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PROVINS: PATRIMOINE MONDIAL DE L'UNESCO Provins, unique témoin d'une cité marchande des foires de Champagne des XIIe et XIIIe siècles... Sur les anciennes terres des Comtes de Champagne, Provins se trouve, dès l'An 1000, au carrefour des routes du commerce européen. L'Allemagne va faire une entorse à sa constitution pour renforcer son armée. La ville devient peu à peu une place commerciale de premier ordre. Au XIIe et XIIIe siècles, Provins atteint son apogée avec les célèbres Foires de Champagne. Le plan urbain est conçu pour accueillir les nombreux marchands: des rues larges pour le passage des convois et pour l'emplacement des étals, les maisons de marchands à 3 étages avec de somptueuses salles voûtées… La présence de l'eau (le Durteint et la Voulzie) favorise également l'activité économique et le développement des métiers tels que les drapiers, parcheminiers, bouchers, etc. Les imposants remparts, véritables florilèges de formes, sont construits au cours du XIIIe siècle dans le but de protéger les hommes et les richesses, mais aussi de montrer la puissance des comtes.
LIRE AUSSI >> Valérie Pécresse: «Je ne veux pas déconstruire les hommes! » « Elle ne demande pas la charité » La présidente de la région Île-de-France n'avait récolté que 4, 78% des voix au premier tour de la présidentielle, pour laquelle elle s'était « endettée personnellement à hauteur de cinq millions d'euros ». Elle avait lancé dès le lendemain de sa défaite un appel aux dons, et relancé ensuite son appel en invoquant « ceux qui partagent mes convictions » mais aussi ceux qui, « par peur des extrêmes, ont choisi le vote utile dès le premier tour ». « Elle ne demande pas la charité, mais la solidarité et l'amitié. C'est une femme d'honneur », avait affirmé son entourage. Piece 2 euros fete de la musique 2013. L'ancien chef de l'État Nicolas Sarkozy, qui ne l'avait pas soutenue pendant sa campagne, avait fait un don de 2 000 euros. La candidate malheureuse avait refusé cette participation.
L'un, Roberto Mancini, 56 ans, a révolutionné le jeu d'une Italie dévastée par l'échec en barrage de qualifications, après avoir chuté dans le groupe face aux Espagnols. L'autre, Luis Enrique, 51 ans, a redonné une âme à une « Roja » un peu usée. Les promesses de renouveau étaient là, restaient à les confirmer pendant l'Euro. L'Espagne a souffert au début avec deux nuls (Suède et Pologne). Mais la franche victoire contre la Slovaquie (5-0) a libéré les têtes. Notre critique de la piècePar le bout du nez sur France 2. « Les yeux dans les yeux » La « Roja » a depuis affiché de belles ressources, à défaut d'un jeu flamboyant, pour écarter la Croatie (5-3 a. p. ) puis la Suisse (1-1 a. p., 3-1 aux tirs au but), dans le sillage de l'avant-centre de la Juventus Alvaro Morata. « Cette sélection a réussi l'impossible: redonner espoir à toute l'Espagne et la faire rêver d'atteindre ce qui paraissait inatteignable », a salué samedi Emilio Contreras, directeur adjoint du quotidien sportif Marca, se prenant à rêver d'un quatrième titre continental, le troisième en quatre éditions après les sacres de 2008 et 2012.