pakdoltogel.net
Décliner Faire correspondre Les droits de mouture se partageront également entre le comte et les moines; ceux-ci choisiront le meunier. Et cinq pour le droit de mouture. OpenSubtitles2018. v3 UN MOULIN NE PEUT ETENDRE LA CAPACITE D ' ECRASEMENT RESULTANT DE CE CONTINGENTEMENT QUE SOUS CERTAINES CONDITIONS DETERMINEES, ET NOTAMMENT EN SE PROCURANT SUR LE MARCHE DES DROITS DE MOUTURES. EurLex-2 Les Pays-Bas se félicitent de ce que les articles figurant dans le chapitre # portent sur les obligations de l'État responsable et non, comme c'était le cas de la mouture précédente, des droits de l'État lésé MultiUn Les Pays-Bas se félicitent de ce que les articles figurant dans le chapitre II portent sur les obligations de l'État responsable et non, comme c'était le cas de la mouture précédente, des droits de l'État lésé. UN-2 L'acquisition, par l'UE, de la personnalité juridique implique-t-elle que l'on peut désormais légitimement considérer l'UE en droit international comme une nouvelle mouture de ce que les spécialistes du droit constitutionnel appelaient naguère un État confédéral (unique en son genre)?
Le mystérieux rapport qui existait entre l'observation menaçante du Chouan et l'offre de l'hôte, assez commune chez les aubergistes qui cherchent toujours à tirer deux moutures du sac, piqua sa curiosité ( Balzac, Chouans, 1829, p. 88). Prononc. et Orth. : [muty:ʀ]. Att. ds Ac. dep. 1718. Étymol. et Hist. 1240 « salaire du meunier » (Mai, Petit reg. de cuir noir, f o 79 r o, A. Tournai ds Gdf. Compl. ); 1542 tirer d'un sac deux moustures « tirer double profit, double utilité d'une chose » ( Rabelais, Gargantua, éd. R. Calder, M. Screech, chap. 20, p. 80, var. E); 2. 1254 Molture « action de moudre le blé » ( Nov., Cart. de Cambron, p. 437 ds Gdf. ); 1339 blef de muiture « mélange par tiers de froment, seigle et orge » ( Lettr. de Confirm., A. N. JJ 72, f o 224 r o ds Gdf. ); 3. 1935 seconde mouture « nouvelle présentation un peu différente d'un sujet déjà traité » ( Ac. D'un lat. * molitura « céréales amenées au moulin », « salaire du meunier », « blé de mouture », attesté dans les lang.
Le Cabinet SPIC et ALBERT est spécialisé, depuis plus de quarante cinq ans, en matière de transactions, conseils et expertises afférents aux biens et droits mobiliers et immobiliers en meunerie sur l'ensemble de la France. La meunerie est une très ancienne profession qui existera toujours mais dont l'activité s'est considérablement réduite et concentrée au cours des cinquante dernières années. Profession réglementée, la meunerie est régulièrement suivie et actualisée, via ses organismes de tutelle, en fonction de l'évolution des besoins de ce milieu. En 1937, au moment de l'entrée en vigueur de la réglementation meunière (institution du contingent), il existait plus de 8 000 moulins. C'est à ce moment-là, en 1938, que fut créé le contingent, une spécificité française. L'article L621-30 du Code Rural indique: « La production de farine de blé tendre destinée à la consommation humaine en France métropolitaine est subordonnée à la détention d'un contingent de meunerie ouvrant doit à l'exploitation d'un moulin dans la limite d'une quantité annuelle déterminée de blé tendre.
Pour les articles homonymes, voir Banalité. « Banaux » redirige ici. Pour l'article homophone, voir Bano. Les banalités sont, dans le système féodal français, des installations techniques que le seigneur est dans l'obligation d'entretenir et de mettre à disposition de tout habitant de la seigneurie. En contrepartie, les habitants de cette seigneurie ne peuvent utiliser que ces installations seigneuriales, pour un prix qui est fixé par le seigneur. Ce sont des services publics. Les principales banalités sont: le four banal (taxé par le fournage); le moulin banal; le pressoir banal; le marché aux vins. Les installations banales (fours à pain, moulins, pressoirs) ne doivent pas être confondues avec des installations communautaires, qui étaient beaucoup plus courantes et dont la gestion revenait à la collectivité. Un autre banalité était celle de tor et ver, qui était l'entretien et la mise à disposition par la seigneurie d'étalons reproducteurs sélectionnés, taureau ou verrat, dont les saillies étaient sujettes à redevance.