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La vie est belle ( La vita è bella prononcé: [la ˈviːta ɛ ˈbɛlla]) est une comédie dramatique italienne écrite et réalisée par Roberto Benigni sortie en 1997 en Italie. Synopsis [ modifier | modifier le code] En 1939, à Arezzo, Guido Orefice, un jeune Italien juif plein de gaieté, rêve d'ouvrir une librairie, malgré les tracasseries de l' administration fasciste. Il tombe amoureux de Dora, institutrice étouffée par le conformisme familial et l'enlève le jour de ses fiançailles avec un bureaucrate du régime fasciste. Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont un fils: Giosué. Mais les lois raciales sont entrées en vigueur et, en tant que Juifs, Guido et son fils sont déportés vers un camp de concentration allemand (sans référence précise) [ 1], [ 2]. Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène au camp. Là, Guido veut tout faire pour éviter l'horreur à son fils. Il lui fait alors croire que les occupations dans le camp sont en réalité un jeu dont le but serait de gagner un char d'assaut, un vrai [ 3].
De l'argile contre les cheveux gras Pour lutter contre les cheveux qui regraissent trop vite, la solution miracle serait le masque à l'argile. Le masque (deux cuillères d'argile verte en poudre, de l'eau et une pincée de sel marin) est à appliquer une fois par semaine pendant 15 minutes.
La violence psychologique se donne à voir du côté de l'oncle juif de Guido, où son cheval, repeint en vert porte une inscription insensée « Achtung cavallo ebreo » (« Attention cheval juif «). Guido sera par la suite, lui-même touché par ces menaces: sa librairie sera taguée par « negozio ebreo » (« boutique juive «). Cependant, on passe d'une violence psychologique à une violence à la fois morale et physique. En effet, Guido, son fils et Dora sont déportés dans un camp de concentration. Les conséquences physiques sont véritablement rudes: on les nourrit peu, ils doivent beaucoup travailler et l'hygiène est médiocre. Moralement, les déportés se font à l'idée qu'ils ne ressortiraient pas du camp vivant, parce que la mort est omniprésente et que d'une manière ou d'une autre, ils seraient tué par les Allemands. Malgré le fait que le sentiment de mort et de peur gagne peu à peu les esprits, Guido, lui, trouve un moyen efficace pour rassurer son fils: il fait croire à Giosue que tout ceci n'est qu'un jeu.
Guido fait croire à son fils que la captivité n'est qu'un jeu à l'issue duquel ceux qui auront marqué 1 000 points gagneront un char. La guerre est terminée et dans le chaos de la fermeture du camp à l'approche des forces alliées, Guido cache Giosué dans une boîte aux lettres et tente de libérer Dora, mettant en péril ses propres chances de survie. Les Allemands le repèrent et le capturent, mais avant d'être exécuté, il tourne la tête pour faire un clin d'œil à son fils. Les Allemands finissent par quitter le camp. Giosué sort de sa cachette et monte sur un char américain. Convaincu d'avoir gagné le premier prix, il embrasse sa mère en criant joyeusement « Maman, on a gagné! ».
« Cette histoire est simple, pourtant elle n'est pas facile à raconter. Comme un conte, elle est douloureuse, et comme un conte, elle est pleine de merveilleux et de bonheur. » Peut-on imaginer de rire de la représentation de la Shoah? Il semble que le pouvoir de l'imagination puisse changer la réalité dans ce chef-d'œuvre absolu, plein de rires et de larmes, lauréat de trois Oscars. Nous sommes en 1939 à Arezzo, en Italie. Guido est un Juif romantique et joyeux qui rêve d'ouvrir une librairie. Il travaille comme serveur dans un grand hôtel avec son oncle. Il rencontre alors Dora, fiancée à un fonctionnaire fasciste, qu'il appelle « princesse » et dont il tombe amoureux. Quelques années passent, et Guido et Dora se marient et ont un fils, Giosué. En 1944, Guido et sa famille doivent faire face aux lois raciales anti-juives dans l'Italie fasciste. La comédie joyeuse prend alors un tournant sombre lorsque les nazis emmènent Guido et Giosué dans un camp de concentration. Dora insiste pour monter à bord du même train que sa famille.