pakdoltogel.net
Nous n'affichons que les profils réels et vérifiés de jolies filles pour chatter, faire des rencontres et peut-être trouver l'âme sœur. Plus besoin de passer par des chats vidéo gratuits douteux pour parler avec des filles: tout ce dont tu as besoin est à portée de main. La technologie pour faire des rencontres sur CooMeet est toute simple: allume ta webcam, connecte-toi et tu seras immédiatement mis en contact avec une belle inconnue. Si la conversation ne t'intéresse pas ou si quelque chose ne va pas, passe à la suivante. Essaie le chat roulette vidéo dès maintenant! FILLES VÉRIFIÉES Comment ça marche? Utiliser CooMeet est très facile: allume ta caméra et tu verras une fille au hasard tout de suite. Si elle ne te plaît pas, clique sur "Suivant". Quoi de spécial? Oublie tout ce que tu sais des rencontres en ligne. CooMeet a créé un réseau innovant de rencontres vidéo qui te connecte à la vitesse de l'éclair avec de nouvelles personnes pour chatter sans avoir à créer de compte. Discute avec des filles en un clic et profite des super nouvelles fonctions qui rendront ton expérience incomparable.
Pour l'ONU, le déni de l'accès à l'éducation viole les droits fondamentaux des femmes et des filles. Au-delà de l'égalité d'accès à l'éducation, il les expose davantage à la violence, à la pauvreté et à l'exploitation. « Priver ainsi un tel accès à la moitié de la population afghane est contre-productif et injuste », a insisté Mme Bachelet. Selon l'ONU, une telle discrimination est également très préjudiciable aux perspectives de redressement et de développement futurs du pays. Dans ces conditions, Mme Bachelet appelle les autorités de facto à respecter le droit à l'éducation de toutes les filles et à ouvrir des écoles pour tous les élèves sans discrimination ni délai supplémentaire. Un nouveau mandat qui comprend la promotion d'une gouvernance inclusive, représentative A noter que le Conseil de sécurité des Nations Unies a prolongé d'un an jeudi dernier la mission de l'ONU en Afghanistan (MANUA), qui est dotée d'un nouveau mandat. La résolution, prolongeant la MANUA pour un an, jusqu'au 17 mars 2023, prévoit un volet sur l'aide humanitaire à apporter à la population afghane sur fond de situation économique et sociale dramatique et d'environnement sécuritaire qui semble se stabiliser.
International Afghanistan Les jeunes Afghanes venaient tout juste de retrouver les bancs des établissements scolaires, qui rouvraient mercredi pour la première fois depuis la prise de pouvoir des talibans, en août. Les talibans ont ordonné, mercredi 23 mars, la fermeture des collèges et lycées pour les filles en Afghanistan, quelques heures seulement après leur réouverture, a confirmé un responsable taliban. « Oui c'est vrai », a déclaré sans autre commentaire à l'Agence France-Presse (AFP), Inamullah Samangani, porte-parole des talibans, confirmant des informations selon lesquelles les filles avaient été priées de retourner chez elles. Aucun responsable taliban n'était immédiatement joignable pour expliquer la raison de cette décision. « Nous n'avons pas le droit de faire de commentaires », a simplement répondu le porte-parole du ministère de l'éducation, Ahmad Aziz Rayan. L'agence de presse gouvernementale Bakhtar News Agency évoque, de son côté, une réouverture « si les vêtements [des filles] sont conçus selon la charia, les coutumes et la culture afghanes ».
Les talibans avaient insisté sur le fait qu'ils voulaient s'assurer que les filles âgées de 12 à 19 ans seraient bien séparées des garçons, et que les établissements fonctionneraient selon les principes islamiques. Avant la volte-face des talibans, des filles interrogées par l'AFP à l'ouverture des écoles se disaient « heureuses » de revenir en classe et remerciaient même les talibans. Vers 7 heures (3 h 30, heure française), plusieurs centaines d'élèves se pressaient à l'entrée du lycée Zarghona pour filles, l'un des plus grands établissements de ce type de la capitale. Vêtues d'abayas noires ou colorées – un large vêtement couvrant tout le corps – ou de longs manteaux, avec un foulard souvent blanc enveloppant leur tête, le bas du visage caché par un masque sanitaire, les adolescentes franchissaient la grande porte bleue du lycée. Des écoles dans d'autres provinces avaient aussi ouvert dans la matinée, comme dans le Panchir (nord-est), à Kunduz (nord) ou Herat (sud-ouest), avant de refermer leurs portes.