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"Rennes c'est aussi la vie de ses quartiers au tissu pavillonnaire important, où règne une certaine nonchalance. Or quand la ville se construit sur elle-même à toute vitesse, on peut faire des erreurs et ne pas toujours respecter l'harmonie avec l'environnement ", poursuit cet architecte, qui craint une "monotonie des gabarits d'immeubles" et une "perte de repères" des habitants. Selon Alain Bénesteau, directeur de l'Audiar, l'agence d'urbanisme de Rennes, l'agglomération rennaise reste deux fois moins dense que sa cousine nantaise. "Le phénomène de décohabitation, avec les séparations et le départ d'étudiants du domicile parental, mais aussi le vieillissement de la population, font qu'on a besoin de davantage de logements à population égale", explique-t-il. On n y craint pas les embouteillages femme. A cela s'ajoutent une démographie dynamique et un solde migratoire positif dû à l'attractivité de la ville, qui conjugue faible taux de chômage et proximité avec le littoral et Paris grâce au TGV. "Sur 5 000 nouveaux habitants annuels, 2 800 sont issus du solde naturel", martèle Marc Hervé, premier adjoint PS à l'urbanisme, rappelant que la densification concerne "une surface marginale, mais très visible car sur les grands axes".
Après une période de covid, le gérant craint de «crever comme tant d'autres» sans qu'on l'aide. «D'excellents clients m'ont demandé de les excuser car ils ne viennent plus depuis un an. C'est trop compliqué pour eux. Ceux qui viennent me disent « viens regarder l'état de ma voiture », surtout quand il pleut. Nous nettoyons la boutique jour et nuit tellement il y a de poussière alors qu'on travaille tout de même avec de la nourriture. Lorsque des gros engins de chantier sont présents, il n'y a pas un chat, ça fait peur aux clients. RETOUR SUR - La Montagne Pelée sous surveillance, 120 ans après son éruption meurtrière. Ils pourraient au moins nous donner les plannings pour qu'on puisse commander moins de viande ces jours-là…» Il assure que le restaurant et l'épicerie à côté souffrent aussi de la situation et lui-même ne parvient plus à cacher sa détresse et sa peur: «Nous sommes une dizaine. Comment allons-nous nourrir nos familles si l'on ferme? C'est une bonne boucherie, qui est connue, ce serait dommage. » Il espère voir les travaux accélérer. Des petits réajustements à opérer Romain Engels ne vient pas qu'avec des problèmes, il propose aussi des solutions, comme changer le minutage du feu au bout de la route de Thionville.
« À titre d'exemple, un opérateur de JCB facture en moyenne Rs 8 000 par jour à un client. Désormais, le tarif peut dépasser Rs 9 000 », avance-t-il. Avec la hausse du prix du carburant, Gérard Uckoor affirme qu'il y aura certainement des demandes des travailleurs pour que leurs allocations de transport soient rehaussées. « Toutefois, la question de revoir les salaires ne se pose pas. Les maçons touchent déjà Rs 1 500 par jour. Révision des allocations et des salaires - Carburants plus chers : les entreprises sous pression | Defimedia. Si nous augmentons les salaires, nous risquons de perdre des clients », prévient-il.
Certaines entreprises de la distribution ont dû revoir leur manière d'opérer à cause de la hausse de prix des carburants. Une quatrième hausse de prix des carburants en cinq mois vient aggraver les finances des salariés qui subissent déjà une baisse de leur pouvoir d'achat. Depuis ces deux dernières années frappées par la pandémie de COVID-19, le moral des employés, en général, est bas. C'est ce que constate Areff Salauroo, président de l'Association of Human Resource Professionals of Mauritius. Urbanisme : à Rennes, les habitants s'inquiètent d'une ville qui pousse vers le ciel pour accueillir ses nouveaux arrivants. « Dans cette situation, les responsables des ressources humaines ont l'obligation de leur remonter le moral. Cependant, il y a des facteurs qui sont hors de notre contrôle et qui ne nous permettent pas d'atteindre nos objectifs. Un facteur principal est l'augmentation du prix du carburant », explique-t-il. Il soutient qu'il y a déjà une attente parmi les salariés pour une révision à la hausse des salaires. Toutefois, il fait ressortir que la plupart des entreprises prépareront leurs budgets pour l'année financière 2022-23 en juin.