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Laurent Lafitte et Omar Sy dans "Loin du périph" - Netflix La comédie policière avec Omar Sy, suite de De l'autre côté du périph, est le 6ème film non-anglophone le plus vu sur la plateforme. Un nouveau succès pour la star, un an après le carton de Lupin. La popularité mondiale d' Omar Sy se confirme: un an après le succès de Lupin, série française la plus regardée dans le monde sur Netflix, le comédien s'offre le film français le plus vu à l'international sur la plateforme de streaming. "Loin du Périph" avec Omar Sy est désormais le film français le plus vu sur Netflix. Sa dernière comédie policière, Loin du Périph, suite de De l'autre côté du périph, qui avait séduit plus de 2, 2 millions de spectateurs en salles en 2012, est en tête du classement des contenus les plus vus depuis trois semaines, avec 70 millions d'heures de visionnage. Cette comédie gore et trash est aussi le sixième film non-anglophone le plus vu de la plateforme, a-t-elle précisé. Le cinéma français s'exporte bien sur Netflix: l'année dernière, la comédie Pourris gâtés avec Gérard Jugnot y avait rencontré un succès surprise.
Rachid Bouchareb avait en effet marqué les esprits en 2009 avec Indigènes consacré au destin des soldats recrutés en Afrique, oubliés de l'armée française. Puis, en 2010, avec Hors la loi sur le parcours de trois frères sur fond de guerre d'Algérie. Avec Nos Frangins, aujourd'hui, Rachid Bouchareb poursuit son exploration des failles mémorielles. Monologue femme cinéma français. Hasard du calendrier, une autre autre de fiction revient parallèlement sur la mort de Malik Oussekine à travers le combat de sa famille pour faire éclater la vérité sur les circonstances de sa mort: la série Oussekine d'Antoine Chevrollier ( Baron noir, Le Bureau des légendes) avec Sayyid El Alami. Elle est disponible depuis le 11 mai sur la plateforme Disney+. Notre critique du film "Nos Frangins"
C'est la déprime sur la Croisette. Le cinéma des frères Dardenne, prisonnier de son système et réduit à sa plus simple (simpliste? ) expression, frise la démonstration démagogique dans « Tori et Lokita », chemin de croix d'une jeune Nigérienne sans papiers et de son petit frère, échoués en Belgique; l'italien de la compétition, « Nostalgia » de Mario Martone, sacrifie un beau sujet (le retour au pays d'un Napolitain exilé depuis quarante ans qui retrouve sa mère mourante, le prêtre du quartier et son ex-ami d'enfance, chef de la mafia locale) à la pauvreté de sa mise en scène. Monologue cinéma français littré. Et pendant que le petit monde du showbiz s'applaudit et se congratule, un rapport commandé par le Centre national du Cinéma (CNC) fait état de la situation critique dans les salles (-55% de spectateurs entre 2019 – avant le Covid – et 2021). Les facteurs explicatifs sont connus mais voici dans quelles proportions ils semblent influer: perte d'habitude (38% des réfractaires), prix trop élevé du billet (36%), port du masque rédhibitoire (33%), préférence pour les plateformes et le home cinéma (26%) et manque d'attractivité des films proposés (23%).