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L'homme peut-il vivre sans religion? La religion a toujours occupé une place prépondérante dans notre société, plus particulièrement dans la vie de tout homme. Tout un chacun s'est un jourinterrogé sur le rôle que la religion a ou pourrait avoir dans sa vie. Mais l'homme peut-il vivre sans religion? Celle-ci ne comble-t-elle pas un vide spirituel? Est-il possible d'avoir la foi sans religion ?. Peut-on vivre pleinement avec ce vide? Premièrement, il est important de clarifier la notion de « religion ». Si cette notion est synonyme de « croyance », alors la problématique n'a pas lieu d'être. En effet, même l'athée pourrait donc êtrequalifié de religieux, puisque celui-ci a une croyance, celle que Dieu n'existe pas. Donc, la notion de « religion » suggère bien plus qu'une croyance. En effet, la notion de « croyance » peutémaner seule de l'homme, la notion de « religion », non. Celle-ci est intimement liée à un principe extérieur à l'humanité. En effet, toutes les religions, sont ce qu'on appelle des religions « révélées »:une entité supérieure et extérieure a transmis la croyance.
Donc les parents deviennent l'image de protection. Le père, l'être le plus puissant de la famille, par sa force de caractère, est le modèle de l'enfant. Le petit enfant le regarde en hauteur comme un être suprême, ou surnaturel, qui va le guider, et le protéger de tout. Mais lorsque ce petit garçon grandit, cette perception change…Le père n'a aucune puissance sur son destin, et ne peut plus l'aider, il se rend compte que son père est comme lui, alors il fait des erreurs et se trompe, il n'est pas une meilleure version de lui-même. L'homme peut-il être moral sans religion ?. Dans ce moment, l'enfant qui aura déjà grandit, va se porter au secours à une autre forme d'aide, qu'il va trouver dans la figure de Dieu, soit disons dans la religion. Etre suprême, parfait, éternel, et qui devient comme son père quand il était petit, un compagnon de vie. Il rentre dans une bulle de confort, dans laquelle tous ses pêchés seront facilement pardonnés par le prêtre, une sorte de personnification de Dieu sur la terre. Ainsi la peur d'être jugé ou d'aller aux enfers, peut être canalisée, dans ces espèces de confirmations avec le prêtre ou bien assistant à l'Église.
Introduction Le fait religieux est prégnant dans l'histoire de l'humanité, et il est difficile de dire s'il a pu exister des peuples sans religion. Ce constat ajouté que seul les hommes font preuve du sentiment religieux, mène à penser que la religion pourrait constituer l'une des caractéristiques essentielles de l'humanité. Mais doit-on en conclure que l'humanité ne peut se concevoir sans religion? Etre humain, est-ce nécessairement faire preuve de sentiment religieux, ou bien n'est-ce pas plutôt le dépasser? L homme peut il vivre sans religion pour. I) La religion, phénomène proprement humain. A) Seul l'homme connaît le fait religieux La religion est une réponse à la conscience proprement humaine des mystères qui les entourent, et apparaît plus particulièrement comme une défense contre la conscience que nous avons de notre finitude (de notre mort), laquelle définit l'humanité. Bergson:"La religion est une réaction défensive de la nature contre la représentation, par l'intelligence, de l'inévitabilité de la mort". Donc, l'homme a besoin d'avoir une religion pour se sentir protéger du mystère de la mort, de mettre des mots sur cette inéluctable mort (afin d'avoir moins peur).
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Jésus en avait bien conscience, Lui qui s'est incarné, qui s'est affaibli en prenant visage d'homme pour se révéler. Nous ne sommes pas plus grands que Lui!
La religion permet au croyant de sublimer la figure du père. L'homme peut il vivre sans religion. sublimation est un travestissement et un détournement de pulsions moralement inacceptables (et donc censurées) vers des activités socialement valorisées: arts, travail, effort intellectuel, religion, etc. La pulsion orientée vers le père, double désir inconscient de le supprimer et d'en prolonger la présence protectrice au-delà de l'enfance, n'est ici ni satisfaite ni refoulée, mais se trouve transfigurée et canalisée dans un cadre que légitime la conscience morale (le surmoi): le Père divin se substitue au père au destin de cette illusion religieuse, il consiste à s'effacer devant les progrès de l'humanité et son accession à l'âge adulte: l'humanité doit pouvoir surmonter sa détresse infantile et assumer la réalité de sa condition. La religion est soif d'absoluComme le fait remarquer Mircéa Eliade, le mot «religion» n'implique pas obligatoirement une croyance en Dieu ou en des esprits. La religion se réfère à l'expérience du sacré, elle est donc «liée aux idées d'être, de signification et de vérité».