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Tout ce que sait Fawzia au sujet de ces hommes et de ces femmes, c'est que ce sont des enquêteurs houthis et des policières notoires qu'on a surnommées les « zaynabiat » (du nom d'une femme de courage, figure de la résistance dans l'histoire de l'islam, en particulier chez les chiites, NDLR). Ensemble, ils interrogent les détenues de la prison centrale de Sanaa en faisant preuve de brutalité. Les portes du pénitencier accords 2. «Nous ignorions qui les avait envoyées et nous n'étions pas autorisés à nous enquérir de leur identité», explique Fawzia Ahmed. Cette dernière a travaillé pendant une vingtaine d'années dans le quartier des femmes de la prison, avant de quitter la capitale à la fin de l'année 2019. C'est à la fin de l'année 2017 que les miliciens ont pris le contrôle de la prison centrale, peu de temps après avoir assassiné l'ancien président Ali Abdallah Saleh. Ce dernier a dirigé le Yémen pendant trente ans, puis les manifestations initiées par le Printemps arabe l'ont amené à renoncer à ses fonctions en 2011. Il a été tué après avoir conduit un soulèvement militaire sommaire contre ses anciens alliés, les Houthis.
Ils sont soupçonnés d'avoir aidé Buthaina Mohammed al-Raimi à quitter le Yémen. Cette dernière a été transportée à Riyad pour y recevoir des soins médicaux d'urgence après avoir été blessée lors d'une frappe aérienne de la coalition, en 2017. Ce texte est la traduction d'un article paru sur
Leurs crimes étaient de porter des tenues "osées", de côtoyer des hommes ou de marcher dans la rue sans être accompagnées d'un homme. Deux femmes ont été arrêtées parce qu'elles avaient conservé des photos de l'ancien président dans leur téléphone portable», témoigne-t-elle. Cameroun anglophone: un commando attaque la prison de Wum et libère 117 détenus. De fait, la milice houthie n'a pas respecté le code pénal du Yémen: elle a autorisé ses enquêteurs à interpeller les prisonnières à tout moment, même à minuit et à leur faire subir toute forme de tortures physiques et mentales afin de leur extorquer des aveux. Enfin, elle a laissé ses gardes entrer dans les cellules avec leurs armes et leurs matraques électriques. Selon Fawzia, les figures les plus odieuses et les plus redoutées parmi les Houthis sont Mohammed al-Makhethi, le responsable de la prison centrale, ainsi que plusieurs responsables dont les noms de guerre sont Abou Ammar, Abou Terab et Abou Raid. «Al-Makhethi est la personne la plus provocatrice. Il arrive à la prison à 2 ou 3 heures du matin pour interroger les prisonnières, seul, jusqu'au lever du jour.
22. 38. Le directeur ou, en son absence, la personne qui détient l'autorité dans un lieu visé dans le présent article doit aviser immédiatement un coroner lorsqu'un décès survient: 1 ° dans un établissement de détention au sens de la Loi sur la probation et sur les établissements de détention ( chapitre P‐26); 2 ° dans un pénitencier au sens de la Loi sur les pénitenciers (Lois révisées du Canada (1985), chapitre P-5); 3 ° dans une unité sécuritaire au sens de la Loi sur la protection de la jeunesse ( chapitre P‐34. Les portes du pénitencier accords pdf. 1); 4 ° dans un poste de police. 38. Le directeur ou, en son absence, la personne qui détient l'autorité dans un lieu visé dans le présent article doit aviser immédiatement un coroner lorsqu'un décès survient: 1 ° dans un établissement de détention au sens de la Loi sur la probation et sur les établissements de détention ( chapitre P‐26); 2 ° dans un pénitencier au sens de la Loi sur les pénitenciers (Statuts revisés du Canada, 1970, chapitre P-6); 3 ° dans une unité sécuritaire au sens de la Loi sur la protection de la jeunesse ( chapitre P‐34.