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Noël – Clarté d'hiver: 3eme Primaire – Poésie Clarté d'hiver Noël s'est nourri de miel De brioche et de lumière Il a trempé dans la crème Chaque grelot d'herbe claire. Mille mille cloches neigent Aux quatre coins de l'hiver Et toute la maison rêve Dès qu'on ouvre la fenêtre. Noël – Clarté d'hiver: 3eme Primaire – Poésie rtf Noël – Clarté d'hiver: 3eme Primaire – Poésie pdf Tables des matières Fêtes de l'année - Poésies - Lecture - Français: 3eme Primaire
L'Air paraît tout obscur; la clarté diminue; Les arbres sont tous nus; les ruisseaux tous glacés; Et les rochers affreux, sur leurs fronts hérissés, Reçoivent cet amas, qui tombe de la Nue. Tout le Ciel fond en eau; la grêle continue; Des vents impétueux, les toits sont renversés; Et Neptune en fureur, aux Vaisseaux dispersés, Fait sentir du Trident, la force trop connue: Un froid âpre et cuisant, a saisi tous les corps; Le Soleil contre lui, fait de faibles efforts; Et cet Astre blafard, n'a chaleur, ni lumière: L'Univers désolé, n'a plus herbes ni fleurs; Mais on le doit revoir, dans sa beauté première, Et l'orage éternel, ne se voit qu'en mes pleurs.
Écoute, Muse, autrefois vive et tendre, Dont j'ai perdu la trace au temps de mes malheurs, As-tu quelque secret pour charmer les douleurs? Viens, nul autre que toi n'a daigné me l'apprendre. Écoute! nous voilà seules dans l'univers. Naïvement je vais tout dire: J'ai rencontré l'Amour, il a brisé ma lyre; Jaloux d'un peu de bruit, il a brûlé mes vers. « Je t'ai chanté, lui dis-je, et ma voix, faible encore, Dans ses premiers accents parut juste et sonore: Pourquoi briser ma lyre? elle essayait ta loi. Pourquoi brûler mes vers? je les ai faits pour toi. Si des jeunes amants tu troubles le délire, Cruel, tu n'auras plus de fleurs dans ton empire; Il en faut à mon âge, et je voulais, un jour, M'en parer pour te plaire, et te les rendre, Amour! « Déjà, je te formais une simple couronne, Fraîche, douce en parfums. Quand un cœur pur la donne, Peux-tu la dédaigner? Je te l'offre à genoux: Souris à mon orgueil et n'en sois point jaloux. Je n'ai jamais senti cet orgueil pour moi-même; Mais il dit mon secret, mais il prouve que j'aime.
Certaine clarté oblique, L'après-midi d'hiver – Oppresse, comme la Houle Des Hymnes Liturgiques – Céleste blessure, elle ne laisse Aucune cicatrice, Mais une intime différence – Là où les Sens, résident Nul ne peut l'enseigner – Non – C'est le Sceau du désespoir – Une affliction impériale Que des Airs on nous envoie – Elle vient, le Paysage écoute – Les Ombres – retiennent leur souffle – Elle s'en va, on dirait la Distance Sur la Face de la Mort – Extrait de: 2007, Car l'adieu, c'est la nuit, trad. Claire Malroux, (Gallimard Poésie)
Présentation Blog: Tableau Peinture Description: Prenez le temps de visiter mon blog et vous découvrirez ma passion du dessin, de la peinture. Vous verrez aussi des aquarelles, des pastels, des reproductions de tableaux de grands peintres, quelques poésies et même des photos. Contact Bienvenue chez Malika Visiteurs Il y a actuellement personnes connectées à Over-Blog dont sur ce blog Newsletter Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés. 27 janvier 2011 4 27 / 01 / janvier / 2011 06:00 Voici une poésie de Catherine Lasa Bonne journée à vous tous