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Mesdames et Messieurs les élus, Mesdames et Messieurs les représentants des corps constitués, Mesdames et Messieurs, mes chers concitoyens, Merci de vous être rassemblés aussi nombreux pour commémorer notre fête nationale! Nous tous, réunis ici, représentons notre commune soudée autour des valeurs de la République pour célébrer le 14 juillet. Célébrer le 14 juillet, c'est se souvenir d'un des moments les plus importants de notre histoire, ce jour de 1789 où, prenant la Bastille, le peuple se libère de la monarchie et devient acteur de son destin politique. Diedendorf. Mobilisation pour la journée citoyenne. Ces femmes et ces hommes, réunis en une foule compacte, à Paris, sont animés par les aspirations des Lumières, par Diderot, Voltaire, Rousseau et les autres qui les ont portés vers leur destin. Les parisiens vont enclencher un processus qui, en 40 jours, va radicalement transformer la France. En 1880, le 14 Juillet est proclamé Fête Nationale. Célébrer le 14 juillet c'est mettre à l'honneur la République, notre République, avec ses valeurs portées par la Révolution française, ensuite devenues celles de notre nation toute entière.
Mettre plus de monde par kilomètre carré pour avoir à créer moins de kilomètres carrés qui sont toujours plus loin, kilomètres carrés qu'il faut ensuite relier entre eux par des kilomètres d'asphalte… Car le contraire de la densité, c'est l'étalement urbain. À Saint-Bruno-de-Montarville (densité: 611 habitants par kilomètre carré), sur la Rive-Sud, le maire Ludovic Grisé Farand est embourbé dans un débat sur la densité. Il en veut, mais pas trop. Discours du maire 12 juillet 2010. Pas dans le centre-ville, où il a limité les nouvelles constructions à deux étages. La densité, ce sera pour un nouveau quartier, dit-il, près des Promenades St-Bruno, « là où ça ne dérange personne ». PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Ludovic Grisé Farand, maire de Saint-Bruno-de-Montarville Il a aussi eu ces paroles lumineuses de lucidité, en entrevue avec Suzanne Colpron, de La Presse, mercredi: « Je pense qu'il faut limiter l'étalement, mais ça prend un équilibre aussi, parce que les gens qui partent des grandes villes veulent un terrain… » Il touche à l'essentiel du débat sur l'étalement urbain, le maire de Saint-Bruno.
En amont de l'AG du CNOSF, Brigitte Henriques (2e en partant de la gauche) et Amélie Oudéa-Castéra (4e en partant de la gauche) avaient pu échanger samedi à la Maison du Hand. (Sébastien Leban/L'Équipe) Un séminaire sera organisé d'ici à la mi-juillet avec toutes les composantes du sport français pour déterminer qui fait quoi. mis à jour le 23 mai 2022 à 23h53 Pour sa première assemblée générale ordinaire depuis son élection, la présidente du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) Brigitte Henriques a invité, lundi, la nouvelle ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques. Amélie Oudéa-Castéra a été la vedette de l'assemblée générale et a reçu un accueil favorable. « Je suis très impressionné par le discours, précis, visionnaire, la stratégie simple, le qui fait quoi. 14 juillet | Mairie de Rouxmesnil-Bouteilles. Le sport a trouvé sa patronne », a indiqué un président de fédération conquis. « Vous pouvez me faire confiance » Intervenant en premier, « AOC » a décliné certains des axes de sa politique à venir, de la nécessité de renforcer le modèle de protection sociale des athlètes de haut niveau aux efforts à fournir pour relancer le bénévolat.