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Il glisse un de ses doigts entre mes lèvres et le fait remonter vers mon clitoris. Comme avec mes tétons avant, il joue avec. Ma respiration devient plus forte, mon rythme cardiaque s'accélère. Je sens le désir monter en moi. Je sens ses doigts entrer dans mon vagin. Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir. Ils font déplacer les boules de métal dans ma chatte, je suis prête à exploser quand il les enlève. Il recommence à me pénétrer d'abord avec deux doigts, puis un troisième pendant que son pouce caresse mon clitoris. Jessy Drake, Le Chantage: Le calvaire d'une prof - La Bauge littéraire. Je me crispe un peu quand je sens le quatrième doigt rejoindre ses frères mais Hadrien continue de caresser mon clitoris si bien que je me détends et me laisse faire. Je finis par demander grâce à mon maître et le supplie de me laisser jouir. Cruellement il me l'interdit. Il retire sa main et un instant je panique à l'idée qu'il s'arrête et me laisse frustrée de mon plaisir. Je suis presque en pleur lorsque je sens mes lèvres s'écarter encore plus si cela était possible.
Nous sommes descendus au sous-sol. Très fatiguée avec une grande migraine, je me suis étendue sur son lit entièrement habillée (legging et un simple t-shirt) pour me reposer. Il m'a toute suite déshabillée – sans mon consentement – en enlevant mon pantalon et ma culotte. Il m'a mangée, moi je ne savais pas si cela me tentait de le faire. Sur le moment, je voulais me détendre pour enlever ma migraine. Il n'a pas pensé à me le demander, alors que je n'ai jamais eu de rapport sexuel avec lui. Lors de la soirée, je lui ai clairement dit que c'était important pour moi qu'il mette le condom, car il a été à l'étranger et c'est très risqué d'attraper une IST. Il m'a pénétré quand même sans condom et sans mon consentement. Je lui ai lancé: « Tu es entré? » Il m'a répondu que oui. Je lui explique à nouveau ma crainte et mon désir qu'il mette des condoms. Les Brigands : L'Apprentissage - L'asservissement (Partie 3). Il me réplique: « Arrête ça, y'a rien là », d'un ton sec et je-m'en-foutiste. Je tente de me relever deux, trois fois, il met sa main sur ma poitrine pour qu'il reste par-dessus moi.
J'avais installé la caméra avec le son. Ainsi, maintenant, avec tout ce que nous avions enregistré, nous étions plus que à égalité. Nous avions une arme de défense. Un fois André partit, Karen encore toute excitée, m'a dit qu'elle ne serait pas contre le garder de temps en temps pour passer une bonne soirée. Il n'était pas désagréable, bel homme et surtout bien monté et performant: « ¬ je l'ai bien sucé dix minutes et il n'a pas jouit. Et pourtant je sentait bien qu'il était très excité, t'as vu le calibre? Il rentrait bien et il allait jusqu'au fond le salop. J'avoue que dans le ventre je devrais le sentir comme il faut. A mon avis ce doit être un bon coup. Et Mireille ne doit pas le satisfaire complètement. Je vais m'en occuper. En plus avec le film on est tranquille, on arrêtera quand on voudra. C'est ainsi qu'André est resté un des amants de Karen pendant plus d'un an ce qui nous avait amené à quelques trios très jouissifs. Mais un incident lui avait fait passer pas très loin d'être pris en défaut par Mireille qui est devenue méfiante alors il a préféré de lui même d'arrêter la liaison a part quelques pipes bis-annuelles, sans plus.
André, l'ex-beau-père de Karen, Karen, ce soir là, était particulièrement chaude. Elle en était à sa quatrième pipe sur le quatrième gars qui s'était présenté, la bite plastifiée à la main. Et encore deux ou trois impatients attendaient leur tour, et elle n'était toujours pas rassasiée. Une voiture s'est rapprochée de notre attroupement. Et tout à coup, l'éclair d'un flash nous a tous surpris. La voiture est repartie. Ce n'est pas la première fois que cela nous arrivait, alors sur le moment nous n'y avions pas prêté plus d'attention que cela. Il faut dire qu'à l'époque, (1972), il n'y avait pas encore Internet qui aurait pu publier une telle photo. Karen a donc continué pour contenter nos deux impatients. Puis comme il était prêt de minuit, nous sommes repartis afin d'éviter l'arrivée de quelques messieurs sortis des cinémas classés X. Karen était en bis bis avec son ex (Georges) avec qui elle avait eu une petite fille, Clara. Si elle avait obtenu la garde de Clara, Georges, essayait de faire annuler une pension alimentaire de 100 francs (à l'époque) mensuel, cherchant tous les moyens possibles pour faire annuler cette dite pension.