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Évidemment tu l'aimes encore J'écoute la chanson qui a signé notre début. Au moins dans mon cœur. En y repensant, et cela me donne autant envie de rire que de pleurer, son titre aussi montrait que nous finirions mal. "Nous", quel mot étrange. Je t'écris ici, parce que je ne veux pas que tu me haïsse. J'écris ici parce que je ne veux pas être effacée. Bien sûr que je t'aime encore. Ce n'est pas parce que je me relève, que je dis que j'ai fini de pleurer le petit ami que... Bien sûr que tout n'est pas effacé. La croûte est juste assez épaisse pour que le sang ne coule plus, mais au moindre choc, à la moindre égratignure, au moindre contact, des torrents de larmes et de sang coagulé sont prêts à s'échapper. Je ne suis pas assez forte. Devrais-je m'en excuser? Est-ce que je n'ai pas passé trop de temps à le faire, en vain? Evidemment, je t'aime encore - Blog de promo-fiction. J'ai peur tu sais. Je crois que je n'ai jamais eu aussi peur de la solitude. Avant, elle était en elle-même un compagnon agréable que j'aimais retrouver de temps en temps.
Rien de tel que de débuter votre journée avec une belle petite phrase, pour vous, ou pour citer à votre entourage (amis, clients, famille... ). Quelques exemples de citations du jour envoyées récemment.
L'essor est lent, la montée paresseuse. Les fleurs du magnolia restent campées dans leur enveloppe. Non, l'hiver n'a pas fini de passer. L'ombre froide finira bien par céder sa place à celle chaude de l'été, mais elle se fait lente la sortie des marais gelés, et grande la hâte de chanter la liberté retrouvée et de sentir l'air qui court entre les fenêtres ouvertes. C'est que le cycle est si intense dans ce morceau du monde. Évidemment tu l'aimes encore. Tellement qu'encore, malgré autant de saisons à y faire, quand j'avance contre le fouet d'un vent glacial, mon cerveau a du mal à me croire si je lui raconte qu'en ce même lieu dans peu de temps, l'air sera lourd et tropical. Puis quand juillet s'installe et que je m'abandonne dans mon hamac aux vents torrides de quelques nuits, l'idée du froid géant qui parfois nous traverse semble tout aussi irréelle. La caresse du chaud se fait attendre. Comme celle d'un amant parti loin qui serait revenu dans la nuit sans faire de bruit. Et qu'on regarde se réveiller au matin, tandis qu'il bâille et s'étire pour un peu trop d'éternité avant même que d'ouvrir les yeux.
› Figaroscope › Citations › Il est évidemment bien dur de ne plus être aimé quand on aime, mais cela n'est pas comparable à l'être encore quand on n'aime plus. Tout sur cet auteur L'auteur Georges Courteline Ecrivain français | Né à Tours le 25 Juin 1858 Né d'un père écrivain humoriste, Georges Courteline, de son vrai nom Georges Victor Marcel Moinaux, vit à Paris bien qu'il soit né à Tours. L'éducation sévère qu'il reçoit au Collège de... ses autres citations Index des thémas citations