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Autodidacte depuis l'âge de 6 ans, Laurent Rousseau est guitariste (acoustique/électrique), artiste, pédagogue, mélomane, passionné et passionnant, pétri de poésie et par l'envie de transmettre sa longue et riche expérience issue de milliers d'heures d'enseignement, de concerts (Rock, Blues, Jazz, chansons…), de créations de musiques de spectacles, de conception de poétiques sonores et d'innombrables rencontres artistiques. Depuis fin 2017, sur sa chaine Youtube La minute utile du musicien, il propose gratuitement, plusieurs fois par semaine, des ressources pédagogiques pour permettre à chacun. Laurent Rousseau - La Minute Utile du Musicien - Twelve Assistant. e de développer sa pratique musicale et devenir autonome en (re)trouvant du plaisir, de la confiance et de la créativité. Les conseils judicieux qu'il prodigue pour cheminer musicalement dépassent largement le domaine de la guitare ou d'une esthétique musicale particulière. Musiciennes et musiciens, n'hésitez pas à vous abonner à ces minutes utiles tellement enthousiasmantes, structurantes et inspirantes.
©Jeff Humbert Spectacle créé les 1er février à La Barbacane Beynes, 78, le 2 février au Triton Les Lilas, 93/2019 et repris à Jazz à la Villette le 4 septembre 2019
Pour l'essentiel, nous l'avons dit, celle-ci oppose deux masses sonores opposées, partie soufflante, et partie groovante. Mais Yves Rousseau a réussi à ménager de splendides moments intimistes mettant ses solistes en valeur: Jean-Louis Pommier, très inspiré, qui apporte toujours une sorte de sensualité poétique, Thomas Savy, intense et âpre, Géraldine Laurent, vibrante. Yves Rousseau lui-même, seul à la contrebasse, énonce avec recueillement la mélodie mythique de In the court of King Crimson. Chacune de ses notes est habitée. La mélodie est reprise ensuite par Géraldine Laurent qui s'envole après avoir caressé la mélodie comme si elle maniait une fragile porcelaine. On passe du recueillement à la combustion grâce à la guitare incandescente de Csaba Palotai. Très beau moment parmi d'autres d'une musique évolutive et mouvante (en réalité tous les morceaux sont des suites). La mémoire d’Yves Rousseau, entre groove et nostalgie – Jazz Magazine. J'en note un autre dans efficient Nostalgia, vers la fin du concert, qui se termine en apothéose par une sorte de communion collective de tous les instruments, on dirait un Alleluia dans une église de Georgie (et c'est un moment que l'orchestre aurait pu peut-être essayer de prolonger car ce qui vient ensuite n'a pas tout à fait la même intensité).