De l'autre, le maire de la capitale se considère comme le porte-parole des Malgaches épris de démocratie et de liberté. Ainsi, les conditions sont théoriquement réunies pour que le président légal et le président légitime acceptent de chercher ensemble les voies et moyens pour mettre en œuvre les messages qu'ils ont entendus et compris", déclare-t-il à L'E xpress de Madagascar. Une option peut-être plus prometteuse pour Andry " TGV ". 26 janvier, il était une fois un lundi noir | Madagascar Online : Le premier magazine d'actualité en ligne, spécialisé sur Madagascar. En effet, pour Midi Madagasikara, "force est de reconnaître que la procédure de déchéance a peu de chances d'aboutir pour peu qu'elle soit recevable. En effet, on imagine mal les députés et sénateurs Tim [Tiako i Madgasikara] – ultramajoritaires dans les deux Chambres du Parlement – voter la mise en accusation du président fondateur du parti au pouvoir. Les voix des quelque députés indépendants présents samedi sur la place du 13-mai ne pèseront pas lourd dans la balance des votes. " Autre obstacle de taille, la Haute Cour de justice, la seule à pouvoir destituer le président, n'est pas encore mise en place.
- Madagascar 26 janvier 2009 relatif
Madagascar 26 Janvier 2009 Relatif
Moi, je hurle: respectez plutôt le devenir de mon peuple! Ces bases mêmes de la nation malgache sont tellement brinquebalantes qu'aucun régime ne pourrait être longtemps à l'abri du genre de situation qui prévaut actuellement. " Une solution négociée? "La crise n'est pas encore finie, mais le bilan est déjà lourd. Toutes les parties en présence devraient faire une introspection honnête, car tous portent une part de responsabilité", insiste le journal en ligne Madagascar Tribune. "Aveuglé par des sentiments d'impunité et d'omnipotence, Marc Ravalomanana accumule les provocations. " Quant à Andry Rajoelina, "alors qu'il revendiquait un caractère pacifique à son mouvement, les événements depuis lundi 26 janvier [plusieurs dizaines de morts] lui ont donné tort". Madagascar 26 janvier 2009. Dans ce contexte de tension extrême, l'ancien diplomate et politologue André Rasolo veut croire à une sortie de crise négociée autour d'une table. "D'un côté, le président de la République a rappelé le 31 janvier sa prestation de serment l'obligeant notamment à écouter le peuple malgache.
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