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Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix. Là où est la haine, que je mette l'amour. Là où est l'offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l'union. Là où est l'erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l'espérance. Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière. Là où est la tristesse, que je mette la joie. O Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu'à consoler, à être compris qu'à comprendre, à être aimé qu'à aimer. Car c'est en se donnant que l'on reçoit, c'est en oubliant qu'on se retrouve soi-même, c'est en pardonnant que l'on obtient le pardon, c'est en mourant que l'on ressuscite à la Vie. Amen.
"Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, Là où est la haine, que je mette l'amour. Là où est l'offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l'union. Là où est l'erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l'espérance. Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière. Là où est la tristesse, que je mette la joie. O Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu'à consoler, à être compris qu'à comprendre, à être aimé qu'à aimer. Car c'est en se donnant qu'on reçoit, c'est en s'oubliant qu'on se retrouve, c'est en pardonnant qu'on est pardonné, c'est en mourant qu'on ressuscite à l'éternelle vie. " Cette prière nous éclaire sur la spiritualité lumineuse de saint François. Mettez-vous à l'écoute de ce grand saint en vous inscrivant à cette neuvaine en ligne sur Hozana qui vous permettra, pendant neuf jours, de vous laisser guider par saint François sur son chemin vers Dieu.
Seigneur, fais de moi un instrument de Ta paix Là où il y a la haine, que j'apporte l'amour. Là où il y a l'offense, que j'apporte le pardon. Là où il y a la discorde, que j'apporte l'union. Là où il y a l'erreur, que j'apporte la vérité. Là où il y a le doute, que j'apporte la foi. Là où il y a le désespoir, que j'apporte l'espérance. Là où il y a les ténèbres, que j'apporte ta lumière. Là où il y a la tristesse, que j'apporte la joie. Seigneur, que je ne cherche pas tant À être consolé… qu'à consoler, À être compris… qu'à comprendre, À être aimé… qu'à aimer, Car c'est en se donnant… qu'on reçoit, C'est en s'oubliant… qu'on se trouve, C'est en pardonnant… qu'on est pardonné, C'est en mourant… qu'on ressuscite à la vie éternelle
Le père Étienne Benoît, visiteur du Tiers-Ordre franciscain de la région de Reims, l'imprime vers 1916-1918 sous le titre « Prière pour la Paix ». Le texte figure au dos d'une image de saint François d'Assise, mais il n'est pas explicitement attribué à celui-ci. Benoît écrit dans une note: « Cette prière résume merveilleusement la physionomie extérieure du véritable Enfant de Saint François et les traits saillants de son caractère. Que tous les Tertiaires du district de Reims en fassent leur programme de vie. Le plus sûr moyen de le réaliser est encore de réciter pieusement cette formule tous les jours et de demander à Dieu, avec ferveur, la grâce de la mettre en pratique » [ 6]. Dès 1927: texte attribué à saint François [ modifier | modifier le code] En 1927 cette prière est pour la première fois associée à saint François d'Assise par des pacifistes protestants français, les Chevaliers du Prince de la Paix du pasteur réformé Étienne Bach (1892-1986). La diffusion du texte s'élargit mais reste limitée [ 7].