale comme c'était écrite. Ce sera pour une prochaine fois!
Son catalogue comporte des ouvrages pour orchestre (quatre symphonies, quatre c […] Lire la suite Recevez les offres exclusives Universalis
Désormais très paisible et sans événement saillant, sa vie ne sera plus que celle de sa production de chaque jour. En 1872, il devient chef de la Gesellschaft der Musikfreunde. Il est alors une célébrité internationale, encore que ses œuvres soient âprement discutées à Vienne même. Une assez sotte cabale de ses amis et de ceux de Wagner dressera pendant un temps les deux hommes l'un contre l'autre, hostilité qui, en dépit des apparences, n'aura jamais aucun fondement réel. La fin de sa vie se partagera entre Vienne et quelques voyages en Suisse, dans le Salzkammergut, et dans la Forêt-Noire où il s'isole pour composer. Pas adopté par brahms rhapsodie mid. Il finit ses jours à Vienne. 1 2 3 4 5 … pour nos abonnés, l'article se compose de 4 pages Afficher les 3 médias de l'article Écrit par:: critique musical Classification Musiques Musiciens et musiciennes Compositeurs Compositeurs, xix e s. Autres références « BRAHMS JOHANNES (1833-1897) » est également traité dans: CONCERTO POUR VIOLON ET ORCHESTRE (J. Brahms) Écrit par Pierre BRETON • 316 mots • 1 média Le concerto de soliste naît en Italie à la toute fin du xvii e siècle, lorsque Giuseppe Torelli publie les six Concerti a quattro de son opus 5 (Bologne, 1692) et, surtout, les douze Concerti musicali a quattro opus 6 (Augsbourg, 1698).