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Ancrée dans la tradition, la Garde républicaine équipe ses chevaux avec le même type d'harnachement et de selles d'armes qu'en 1874 tandis que les cavaliers arboreront la tenue d'honneur: le casque doté d'une crinière (noire sauf pour les membres de la fanfare qui est rouge), la tunique bleu marine, le pantalon et les gants blancs, les bottines avec éperons et le sabre. Dimanche, ce sera un vrai baptême du feu pour Etna et son cavalier: « le bruit de la foule, les conditions météo, les nombreux véhicules, il faudra être vigilant tout au long du parcours pour anticiper tout mouvement brusque du cheval, mais quel honneur de défiler le jour de la Fête nationale! ».
Il est à noter que les enfants de moins de 8 ans ne peuvent pas visiter l'école. De plus, si vous souhaitez emmener des groupes d'enfants de moins de 12 ans, cela est impossible. Si vous souhaitez visiter ce lieu, il vous coûtera 13 euros par adulte et 9, 50 euros par enfant. N'oubliez pas votre pièce d'identité, un contrôle rigoureux est réalisé. Maintenant que vous en savez plus sur cette unité prestigieuse, souhaitez-vous visiter ses quartiers? Connaissiez-vous la garde? N'hésitez pas à donner votre avis sur cette unité de cavalerie en laissant un commentaire. Maëva M. Sources texte: 1, 2 Cultival Sources images: Wikimé 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 {lang: 'fr'} Si vous citez cet article n'hésitez pas à faire un lien de retour sur votre site ou blog!
Il est 7 heures, l'heure de l'appel. La journée du régiment de cavalerie du 2e escadron du quartier de Carnot commence. L'adjudant Vigoureux fait partie de ces passionnés qui ne rechignent pas à se lever tôt. "Cela fait partie du métier. Nous sommes des militaires avant d'être des cavaliers, ce qui implique rigueur, discipline, dévouement et disponibilité! " Plus de 6 heures d'affilée à cheval "Après l'appel, nous nourrissons et soignons nos chevaux et nous occupons de l'entretien des écuries. Ensuite, je fais travailler les cavaliers au maniement du sabre, en ordre serré, à cheval. Chez les chevaux, mon élève du moment s'appelle Toiareg. Il a 5 ans. J'ai même fait la répétition du défilé du 14 juillet avec lui! 75% des missions de la garde républicaine concernent la sécurité publique. Nous patrouillons à cheval et intervenons lors de diverses manifestations. Pour un concert dans un stade, je peux passer plus de 6 heures d'affilée à cheval! Nous pouvons aussi partir à la recherche de personnes disparues en forêt, sécuriser une zone… Les 25% du temps restants, nous effectuons des services d'honneur dans les palais nationaux. "
L'auteur de l'éternel "j'aime regarder les filles" aime se ressourcer dans ce village des Deux-Sèvres. Rencontre avec une rock star qui a gardé les pieds sur terre. "La patrie est là où on vit heureux", écrivait Voltaire. La patrie de Patrick Coutin, c'est donc sans aucune hésitation ce village des Deux-Sèvres. Saint Loup sur Thouet, petite bourgade de mille âmes coincé entre la Gâtine et le bocage. Les dépliants touristiques vous vanteront ses façades médiévales à colombage, son château bien sûr, le pont Eiffel et le lac du Cébron. Le musicien, lui, préfèrera vous emmener au gué pierré de Rolland. "Ici, c'est un endroit parfait! Il y a tout ce qu'un être humain a besoin, en tout cas au niveau des yeux et de l'âme et c'est ce qu'il y a de plus important", résume l'artiste. Avec son chapeau de paille, son épingle à nourrice en guise de boucle d'oreille et son pins en étoile rouge sur sa veste de jean noir, forcément les bien pensants pourraient se gausser de ce rocker pas du tout repenti, là, au milieu de cette exhubérante verdure.
Les mieux informés pourraient se rappeler que ce mec-là a, entre autres choses, été derrière la sono du Gibus, temple du rock parisien, qu'il a produit aussi bien les Wampas que Dick Rivers, qu'il a écrit une biographie des Doors et que, de mai 68, il a surtout retenu une détestation viscérale et situationniste de "la société du spectacle". Alors quoi d'étrange à parler de nature et de douceur de vivre avec Patrick Coutin dans les Deux-Sèvres. Situ et un peu taoïste, le monsieur. "C'est un lieu qui vous remet les pieds sur terre. Tout ce que vous avez autour de vous, ça fait de vous un être humain, plus doux, plus concentré et plus attentionné. Moi, je suis quelqu'un qui aime vivre au milieu des autres, dans la nature, dans les choses simples parce que je pense que le bonheur est là. Je n'ai jamais pensé que la vie de star était un cadeau. Moi, ce que j'aime, c'est faire de la musique, partager mes créations, jouer avec des musiciens. Etre une star, ça ne m'a jamais intéressé vraiment".
Montée au collet au pied de la croupe. On y délaisse les raquettes, la crête semble assez soufflé et plutôt déneigée, sans sous-couche gelée, l'ascension semble réalisable sans crampons. On s'y colle donc... Il est déjà presque 16h et les couleurs se réchauffent malgré des voiles nuageux tamisant la lumière du soleil, mais la montée s'expédie rapidement droit dans la pente. Les conditions sont bonnes, mais il faudra juste faire attention à quelques passages raides, notamment pour ne pas glisser sur quelques dalles raides masquées par la neige. Et voilà l'antécime, premier objectif convoité. Derrière, on peut facilement descendre pour rejoindre les pentes, maintenant débonnaires, montant vers l'Oreille du Loup, où plutôt le sommet nord, car le point culminant de ces aiguilles rocheuses est inaccessible au randonneur classique... 16h30, le sommet, dans la lumière magnifique du soleil couchant. De l'autre côté, les crêtes de l'Armet sont en feu, sous la lune qui s'est levée. Voilà l'endroit idéal pour contempler le coucher de soleil.
Ascension D epuis le parking du bout de la route de Saint-Honoré, prendre vers l'est le chemin montant en forêt, puis rapidement bifurquer sur la branche de gauche partant dans une longue traversée ascendante d'une large combe, pour se diriger vers des pentes puis des replats débonnaires montant en direction du lac de Charlet. J uste avant le lac, délaisser à droite le sentier montant au Tabor, et poursuivre vers le nord en direction du col de l'Ollière. Peu avant le col, quitter le chemin pour monter à vue quelques pentes un peu raides pour déboucher sur un collet à droite du col. M onter vers l'est la croupe au-dessus du collet. Suivre au mieux la croupe, qui se fait assez raide mais pas excessivement. Il y a parfois quelques traces mais pas de vrai sentier. Quelques courts passages plus raides demandent un peu d'attention sans que les mains soient vraiment utiles. Ne pas trop s'éloigner du fil. O n aboutit à une antécime de la crête. Descendre un peu derrière pour rejoindre la débonnaire crête sommitale, qui se monte sans aucune difficulté vers le sommet.
Veuillez supprimer certains de vos filtres. Trier Filtrer (1) 31/05/2022
Il a certes beaucoup neigé la semaine précédente, mais le retour de l'anticyclone et de la douceur en altitude aura vite fait de faire fondre la neige saupoudrant les forêts... Alors, allons chercher le panorama plus en altitude... Départ vers de la station fantôme de Saint-Honoré vers 14h passé. Les longues pentes vers le Piquet de Nantes sont enneigées, peut-être un peu galère en raquettes par ces conditions, dirigeons nous plutôt vers le nord en direction du lac de Charlet, on verra là-bas la suite à donner à la balade... Le lac Charlet est en mode "hiver", sous la neige. Plus haut, des traces de skis se dirigent vers la Tabor, mais l'ombre et les conditions de neige incertaines dans les parties raides dissuadent de se lancer dans cette montée. Poursuivons donc vers le col de l'Ollière, et peut-être au-delà vers le Perollier... C'est en montant que la curiosité s'instille... Jusque où est-il possible de monter cette croupe montant à droite au-dessus du col? C'était l'excuse qu'on cherchait pour délaisser l'habituel Pérollier pour pimenter la balade par une petite exploration...