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Résumé du document Dans son Essai sur l'entendement humain, Livre II, chapitre 27, Locke traite de l'unité de la personne. Ayant préalablement défini dans le chapitre 9 que la personne est "un être pensant et intelligent, doué de raison et de réflexion, et qui peut se considérer soi-même comme soi-même, une même chose pensante en différents temps et lieux", il cherche à savoir ce qui établit l'unité d'une même personne, ce qui fait qu'elle se sent être elle-même. Lorsque l'on parle de l'identité d'un homme, il s'agit donc de savoir si cet homme est identique à lui-même, s'il est le même que lui-même (c'est le principe d'identité): une chose ne peut dans le même temps être à la fois elle-même et une autre. Locke, Essai sur l'entendement humain, Livre II, chapitre 27, paragraphe 16 : commentaire. Qu'est-ce qui constitue une personne et la rend unique, au-delà de son unité biologique? Est-ce une unique substance nous constituant, telle que l'âme, qui pousserait l'homme à se sentir comme étant "soi-même"? (... ) Sommaire Introduction I) C'est la conscience qui fait l'unité de la personne II) Le rôle de la mémoire dans la construction personnelle Conclusion Extraits [... ] Locke expose donc dans la première partie du paragraphe que la seule substance immatérielle, telle que l'âme, ne peut suffire à expliquer l'identité de l'homme et que c'est la conscience qui permet la continuité des pensées de la personne.
Accueil Philosophie Essai sur l'entendement humain, Livre II, chapitre 27, paragraphe 22, Locke - Commentaire Extrait du document Dans son Essai sur l'entendement humain, Livre II, chapitre 27, paragraphe 22, Locke traite de la conscience de la personne. il cherche à savoir ce qui établit le jugement d'une même personne, qu'est-ce qui peut faire qu'elle soit coupable ou pas, qu'est-ce qui peut la juger. Lorsque l'on parle de la conscience d'un homme, il s'agit donc de savoir si cet homme est apte a se juger lui-même par sa conscience, si on peut le juger pour des actes qu'il a fait en étant inconscient. Est-ce qu'un homme reste toujours le même, même s'il se trouve dans un état d'inconscience comme le somnambulisme? Peut-on vraiment juger un homme si il n'a pas conscience de ses actes? Essai sur l entendement humain livre 2 chapitre 27 elements. Pour l'auteur, l'homme conscient et inconscient n'est pas la même personne, même si c'est le même corps, si il est inconscient, il n'a pas connaissance de se qu'il fait, il agit sous le contrôle de l'inconscient.
Résumé du document En 1690 paraît la première édition de l' Essai sur l'entendement humain de John Locke (1632-1704). Dans cet ouvrage l'empirisme est roi, et toute idée prend sa source dans le monde sensible. Le premier livre est une critique de la théorie de l'inné, tandis que le deuxième livre, une fois l'inné réfuté, est consacré à la présentation et l'explication complexe des thèses de Locke.
C'est la conscience qui fait qu'un homme se sent être le même soi tout au long de sa vie. Mais comment Locke définit-il cette conscience au-delà de son pouvoir d'assemblage des pensées? Cette conscience accorde-t-elle une aussi grande importance au passé qu'au présent? [... ] [... ] Elle est peut être matérielle, peut être immatérielle, peut être les deux. Il y a un indéterminisme de la matière par Locke. Nouveaux essais sur l entendement humain - AbeBooks. Alors peut-être peut-on penser que son rejet radical de la détermination de l'identité personnelle comme étant l'existence d'une seule et unique substance relève de cette incertitude concernant la nature même de cette substance? Peut-être que la substance qu'il réfute comme étant la seule origine de l'identité de l'homme est d'un état indéterminé qui bloque son explication? [... ] Dans un premier temps, Locke considère comme évident qu'une seule et même substance immatérielle, telle que l'âme, ne suffit pas pour expliquer l'unicité de la personne. Il faut savoir que l'âme est l'organe de la pensée de l'homme, qui lui permet de ressentir des émotions.
Il affirme que l'identité personnelle repose sur l'identité de conscience. C'est la conscience qui va faire, selon Locke, notre identité personnelle, la m&eci... « pense, en fait, qu'on est plusieurs personnes puisque la Loi le précise: en effet on ne punit pas un fou pour les actes accomplis « par l'Homme » alors que c'est le même homme au sens physique qui a commis ces actes, mais la Loi fait la distinction et s'applique à des personnes distinctes. Commentaire de Texte - Locke, II, 27, paragraphe 20. Ce n'est plus la même personne alors que c'est le même homme. Dans les paroles aussi et le langage, il n'est pas rare de dire qu'il peut être « hors de lui » ou qu'il « n'est pas lui-même »: Il faut donc comprendre que le même homme peut être habité par deux personnes différentes. Un homme peut très bien rester le même d'un point de vue physique et psychologique sans être la même personne. Des pertes, des absences de conscience, des crises d'amnésie (intermittences de la conscience) peuvent diviser ou fragmenter sa personnalité. Être une personne, c'est être conscient de ces actes et de ses pensées, c'est les considérer comme siens, c'est se les attribuer.
La conscience assurerait la continuité que l'âme ne peut assurer. La conscience permet donc de donner une histoire continue à l'homme, à partir des pensées ponctuelles qu'il a eu à chaque instant de sa vie. ]