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Il agit en plaçant des évènements, des personnes, des situations. Mais il ne contrôle pas nos vies. Il ne nous oblige à rien. « Pourtant, il est bien intervenu en faisant le déluge au début de la Bible. Pourquoi il n'en ferait pas un autre? », me lance une des convives. Je reprends: « Il a promis à Noé qu'il laisserait l'homme libre. Il a établi son alliance avec les hommes en promettant que "tout ce qui est ne sera plus détruit par les eaux du déluge, qu'il n'y aura plus de déluge pour ravager la terre" (Gn 9, 11). » Le don de la liberté et la souffrance Il nous a donc faits libres. Libres de le suivre ou de le renier. Libres de vivre dans ses commandements ou non. Cette liberté, peu importe comment elle est utilisée, inclut la possibilité de pécher. Pourquoi Dieu permet-il que le juste souffre, puisqu’il est bon ? – cherpasteur.com. « Et ce sont nos péchés qui se trouvent à l'origine de tout ce que tu m'as nommé: la faim dans le monde, les sans-abris… Dieu ne désire pas la souffrance de ses créatures. Au contraire. C'est l'homme, dans sa liberté, qui crée toutes ces situations de souffrance.
Plutôt que de chercher ce que fait Dieu ou ce qu'il devrait faire, il est vital pour un croyant de se poser la question « Dieu est-il présent? ». C'est évidement une question de foi et non de preuves. On peut en percevoir des signes, plus ou moins nombreux et pertinents selon notre regard. Pour un chrétien Dieu est présent dans l'homme qui vit l'événement. Non pas Dieu dans la maladie elle-même qui me fait souffrir mais avec moi qui souffre. Qu'est-ce que cela change? Tout et rien. Rien si on attend le coup de baguette magique. Mais tout, si on connait le poids de l'amour qui fait vivre: la certitude d'être accompagné, d'être aimé, la certitude (fragile et plus ou moins ressentie) d'une présence, l'espérance d'un chemin même si on n'en connaît pas les virages et les contours. De multiples témoignages affirment qu'il y a là une force, une source de paix, une qualité de vie (ou plutôt d'amour dans la vie), et même, assez souvent, une « force de vie » qui peut faire des miracles. Pourquoi Dieu nous fait-il souffrir ? - La Revue des Religions. Une nuit, j'ai eu un songe… Une nuit, j'ai eu un songe.
Au début, le scandale était donc que Dieu souffre; aujourd'hui, c'est qu'il ne souffre pas. Mais au Calvaire, c'est bel et bien Dieu en personne qui a souffert? Tout à fait! Mais le Christ a souffert dans sa nature humaine, dans son corps et dans son âme humaine; non dans sa nature divine. Tout en devenant homme comme nous, le Fils de Dieu est resté Dieu. C'est ce qui fait que, dans le fond de sa conscience humaine là où il se savait le Fils bien-aimé du Père, alors qu'il traversait les pires angoisses, Jésus était infiniment heureux. Pourquoi Jésus devait-il tant souffrir ?. Ce qui faisait dire à sainte Catherine de Sienne que, même sur la Croix, Jésus « jubilait dans le fond de son cœur ». Il savait en effet qu'il était en train de sauver le monde. Une jubilation que ne supprimait pas sa terrible agonie. Les trois niveaux de connaissance du Christ « S'appuyant sur les définitions dogmatiques des conciles d'Éphèse et de Chalcédoine (il n'y a qu'une seule Personne, un seul Moi dans le Christ, mais deux natures), les théologiens distinguent plusieurs niveaux de connaissance dans la conscience du Christ: - La connaissance acquise que possède tout homme - une connaissance capable de s'enrichir au contact de la réalité.
Un plan qui lui donne un sens, qui permet de grandir par elle. Benoît XVI écrivait aussi, dans l'encyclique Spe salvi, que « la capacité d'accepter les tribulations et de murir par elles » guérit l'homme. « Je sais que c'est difficile à croire, quand on voit quelqu'un qu'on aime se rendre durement vers la mort. Pourtant, il y a tellement d'histoires de parents qui se réconcilient enfin avec leurs enfants, de femmes et d'hommes qui trouvent finalement la paix avec leur histoire. Des fois, cette approche de la mort donne de la force à ceux qui traversent l'épreuve. Et c'est ce qui leur permet de s'éteindre en paix. » La guerre, la guerre… Et qu'en est-il de la guerre? De la pauvreté? De toutes ces atrocités qui affligent le monde? Dieu donne à l'humain la chance d'être libre. Nous pouvons en tout temps prendre les décisions en tentant de discerner ce qui est bon pour notre vie. Dans nos conditions, selon nos valeurs, selon notre situation… Il nous aime tellement qu'il nous laisse entièrement libres de nos choix.
C'est sûr, le mal et la souffrance nous atteignent dans notre vie quotidienne. La maladie d'un être cher ou celle qui vous atteint, la perte d'un enfant, un accident stupide. Il y a aussi les souffrances psychologiques, si dures à porter pour l'entourage, pour soi-même. Un Dieu bon peut-il être accepter, permettre, que ses enfants souffrent? Difficile à accepter! Que répondre à la souffrance d'un enfant, d'une mère à son chevet? Que dire devant les handicaps de naissance qui blessent tant de parents? Pourquoi notre prière est-elle si souvent inefficace? Dans les évangiles, on voit souvent Jésus guérir, compatir. Jamais, il ne dira à un malade: " supporte tes souffrances ", jamais il ne refusa la guérison. Alors, pourquoi tant de mal? Depuis toujours, cette question hante les chrétiens et les théologiens! Que répondre? D'abord que tout cela est bien inexplicable. Ensuite que Dieu ne veut pas notre souffrance. Qu'il ne la permet pas non plus. Et que la seule chose qui puisse, dans les pires moments, nous sauver, c'est de convertir notre souffrance en don de nous-mêmes, en émerveillement devant la création.
Nous voyons Jésus s'étonner de l'incrédulité des gens de Nazareth, mais aussi de la foi du centurion. - La science infuse, semblable à celle que Dieu donne parfois à un Curé d'Ars ou à un Padre Pio pour leur permettre de connaître le secret des cœurs ou l'avenir d'un homme. C'est par ces "flashes" de l'Esprit Saint que Jésus a pu prévoir la trahison de Judas ou le reniement de Pierre. - La connaissance de toutes choses que le Verbe possède de toute éternité. Autrement dit, en tant que Verbe divin, Jésus participait à l'omniscience de sa nature divine mais, en tant que Verbe incarné, il avait une intelligence humaine capable de progresser ou de recevoir des lumières sporadiques de l'Esprit Saint. »