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La clinique du diable… Que dire? La taille du complexe est assez impressionnante, mais son niveau de dégradation aussi, la faute surement à son emplacement loin d'une ville et accolé à une route avec beaucoup de passage. Ce complexe est aussi beaucoup trop connu, hélas. Ce bâtiment n'a plus beaucoup d'intérêt sauf de pouvoir dire « je l'ai fait ». J'ai essayé d'en tirer un maximum, mais sans présence humaine sur les photos, elles ne ressemblaient qu'a un tas de déchets. Voici ma sélection.
Samedi 06 févr. 2016 à 13h05, par Il y a quelques semaines, j'ai décidé de lancer une nouvelle série de vidéos qui me tenait particulièrement à coeur. Cette dernière consiste à visiter des lieux abandonnés à la fois frissonnants et chargés d'histoire. Suite aux nombreuses réactions de La plus grande peur de ma vie, j'ai décidé de tourner un deuxième épisode. Cette fois-ci, je suis allé visiter la Clinique du Diable, un hôpital abandonné au sommet d'une montagne. C'est une nouvelle fois seul et de nuit que je suis parti découvrir cet incroyable lieu. Entre forêt enneigée, salles d'hôpital et un manoir très angoissant, découvrez la vidéo à la suite de cet article! La Clinique du Diable Mamytwink est le fondateur et webmaster de Depuis octobre 2009, il s'occupe du développement du site et en est également le rédacteur en chef. Il s'assure de la bonne couverture de l'actualité d'Azeroth au quotidien. Retour aux news Retour aux news
Depuis, le bâtiment succombe lentement sous les incessants pillages et destructions de ses visiteurs clandestins. En route vers la clinique du diable Une vaste forêt de sapins recouverte d'un épais manteau blanc s'étend à perte de vue sur le flanc de la montagne. Les branches des arbres ploient sous le poids de la neige, comme fatiguées de ce long hiver qui n'en finit plus. La silhouette d'un colosse de pierre solitaire se dessine au-dessus de la cime des conifères. Oublié depuis longtemps, il dort paisiblement dans ce paysage figé par le froid. La lumière blafarde de la lune se faufile entre les arbres et illumine le sol, révélant des traces de pas creusées dans la poudreuse. Chacune de mes expirations laisse s'échapper une volute de vapeur blanche, et la terrible morsure du froid me fait deviner que la température frôle les moins quinze degrés. François me suit, transportant dans l'un des sacs le matériel nécessaire à l'exploration. Le gigantesque hôpital, s'élevant au sommet de la montagne, nous fait face.
Depuis le 18 mai, l'hôpital de jour gériatrique de la clinique Saint-Pierre a pris ses quartiers dans ses nouveaux locaux. L'équipe médicale de l'hôpital de jour gériatrique s'est agrandie avec ce déménagement. Des gériatres de la clinique ont rejoint l'équipe, proposant des nouvelles plages de consultation et prochainement une journée d'ouverture supplémentaire (l'hôpital de jour passera ainsi à 3 jours d'ouverture par semaine). Ce nouvel espace compte désormais 8 places (dont 4 lits) contre 6 places dans les anciens locaux. Des examens sur mesure L'hôpital de jour gériatrique s'adresse à des patients âgés de 75 ans et plus, à risque de déclin fonctionnel et de perte d'autonomie. Il permet une prise en charge globale avec une attention particulière à la qualité de vie et a pour objectif de permettre à ces patients de venir réaliser divers bilans en une seule journée. C'est le plus souvent le médecin généraliste qui envoie ses patients à l'hôpital de jour. Il prend contact avec ce service afin de décider ensemble du type d'examens à prévoir pour le patient.
11 avril 2017 11 avril 2017 Immense site, il y a encore quelques années un centre médical, aujourd'hui délabré et vandalisé par les nombreux « visiteurs » sans valeurs ni respect. Ce lieu ne vaut pas (ou plus) le détour. Voici les points principaux de ce site énorme, même si une grosse partie reste à être présentée. Publié par adrienguh
Je me sentais bien. Terriblement bien. Ce cocon partagé me donnait chaud. Vos caresses, vos griffures, vos douces morsures; votre façon de dévoiler mon corps, vos mains qui s'agrippaient à mes cheveux ou qui s'enroulaient autour de mon cou... Votre couteau, qui je pensais de sa lame froide me rafraîchirait, n'a fait qu'accentuer notre plaisir; et quand logé entre mes cuisses vous faisiez jouer sa pointe sur moi, j'aurais aimé ne savoir prononcer qu'un mot: « encore ». Tout en cet instant me rendait fébrile et me donnait la fièvre. Ces liens torturant ma peau à chaque frémissement, et cette corde serrée autour de mes cheveux me laissant simplement le choix entre le moindre mal. Je ne sais combien de temps cela à duré. Tout me semblait si court et si long à la fois... Mais vous m'avez emmenée là où jamais je n'étais allée, là d'où jamais je n'aurai voulu revenir... Je vous ai ensorcelé selon vos dires, mais je crois qu'au final vous m'avez envoûtée vous aussi.
Le sentier enneigé est bordé de sapins imposants dont les branches courbées entravent mon ascension. Je lève les yeux et aperçois enfin le manoir. Sinistre, il semble tout droit sorti d'un film d'horreur. Sa façade austère ne comporte aucune fenêtre de ce côté. Seule une porte, grande ouverte, m'invite à entrer. La peinture des boiseries est écaillée, le sol, poussiéreux, et l'escalier menant à l'étage, couvert de neige. Le rez-de-chaussée compte de nombreuses pièces: autant d'endroits d'où le danger peut surgir à n'importe quel moment. Vandale, pilleur ou encore bête sauvage, je ne suis à l'abri de rien. Les sens exacerbés, tel un chasseur aux aguets, je poursuis ma progression. Au centre du salon, une carcasse de chaise trône sur un vieux pèse-personne. Cette mise en scène sordide m'évoque les chaises électriques utilisées pour exécuter les condamnés. Je quitte ce tableau inquiétant et accède au premier étage. Dans le couloir exigu, je passe devant la salle de bains sans relever l'inscription sinistre sur le mur carrelé: « REDRUM ».