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Des parents auxquels il pense tout le temps Au cours de cette discussion, Nelson Monfort évoque son admiration pour son père, un colonel qui s'est illustré sur le terrain et était un véritable héros. " Je l'admirais énormément. La seule peine que j'ai, c'est qu'il m'a quitté trop tôt. En fait, il avait plutôt l'âge d'être mon grand-père que mon père. Quand il est décédé, j'avais 22 ou 23 ans. J'ai perdu mes deux parents avant l'âge de 28 ans. En tant que fils unique, ça m'a forgé un sacré caractère. Mes parents m'ont eu beaucoup trop tard pour que j'ai des frères et soeurs. Moi, déjà, je ne devais sans doute pas naître parce que ma maman était juste à l'âge de concevoir encore. Tout ça a pas mal illustré ma vie. Je n'ai jamais connu de fratrie ". "Je pense à eux tout le temps, toutes les heures..." : Très ému, Nelson Monfort se livre sur ses parents disparus quand il était jeune (AUDIO). Et d'expliquer que ses parents sont évidemment très présents encore dans sa mémoire. " J'y pense tous les jours, tout le temps, toutes les heures (... ) Mon père adorait le sport, c'est lui qui m'a inculqué l'amour du sport, l'amour de la vie en plein air, l'amour des rencontres.
Ce mercredi 1 juin, Olivier Rousteing s'est confié lors du salon d'En Aparté. Le styliste en a dit plus sur sa vie personnelle et il a notamment dévoilé comment son homosexualité a été révélée à ses parents. Le grand styliste Olivier Rousteing est né sous X, c'est à l'âge de un an qu'il a été adopté par une famille aimante. Laura, fille d’une victime du dépeceur de Mons, raconte son enfance difficile (vidéo) - Édition digitale de Mons. Sur Netflix il a dévoilé un documentaire très personnel intitulé Wonder Boy: Olivier Rousteing, né sous X. Le public a ainsi pu découvrir sa touchante histoire, les membres de sa famille et les coulisses de son travail. Olivier Rousteing: son parcours de vie Le styliste avait entamé des recherches à propos de sa mère biologique. Sur le plateau de Laurent Delahousse, il a expliqué qu'il a fini par en savoir plus sur son histoire et sur sa mère: On a découvert qu'elle avait 14 ans quand elle m'a eu. On sait maintenant son identité. Je lui ai écrit une lettre que je n'ai pas réussi à envoyer parce que j'ai déjà eu un abandon et j'en veux pas un second si elle ne veut pas me revoir.
Au micro du podcast Parents d'abord de Télé-Loisirs, Nelson Monfort a évoqué son père et sa mère, tous deux décédés alors qu'il n'avait que 28 ans. Un témoignage émouvant. La suite sous cette publicité Derrière son sourire et sa bonhomie se cache aussi des fêlures. Invité du podcast Parents d'abord, où des personnalités se livrent sur leur vie de papa ou maman, Nelson Monfort - heureux père de deux filles - a évoqué également au détour d'une question ses propres parents à lui. Camille Combal proche de sa mère : ces choses qu’elle accepte par amour pour lui - Gala. Des parents qui l'ont fait grandir dans un cadre multiculturel et international, son papa étant américain et sa maman hollandaise. " Ça m'a aidé en matière de langues étrangères. Mes parent parlaient en anglais entre eux et me parlaient aussi en anglais. Ça m'a ensuite aidé considérablement professionnellement quand j'ai démarré. Et puis cette ouverture internationale a fait de moi un citoyen du monde. Je suis né sur le sol français mais je n'ai pas grand chose de Français. Ça m'apporte une ouverture d'esprit et une absence de chauvinisme dans mes commentaires ".
Des tendres confidences qui montrent bien que le créateur de mode ne sait pas vraiment comment réagir à cette situation. Plus tard, dans les colonnes de Elle, il a avoué avoir fait des découvertes déchirantes sur ses parents (ces révélations ainsi que sa réaction, se trouvent dans son documentaire): J'apprends que ma mère avait 14 ans quand elle m'a conçu et 15 quand elle a accouché. Elle est Somalienne, a vécu à Djibouti avant d'arriver en France. Mon père est un Éthiopien de dix ans plus âgé et elle ne semblait pas réellement le connaître. Je découvre un parcours très particulier, elle n'était peut-être pas consentante… Finalement, mon père biologique est peut-être quelqu'un de détestable… Me dire que ma conception ressemble sans doute à un cauchemar. J'ai vomi toute la nuit, je me dégoutais moi-même. poursuit-il. Ça n'a pas été forcément évident Invité dans En Aparté ce mercredi 1er juin, celui qui a grandi auprès de ses parents adoptifs à Bordeaux, en a dit plus sur sa vie personnelle.
« Ma maman est une battante, elle m'inspire pour tout. » L'admiration que porte Jenifer à sa mère lui ouvre les portes du Festival de Cannes. Ce vendredi, elle va monter les marches du tapis rouge après avoir reçu le prix Moteur!, lancé par l'association éponyme qui lutte pour l'égalité des chances chez les jeunes. Le concours, qui s'est terminé le 7 mai, proposait aux jeunes de 14 à 22 ans de filmer une vidéo d'1min30 avec leur smartphone sur une personne de leur entourage qui les inspire. Quand son beau-frère lui en parle, Jenifer sait tout de suite qui choisir. « J'admire ma maman pour sa force, explique la jeune femme de 22 ans. Je ne m'en rendais pas compte avant, mais je réalise tout ce qu'elle a fait pour moi. Et surtout, pour mon petit frère de 7 ans, qui est né prématuré et a besoin d'être accompagné tout le temps. » Dans sa vidéo, Jenifer écrit une lettre à sa mère pour lui montrer sa gratitude et son amour. Très émouvant, le court-métrage fait pleurer Asuncion, la vedette du film, à chaque fois qu'elle le regarde.
Un drame qui l'a marqué mais a fait ce qu'il est aujourd'hui. Nelson Monfort évoque ses défunts parents "En tant que fils unique, ça m'a forgé un sacré caractère, a-t-il expliqué. Mes parents m'ont eu beaucoup trop tard pour que j'ai des frères et sœurs. Moi, déjà, je ne devais sans doute pas naître parce que ma maman était juste à l'âge de concevoir encore. Tout ça a pas mal illustré ma vie. Je n'ai jamais connu de fratrie ". C'est donc seul que Nelson Monfort s'est construit, tout en honorant les valeurs transmises par ses regrettés parents. Il pense d'ailleurs à eux " tous les jours, tout le temps, toutes les heures". "Mon père adorait le sport, c'est lui qui m'a inculqué l'amour du sport, l'amour de la vie en plein air, l'amour des rencontres, a-t-il confié. Ma mère m'a inculqué plus de sensibilité. Ils auraient été fiers de voir mon parcours professionnel. Mais je me dis que peut-être de là haut, ils le voient d'une certaine manière. " La plus belle façon pour lui de rendre hommage à ses défunts parents et d'honorer leur mémoire au fil des années.
C'était il y a 12 ans… Laura, bientôt maman. - Volt Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s): Mons (Hainaut)