Madame Élisabeth-Zélie de Banville. À ma mère (Banville) à lire en Document, de Banville - livre numérique Littérature Poésie - Gratuit. Ô ma mère, ce sont nos mères
Dont les sourires triomphants
Bercent nos premières chimères
Dans nos premiers berceaux d'enfants. Donc reçois, comme une promesse,
Ce livre où coulent de mes vers
Tous les espoirs de ma jeunesse,
Comme l'eau des lys entr'ouverts! Reçois ce livre, qui peut-être
Sera muet pour l'avenir,
Mais où tu verras apparaître
Le vague et lointain souvenir
De mon enfance dépensée
Dans un rêve triste ou moqueur,
Fou, car il contient ma pensée,
Chaste, car il contient mon cœur. Juillet 1842.
- A ma mère théodore de banville pdf
A Ma Mère Théodore De Banville Pdf
Elle était grande, et, moi, j'étais ( continuer... )
Philis, qu'est devenu ce temps Où, dans un fiacre promenée, Sans laquais, sans ( continuer... )
Quand j'étais jeune et fier et que j'ouvrais mes ailes, Les ailes de mon âme ( continuer... )
LUI - Ta poitrine sur ma poitrine, Hein? nous irions, Ayant de l'air plein la ( continuer... )
Pardon, mon père! Jeune, aux foires de campagne, Je cherchais, non le tir banal ( continuer... )
Jà parvenue à vieillesse. Advis m'est que j'oy regretter La belle qui ( continuer... )
À M. P. À ma mère de Théodore de BANVILLE dans 'Les exilés' sur UnJourUnPoeme.fr : lectures, commentaires, recueils. Demeny Et la Mère, fermant le livre du devoir, S'en allait satisfaite ( continuer... )
21 octobre 2016 « Et souviens-toi; le monde est à toi, le monde est à nous ( continuer... )
Ouvrez la porte Aux petiots qui ont bien froid. Les petiots claquent des dents. Ohé ( continuer... )
La petite Marie est morte, Et son cercueil est si peu long Qu'il tient sous le ( continuer... )
Charle a fait des dessins sur son livre de classe. Le thème est fatigant au point, ( continuer... )
Les genêts, doucement balancés par la brise, Sur les vastes plateaux font une ( continuer... )
I La chambre est pleine d'ombre; on entend vaguement De deux enfants le triste ( continuer... )
Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues Vertes, leurs doigts boulus ( continuer... )
Ode I Le Temps ne surprend pas le sage; Mais du Temps le sage se rit, Car ( continuer... )
Au Havre.
Petits, leurs mains calmaient nos plus vives douleurs, Patientes et sûres: Elles nous ont donné des mains comme les leurs Pour toucher aux blessures. Notre mère enchantait notre calme sommeil, Et comme elle, sans trêve, Quand la foule s'endort dans un espoir vermeil, Nous enchantons son rêve. Notre mère berçait d'un refrain triomphant Notre âme alors si belle, Et nous, c'est pour bercer l'homme toujours enfant Que nous chantons comme elle. Tout poète, ébloui par le but solennel Pour lequel il conspire, Est brûlé d'un amour céleste et maternel Pour tout ce qui respire. A ma mère théodore de banville pdf. Et ce martyr, qui porte une blessure au flanc Et qui n'a pas de haines, Doit cette extase immense à celle dont le sang Ruisselle dans ses veines. Ô toi dont les baisers, sublime et pur lien! À défaut de génie M'ont donné le désir ineffable du bien, Ma mère, sois bénie. Et, puisque celle enfin qui l'a reçu des cieux Et qui n'est jamais lasse, Sait encore se faire un joyau précieux D'un pauvre enfant sans grâce. Va, tu peux te parer de l'objet de tes soins Au gré de ton envie, Car ce peu que je vaux est bien à toi du moins, Ô moitié de ma vie!