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Au décès de sa fille, Victor Hugo se lance dans un voyage vers sa tombe dans Demain, dés l'aube. Une escapade spirituelle lui permettant de se retrouver avec lui-même, avec sa douleur et ses souvenirs. L'espérance et le doute de Maupassant fait voguer son lecteur sur l'océan, où Christophe Colomb naviguait quelques siècles plus tôt. Il narre le périple du conquistador, ses états d'âme et enfin sa détermination. Les synesthésies de Baudelaire et son Parfum Exotique, nous plongent dans un monde paradisiaque, où l'idéal est à son apogée. La nature semble prendre le contrôle sur l'Homme, qui se contente de vivre en harmonie avec elle. Lamartine nous fait voyager quant à lui dans ses souvenirs vagabonds, passés à traverser les mers, Les voiles gonflées par le vent. Puis il retourne au présent, nostalgique. Westwego de Philipe Soupault nous transporte de ville en ville, à travers les souvenirs de voyage du poète, de Moscou à Shanghai, en passant par New-York. Jules Supervielle, le temps de L'escale portugaise, décrit les ports maritimes et leurs odeurs, les façades des maisons verdoyantes et ensoleillées.
Préface de l'anthologie Explorer des mondes inconnus dans L'espérance et le doute de Guy de Maupassant, naviguer sur Les voiles d'Alphonse de Lamartine et ressentir les changements de temps et de températures grâce à L'escale portugaise de Jules Supervielle. Le voyage est un thème présent dans de nombreux poèmes, une façon de s'immerger quelques minutes dans un inconnu exotique, vers de nouveaux horizons. Mais alors, faut-il écrire pour voyager, ou voyager pour écrire? De nombreux poètes sont pris d'une passion pour ces autres mondes à la suite de leurs voyages, comme Baudelaire après son séjour en Réunion. Mais le lecteur, piégé dans son confort, profite de la poésie pour s'évader. Le voyage, à la fois l'occasion de découvertes culturelles et spirituelles, est le fil conducteur de cette anthologie. Dans le poème Heureux qui comme Ulysse, a fait un beau voyage, Du Bellay quitte son petit village angevin et transporte le lecteur dans un voyage vers Rome, mais aussi à travers la Grèce Antique.
La réalité Au-delà du fait que l'Espérance se savait en période de transition à la veille de cette saison, avec le départ de plusieurs joueurs, notamment ceux du secteur offensif, et le remplacement, tardif par ailleurs, du staff technique, dont on connaît le résultat en matière d'effectif à disposition, l'équipe a su monter un visage plutôt rassurant en matière de percussion et de création d'occasions, à tel point que « tout le monde » a commencé par rêver de la CAF CL cette année même, après avoir surclassé son groupe, voire maîtrisé l'ES Sétif chez lui notamment. Or et après l'élimination, pourtant imméritée, les attaques ont fusé de toutes parts contre Jaïdi pour une déclaration anodine, alors que le terrain, à ne pas confondre avec le résultat qu'aucun entraineur au monde ne peut assurer, lui a pourtant donné raison. Les joueurs, touchés, n'ont pu alors compter sur un entraîneur qui se devait de garder une certaine sérénité et transmettre un message plutôt positif à ses poulains pour reprendre du poil de la bête, comme ce fut un certain temps, où l'équipe se remettait à dérouler rapidement en compétition locale.
Porteuse d'une anthropologie où le respect de l'humain et de la création, en lien avec le seul vrai culte qui doive être rendu au Créateur, l'Église peut développer une compréhension sereine des crises que l'humanité traverse, forte de deux millénaires d'existence. Notre premier rôle de chrétiens serait donc déjà de ne pas céder aux sirènes de la panique générale qui semble s'être emparée de notre pauvre monde. Soucieuse du respect dû aux autorités légitimes quand elles prennent leurs décisions dans leur domaine de compétence et sans nier les droits élémentaires de l'être humain et de Dieu, l'Église, institution, doit aussi développer une calme analyse et appeler à la sagesse. Lire aussi: Les porteurs d'espérance sont aussi les porteurs de la Croix Ayant reçu du divin Maître l'assurance d'être dépositaire des moyens du Salut, sûre que les portes de l'Enfer ne sauraient prévaloir contre elle, l'Église plongeant ses racines aux commencements mêmes de l'histoire de l'humanité, élevant son regard vers la Trinité bienheureuse comme fin ultime, doit transmettre au monde sagesse et espérance.
Pour redonner confiance aux citoyens qui cherchent à tâtons une ligne de conduite, la petite fille Espérance est un guide sûr de sagesse et de courage. Le moins que l'on puisse dire c'est que cette rentrée 2020 est morose. Bien morose. Sur fond de crise économique, que d'aucuns annoncent catastrophique, sur une mise en musique covidienne angoissante, ponctuée d'injonctions contradictoires et d'informations contraires, le pauvre citoyen français, cherche désespérément une ligne de conduite qui ne ressemblerait pas à une fuite en avant vers le néant! Scientifiques et politiques se renvoient la balle de l'inconséquence et de l'incompétence; les réseaux sociaux bruissent de toutes sortes de complots, de solutions miracles ou d'apocalyptiques analyses; quant aux grands médias, seul véritable pouvoir sans contrepouvoir, asservis on le sait à la loi du marché et aux financiers qui les font vivre, le niveau de confiance qui leur est accordé semble désormais proche de l'infini zéro! Une compréhension sereine des crises Dans ce contexte, l'Église catholique a un grand rôle à jouer, auprès de ses fidèles, mais au-delà, par son statut d'institution, dans toute la société, cette dernière le lui refuserait-elle d'ailleurs.