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Qu'est ce que la justice de Dieu? La justice de Dieu est l'expression de tout ce que Dieu demande et approuve. Elle est manifestée de façon absolue en Christ lui-même, qui a satisfait à notre place à toutes les exigences de la loi: Par sa substitution, Jésus s'est fait justice pour nous. Jésus a satisfait pleinement à toutes les obligations de la loi parce qu'elle était dans son cœur et non dans son intelligence, comme les Pharisiens ou beaucoup d'entre nous. Pour lui, elle était une loi d'amour, et non une loi d'obligation ou d'interdit. Jésus connaissait le Père. Les Pharisiens ne le connaissaient pas le Père. Nous, le connaissons nous? Obéir à une loi d'amour dans le cœur change tout. « Car la lettre tue » c'est à dire la loi dans la tête « mais l'Esprit vivifie », c'est-à-dire la loi dans le cœur. 2 corinthiens 3-6. Jésus est vraiment celui qui a accompli toute justice. Quand? Et où? Quand nous posons la question à des personnes non enseignées, elles vous répondent spontanément à la croix.
Elle détruit le miracle même de la conversion et de la sanctification et prive le salut de Dieu de sa capacité à transformer les vies. Seule la justice globale de la justification et de la sanctification du Christ nous sauvera, nous changera et fera de nous de véritables disciples du Christ. C'est quelque chose que Jésus fait à la fois pour nous et en nous. Par sa grâce, nous pouvons avoir sa puissance et son caractère divins, en devenant de plus en plus semblables à lui. Dans l'esprit de la prophétie, on nous dit que la justice par la foi est le cœur même du message des trois anges d'Apocalypse 14. 6-12. Quel privilège d'exhorter les gens à revenir au véritable culte de Dieu en reconnaissant Sa justice et Son salut qui englobe tout. Le point culminant de la grâce et de la justice salvatrices du Christ sera de l'accueillir à son retour: la preuve pour le monde de son salut justifiant et de sa capacité à changer nos vies par sa puissance salvatrice. Quel grand jour ce sera! Prayer: Permettez-moi de prier avec vous: Père céleste, merci pour ta justice globale qui nous est donnée par la vie, le sacrifice et le ministère de Jésus-Christ.
Si nous cherchons dans les évangiles et observons bien les événements qui se manifestent autour de la croix, nous verront que c'est faux. Quand Jésus était sur la croix, le ciel s'est fermé. Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. Et vers la neuvième heure, Jésus s'écria d'une voix forte: Eli, Eli, lama sabachtani? C'est–à–dire, Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as–tu abandonné? Matthieu 27: 45 et 46 Non, Jésus a accompli toute justice lors de son baptême: Alors Jésus vint de la Galilée au Jourdain vers Jean, pour être baptisé par lui. Mais Jean s'y opposait, en disant: C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi, et tu viens à moi! Jésus lui répondit: Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi toute justice ou tout ce qui est juste, ( selon les versions). Et Jean ne lui résista plus. Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l'eau, et voici, les cieux s'ouvrirent, et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui.
Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles: Celui -ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection. Matthieu 3: 13 à 17 Comment Jésus a-t-il accompli toute justice en demandant le baptême? Le baptême prêché par Jean était un baptême de repentance, afin de préparer les cœurs à l'arrivée prochaine de Jésus. Jean-Baptiste disait: Repentez-vous car le royaume de Dieu est proche. Des foules entières venaient confesser leurs péchés. Jésus avait-il besoin de repentance? Non, puisqu'il n'a pas connu le péché. Jésus est venu non pour abolir la loi, mais pour l'accomplir. Le baptême annoncé ou prêché par Jean représente la fin de la loi et le début d'une ère nouvelle. Le dernier acte à accomplir pour que la loi soit observée ou pratiquée totalement par Jésus. Jésus s'y est soumis volontairement en mesurant l'importance de son acte d'obéissance. Là, nous constatons que le ciel s'est ouvert, alors que sur la croix, le ciel s'est fermé. Lors du baptême, le ciel s'ouvre et le Père déclare: « Celui-ci est mon Fils bien aimé, en qui j'ai mis toute mon affection » Le Père donne son attestation, son sceau sur cette obéissance de Jésus de se conformer à la loi.
Mais comment doit-on comprendre la parole paulinienne selon laquelle « le Christ est la fin de la loi »? Partons de la justice qui est la condition du salut et de la vie. De même que le péché conduit à la mort, la justice conduit à la vie et le lien entre celle-ci et celle-là est si étroit que la justice peut passer pour l'essence de la vie: « L'esprit est vie par la justice. » Qu'est-ce alors que la justice pour les Juifs soumis à la loi? Il n'est rien, dans l'Ancien Testament, de plus important que la justice puisqu'elle désigne ce à quoi doivent satisfaire les relations de l'homme au monde, aux autres et par-dessus tout à Dieu. La justice qui est quasiment un nom divin, c'est donc essentiellement ce qui est nécessaire au maintien de l'alliance entre Dieu et Israël. Est juste l'homme qui fait droit aux réquisits de l'alliance, qui par conséquent obéit à la loi, mais est juste aussi, sinon également, Dieu lui-même dont les actes salutaires attestent et la fidélité à ses promesses et la qualité de juge.
Nous ne devons pas non plus souligner les fautes des autres ou provoquer des conflits au sein de l'Église en l'accusant d'être plus juste que les autres. « Personne qui réclame la sainteté n'est vraiment saint. Ceux qui sont inscrits comme saints dans les livres du ciel n'en sont pas conscients et sont les derniers à se vanter de leur bonté. Aucun des prophètes et des apôtres n'a jamais professé la sainteté […]. Les justes ne font jamais une telle affirmation. Plus ils ressemblent au Christ, plus ils sont attristés de ne pas lui ressembler ». Alors comment comprendre le plan de salut en ces derniers jours de l'histoire du monde? Car je crois que Jésus va bientôt arriver. La grâce bon marché ne le fera pas. Elle nie la puissance du Saint-Esprit de changer la vie jour après jour pour devenir de plus en plus semblable au Christ. Le légalisme ne le fera pas. Il bloque le seul chemin du salut: la dépendance totale à l'égard de Jésus-Christ est notre seul chemin vers le salut. Une approche intellectuelle et critique n'y parviendra pas.
Pour mettre en place cette méthodologie de travail, une nouvelle catégorie d'agents apparaît dans les collectivités: les designers. Ces agents disposent de techniques et d'une boîte à outils indispensable pour réinterroger nos pratiques. Il s'agit par exemple de « l'essai-erreur-retour en arrière », qui peut être très utile dans la mise en place d'une politique publique. Des besoins nouveaux Le monde des collectivités connaît aujourd'hui des difficultés nouvelles de par la baisse des dotations et la raréfaction des recettes. De plus, les usagers des services publics ont de nouvelles exigences en termes de qualité, de rapidité dans la réalisation des missions des services publics. En parallèle, les agents publics ne veulent plus être de simples exécutants et souhaitent participer à la réflexion collective. C'est ce qui explique le succès du design de service public qui, même s'il est parfois utilisé pour faire des économies, a surtout pour objet de rapprocher tous les acteurs du service public.
Le projet de service Retour Un projet de service 4 pages « Sans grand dessein, les services vivent au jour le jour... » Les agents vivent dans une perpétuelle incertitude du lendemain et ne comprennent pas la finalité de leurs actions. Aucun lien solide ne les unit, si ce n'est un grand fatalisme devant les aléas de leur réussite ou une résignation passive devant la répétition des échecs. Une seule référence stable, la culture de l'administration pour qui le futur ne peut être que la reproduction identique du passé. Une seule certitude: la légitimité des actions, des habitudes et droits acquis; un seul objectif: les maintenir contre vents et marées. Sans projet, le personnel ne se mobilise pas autour d'objectifs de progrès, que sa culture conservatrice lui fait rejeter. Mais dans la tourmente (d'un changement politique ou institutionnel) rien ne résiste et tout s'écroule. Chacun pour soi tente de se raccrocher aux épaves du navire ou de gagner un nouveau bâtiment en invectivant le ciel, responsable du naufrage.
Slogan, devise et logogramme sont les véhicules du projet. - L'appropriation du projet par la masse nécessite une formule aussi lapidaire que possible: " devise " exprimant une pensée, ou " slogan ", formule frappante. - Le logogramme: identification de l'institution par les partenaires extérieurs le logo doit être symbolique de l'activité ou de l'objet qu'il représente; et label du personnel. Pour être un bon outil de management, un projet de service doit être: - SIMPLE dans son libellé (une page, trois principes, dix phrases); - VASTE dans son objet (toute la vie du salarié est engagée); - NÉCESSAIRE dans sa finalité (et non pas fortuit ou secondaire); - MOBILISATEUR dans son contenu; - COLLECTIF, c'est à dire partagé du directeur à l'employé; - ÉQUITABLE, donc légitime (pour que tout le monde y retrouve son compte); - AFFECTIF plus qu'intellectuel. Le ton à adopter peut être "qualitatif", "conquérant", "affectif ". "Nos produits ou services sont les meilleurs" "Notre ambition c'est de gagner" "Nous apportons un service adapté à vos besoins, nous traitons vos problèmes" IV - Comment élaborer un projet?