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Les glaces Alpérel ont été fondée s en 2000 par Paul et Françoise Maman, puis reprise en 2016 par le duo Pierre Menini et Karima Rafik. Tout en conservant les valeurs de la marque avec des produits artisanaux sans colorants, ni additifs, ils s'engagent dans cette nouvelle aventure dans un atelier en région parisienne, à Trappes, dans les Yvelines. Produits artisanaux ardèche. Auparavant les glaces Alpérel étaient fabriquées à Montriond en Haute-Savoie, Alpérel étant une contraction de « Alpes » et Airelles ». Alpérel choisit ses fournisseurs en circuit court et avec un cahier des charges en matière de gout très stricts. La matière première, le lait, provient d'une ferme locale, la Ferme de Grignon, située à seulement 10 km des ateliers Alpérel et c'est pareil pour quasiment tous les fournisseurs de l'entreprise. La gamme des produits de l'entreprise est 100% naturel et dans la grande majorité bio. Une diversification des produits Alors que la première enseigne (Alpérel) ne diffusait quasiment qu'aux restaurateurs, les deux associés ont ouverts la commercialisation de leurs produits aux grandes enseignes et surtout, ils ont augmenté très sensiblement la carte.
Ménage En cinq ans, l'IG a renforcé la notoriété des sept entreprises estampillées Siège de Liffol. Elle a contribué à pérenniser 150 emplois en zone rurale et 13 métiers enseignés dans un centre de formation commun. Foix. Charlaine et la savonnerie sur le marché - ladepeche.fr. De la porcelaine de Limoges aux tapisseries d'Aubusson, douze autres filières ont obtenu une IG et une trentaine d'autres dossiers sont à l'étude. Cette protection des produits manufacturés est positive, mais pas suffisante Audrey Aubard Secrétaire générale de l'Association française des indications géographiques industrielles et artisanales (Afigia) Cette protection constitue à la fois un gage de reconnaissance et l'assurance d'une protection contre les usurpations ou les contrefaçons. Sitôt son IG obtenue, la filière Pierre de Bourgogne a ainsi pu mettre en demeure les revendeurs de « faire le ménage » dans les appellations abusives. « Cette protection des produits manufacturés est positive, mais pas suffisante. Il existe aujourd'hui une forte demande pour l'étendre à l'ensemble des pays membres à l'instar des vins, des spiritueux et des produits agricoles.
Chaque commande est unique, il n'y a pas de routine ». Pour aller à la rencontre de ses clients, Aurélie Collaudin propose un service de livraison, entre 15 et 20 km autour de Moëlan-sur-Mer et jusqu'à 50 pour les commandes qui concernent des cérémonies, tant à titre privé que professionnel. Pour Pâques, Aurélie Collaudin propose des créations artisanales, en chocolat. Du graphisme à la réalisation, tout a été pensé et réalisé à Moëlan-sur-Mer. (Le Télégramme/Élodie Chalandre) Vers le 100% made in France S'il y a bien une valeur qui tient à cœur à la fondatrice de l'Instant Show'co, c'est de privilégier les circuits courts et raisonnés. « Mes produits ne sont pas bio, mais certifiés engagés », explique-t-elle. Metz : la Boussole ne perd pas le nord. La farine vient de Pont-Aven, les œufs de Riec et la crème de Quimperlé. « Difficile de faire plus local ». Et pourtant, c'est bien le défi que s'est lancé Aurélie. « Actuellement, mon chocolat n'est pas français, il vient du Ghana, d'Équateur, d'Amérique du Sud, liste-t-elle. À terme, je souhaite travailler avec une association martiniquaise ».
La mozzarella industrielle, championne des supermarchés Championne des salades d'été, des sandwiches et des pizzas, la mozzarella a la cote. La plupart des mozzarellas vendues en France sont de fabrication industrielle, et produits à partir de lait de vache. Le géant français Lactalis en fabrique dans deux de ses usines. La mozzarella est vendue sous forme de sachets individuels, baignant dans le lait. On en trouve à tous les prix, de 5 euros à plus de 25 euros le kilo. Comment reconnaître la fausse de la vraie mozzarella? Les artisans de Ngaye Mékhé exposent leurs produits à Dakar. © Giancarlo Polacchini Pour faire face à la demande, les industriels n'hésitent pas à utiliser des procédés « peu catholiques » pour la fabrication de la mozzarella: plutôt que du lait frais, ils utilisent du lait caillé (bien moins cher) congelé, ou du lait en poudre, auquel il leur suffit d'ajouter de l'eau chaude pour faire de la pâte filée. Les fromages italiens ne sont pas épargnés: en 2008, un scandale a éclaté dans la région de Naples, où l'on a découvert des taux de pollution à la dioxine supérieurs à la normale dans certaines mozzarellas.
L'entreprise vient de proposer à sa clientèle deux nouveaux parfums incontournables pour cet été: une crème glacée au spéculoos et un parfum artisanal, menthe chocolat bio.