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C'est la paix froide et profonde Qui se répand sur le monde, La grande paix de l'hiver. Francis Yard Il a neigé Il a neigé dans l'aube rose, Si doucement neigé Que le chaton noir croit rêver. C'est à peine s'il ose Marcher! Il a neigé dans l'aube rose. Si doucement neigé Que les choses Semblent avoir changé. Et le chaton noir n'ose S'aventurer dans le verger Se sentant soudain étranger A cette blancheur où se posent Comme pour le narguer Les moineaux effrontés. Maurice Carême Comptine Il fait froid, gla, gla, gla couvertures et feu de bois il fait chaud, chocolat la neige fond et ça sent bon. Poésie la neige anne hebert du. Chanson pour les enfants l'hiver Dans la nuit de l'hiver galope un grand homme blanc c'est un bonhomme de neige avec une pipe en bois un grand bonhomme de neige poursuivi par le froid il arrive au village voyant de la lumière le voilà rassuré. Dans une petite maison il entre sans frapper et pour se réchauffer s'assoit sur le poêle rouge, et d'un coup disparait ne laissant que sa pipe au milieu d'une flaque d'eau ne laissant que sa pipe et puis son vieux chapeau.
6 janvier 2009 2 06 / 01 / janvier / 2009 08:29 Comptine Le petit flocon de neige Je suis un petit flocon Tout menu, tout blanc, tout rond, Je voltige dans l'air léger, Je me balance au bout des branches, Je suis un petit flocon Tout menu, tout blanc, tout rond Les glaçons Les glaçons qui pendent du toit Dis-moi, c'est de la glace à quoi? Elle n'a pas de couleur, Elle n'a pas de goût, Elle n'a pas d'odeur, Elle n'a rien du tout! Alors, c'est de la glace à quoi, Les glaçons qui pendent du toit? Corinne Albaut Le bonhomme de neige Savez-vous qui est né Ce matin dans le pré? Un gros bonhomme tout blanc! Poésie la neige anne hebert. Il est très souriant Avec son ventre rond Ses yeux noirs de charbon Son balai menaçant Et son chapeau melon. Le soleil a brillé, À midi dans le pré, Je n'ai rien retrouvé... Le bonhomme a filé! Jason Émond La neige au village Lente et calme, en grand silence, Elle descend, se balance Et flotte confusément, Se balance dans le vide, Voilant sur le ciel livide L'église au clocher dormant. Pas un soupir, pas un souffle, Tout s'étouffe et s'emmitoufle De silence recouvert...
» ACCUEIL » LIVRES » LITTÉRATURE » POÉSIE - THÉATRE Agrandir ANNE HEBERT De anne hebert 15, 95 $ Feuilleter En stock: Expédié en 48 heures. Quantité Ajouter à ma liste de souhaits Non disponible en succursale EN SAVOIR PLUS Détails Prix: Catégorie: Poésie - Théatre Auteur: anne hebert Titre: Poèmes pour la main gauche Date de parution: avril 1997 Éditeur: BOREAL Pages: 62 Sujet: POESIE QUEBECOISE ISBN: 9782890528239 (2890528235) Référence Renaud-Bray: 050006329 No de produit: 13505 SUGGESTIONS Suggestions Quand je ne dis rien je pense encore READMAN PRUD'HOMME, CAMILLE 19, 00 $ Lait et miel KAUR, RUPI 19, 95 $ Cent plus beaux poèmes québécois(Les) COLLECTIF 12, 95 $ X Fermer Poèmes pour la main gauche, HEBERT, ANNE © 1997
Ce premier texte est un tableau inspiré du village de Frouville, dans le Vexin du Val d'Oise, à côté de Nesles-la-Vallée, où a vécu le poète et dont une avenue porte le nom. Le village Le village est au fond de la vallée. En haut De la route qui tourne au penchant du coteau On l'aperçoit qui rêve au milieu des prairies, Et regarde courir dans ses rives fleuries La rivière d'argent qu'enjambe le vieux pont. Voici la ferme, un puits, l'église … Des pigeons Traversent brusquement le ciel et, de leurs ailes, Jettent sur les toits d'or l'ombre volante et frêle. Silence. Calme. Poésies sur le thème de la neige - Classe Grenadine. Quiétude. - On n'entend rien Que des branches, où passe un souffle aérien. Émile Henriot (" Aquarelles ", Émile-Paul frères, 1922) Paysages J'aime les frais matins peuplés de tourterelles, Les ciels purs et lavés comme des aquarelles, L'azur, tout ce qui chante et tout ce qui sourit, L'humble lilas qui s'ouvre et doucement fleurit, L'oiseau comme un désir posé de branche en branche, Et, dans un jardin clair, avec sa robe blanche, Une rose au corsage ainsi qu'un cœur de feu, Légère, et douce à voir, quelque enfant à l'œil bleu Qui rêve, et longuement presse contre sa bouche Une autre rose rouge et dont l'odeur la touche.
Émile Henriot (" Les jours raccourcissent ", 1954)