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Ils ne réfléchiront pas au fait qu'il n'est en fait pas normal que les enfants soient si tôt impliqués dans la défense et la promotion de « leur école ». Car aucune école n'appartient aux enfants qui y sont scolarisés. L'école est l'école des adultes et de la société. Pas celle des enfants! Elle est faite pour eux mais n'est pas à eux! Quand un enfant en vient à dire qu'il aime « son » école, cela signifie qu'il s'est approprié affectivement quelque chose qui en réalité n'est pas de son ressort! Il est bon que les enfants pleurent quand ils vont à l'école pour les premières fois: cela signifie que l'école marque le passage de sa famille vers la société. Mais quand l'école devient pour un enfant « son école », comme ses parents sont « sa famille », cela veut dire que quelque chose n'est plus à sa place. L'enfant qui dit « J'aime mon école! » plutôt que « J'aime ma maman! » témoigne de ce qu'on a substitué dans son esprit ce qui devrait normalement revenir à sa mère pour le dériver vers une institution et tout ce qui la sous-tend.
En l'occurrence, l'Anthroposophie. L'Éducation Nationale a sans doute beaucoup de défauts, mais pas celui de développer chez les enfants qui sont scolarisés chez elle un sentiment d'appartenance identitaire d'ordre familial ou communautaire. Car l'école doit rester l'école, et rien de plus. Ce n'est ni un château-fort à défendre, ni une religion à répandre par une croisade, ni une grande famille dans laquelle on croit se sentir bien. C'est un lieu où l'on vient travailler et apprendre, parce qu'il le faut pour devenir des êtres humains d'aujourd'hui. Cet enfant qui dit « J'aime mon école! » révèle simplement qu'il évolue dans une structure où le principe de plaisir est prévalent, où l'attachement affectif a débordé hors du cadre de ce qui est normal. On a fait en sorte que sa personnalité se construise sur un processus d'identification problématique à son établissement scolaire. On lui a dit qu'il était unique et différent parce qu'il était dans une école « pas comme les autres ». On a valorisé chez lui le fait d'être retranché du reste de la société.
J'ai récemment été contactée par les éditions MDI pour donner mon avis sur deux ouvrages qu'ils m'ont envoyés. Il s'agit de « Stylos, billes et … patatras! » et « Fille ou garçon, et alors?! » de la collection « J'aime mon école ». Le premier, sur le thème des règles de vie de la classe, est intéressant en début d'année de CP à mon avis: avez-vous remarqué comme vos petits élèves qui arrivent de la maternelle sont fiers d'avoir leur propre matériel, sont heureux de montrer leur gomme à leurs copains, de toucher leurs crayons de couleurs, de sentir leurs feutres parfumés, de mettre les doigts dans le taille-crayon, au point de n'en avoir rien à secouer de votre Picbille ou de vos Alphas? Eh oui, c'est tout nouveau pour eux et ce petit livre tombe vraiment bien pour amorcer avec les enfants une discussion sur les règles de la classe. Le deuxième est très bien pour aborder le thème de l'égalité filles-garçons. Des fois j'entends les enfants dire « Je regarde pas ce dessin animé, c'est pour les garçons » ou « Je joue pas à ce jeu, c'est pour les filles » et ça m'agace!!!
Temps de pause « hors du temps » mais si prenant et rassérénant avec les voix des religieuses qui portent notre méditation, les psaumes qui nous interrogent… Enfin le temps convivial: repas où chacun apporte un peu de ses talents de cuisinier… ou pas!
Après les #orages de #grêle de la nuit le préfet a tenu à saluer les sapeurs-pompiers de l' #Indre, très fortement mobilisés, et encore sur de nombreuses interventions ce matin. Un grand merci à eux href="> — Préfet de l'Indre (@Prefet36) May 23, 2022 Les pompiers de l'Indre ont enregistré " plus de 2 000 appels " depuis dimanche soir, a fait savoir le lieutenant-colonel Sébastien Bourdin, chef du groupement opération du SDIS36, lundi sur franceinfo. " Nous avons subi un événement climatique particulier, avec des pluies de grêles très intensives et des grêlons très denses ", a-t-il précisé. Cela a occasionné " des dégâts importants ", notamment dans l'agglomération de Châteauroux, sur une quinzaine de communes du département qui était placé en vigilance orange aux orages. " Les conditions climatiques étaient encore défavorables ce lundi matin, avec du vent et de la pluie ", a indiqué le lieutenant-colonel Sébastien Bourdin, faisant état de "d ifficultés à intervenir sur les toitures " pour protéger les habitations sinistrées.
© AIU Défendre les Juifs partout où ils sont attaqués, instruire la jeunesse juive et informer sur l'état du monde et de la culture juive, éduquer les garçons et les filles pour que tous deviennent des citoyens autonomes et actifs dans leurs sociétés, insérer le judaïsme dans la modernité: tels sont les grands projets lancés par les fondateurs de l'Alliance dans les années 1860. Le rôle politique de l'Alliance l'entraîne à intervenir auprès des gouvernements et dans les conférences internationales pour lutter contre les persécutions et les lois iniques dont étaient victimes les Juifs d'Europe et d'Orient. Très vite, dès 1862, la solution au problème de la pauvreté endémique et de l'isolement des Juifs de l'Empire Ottoman apparaît: il faut construire des écoles, donner une éducation à ces milliers de jeunes gens et de jeunes filles pour les faire entrer dans la modernité et les Lumières apportés par l'Occident et la culture française. Catholiques, protestants, tous ont leurs missionnaires, leurs livres, leurs ressources inépuisables pour propager leurs idées.