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En plus, les NTIC ont permis de faciliter de la circulation de l'information. Les risques de la globalisation financière Risque de contrepartie: (risque de crédit) C'est le risque que la partie avec laquelle un contrat a été conclu ne rembourse pas sa dette à échéance. Risque de marché: Il est dû à l'incertitude liée aux valeurs futures d'une action. Tous ces risques sont renforcés par le comportement des agents: Le comportement de mimétisme. Risque d'aléa moral: C'est une situation dans laquelle un agent qui se sait garantit contre un risque se comporte différemment que s'il était totalement exposé au risque et va donc prendre d'avantages de risques. Accroissement des risques de crise: Les actions détenues beaucoup moins longtemps et donc la logique de court terme favorisant la recherche du profit l'emporte sur la logique de long terme. La propagation des crises L'interdépendance entre sphère financière et sphère réelle => Une crise financière se répercute sur l'activité économique par une série de 3 effets: Effet psychologique: Crise de confiance qui conduit les investisseurs pessimistes à stopper leur investissement.
Cette globalisation financière signifie qu'un agent économique peut emprunter ou placer de l'argent où il le souhaite à travers le monde, pour la durée qu'il veut, son objectif étant la recherche de la rentabilité maximale. b. La règle des trois D Le processus d'internationalisation se traduit à la fois par trois caractéristiques: – Un décloisonnement des marchés, c'est-à-dire la suppression des séparations entre les différents marchés des capitaux notamment nationaux. – Une désintermédiation, c'est-à-dire un accès direct aux marchés des capitaux pour les agents économiques en se passant (théoriquement) des banques. – Une déréglementation, c'est-à-dire un assouplissement (voire une suppression) des règles de fonctionnement des marchés. Les placements sont donc libres sur toutes les places financières mondiales. Pourquoi des capitaux s'échangent-ils ainsi chaque jour? On peut citer les raisons: - De transaction: pour régler le montant des produits échangés. - D'investissement: création ou rachat de filiales à l'étranger, échanges de capitaux entre les filiales et la maison-mère.
La spéculation sur la sphère informatique dans les années 2000', sur les crédits subprimes en 2007, sur la dette étudiante et sur l'explosion du gaz de Schiste aujourd'hui n'en sont que les conséquences. Notons que cependant, certains économistes considèrent que la spéculation apporte une certaine fluidité sur le marché et lui permet d'être en action en tout temps. Il y aurait alors une fluidité d'investissements en fonction des perspectives économiques, mais leurs effets sont critiqués par d'autres économistes, considérés comme devenue incontrôlables par le système bancaire et par le système financier international. III – Dérives sur la déconnexion entre la « finance folle » et la « production réelle » La finance a aujourd'hui une place si importante qu'elle fait peur, et à première vue, elle se déconnecte peu à peu de l'économie réelle. Car en se déconnectant 5 secondes de la « finance champagne » (Wall Street, Bonus, The big short, Madoff, Traders, Cocaine et autres clichés qui s'enracinent désormais dans la culture populaire, incarnés par la célèbre citation de Gordon Gecko dans Wall Street, « Greed is good »), on voit que la réelle finalité de la finance est de lever des capitaux afin de financer les activités des entreprises et de leurs permettre d'augmenter leurs productions réelles.