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Quand un accident se produit quelque part et qu'il y a des morts on ne peut pas comprendre pourquoi cela s'est produit. Et puis que dire des séismes où des milliers de gens meurent sous les décombres? Que dire des tsunamis qui emportent sur leurs passages horribles des innocents au nombre monstrueux? Que penser des éruptions volcaniques qui brûlent faune et flore. Eh bien! Je suis de la famille de ce genre de calamités. Pourquoi vous étonnez-vous de ma présence – sans doute provisoire – ici? » Le médecin: « Ce dont tu as parlé, quand cela arrive est passager. Cela ne dure pas longtemps. Toi, Tu as tardé à partir. Tu dois nous laisser tranquille. Médecin ou docteur : quel mot choisir?. Nos savants sont en train de travailler dans leurs laboratoires pour trouver un vaccin qui va mettre fin à ta cruauté. Tu veux mourir de cette manière? ». Le virus: « Ma présence parmi vous est un message que beaucoup parmi vous ont compris. Les hommes sur terre ne sont pas reconnaissants de ce que Dieu leur a donné. Vous avez tout pour être heureux ici-bas, mais vous êtes tout le 4 temps en bagarre entre vous.
A bientôt 70 ans, Vladimir Poutine est assisté par une brigade de médecins qui lui sont fidèles. Parmi eux, Yevgeny Selivanov, un chirurgien oncologue spécialisé dans le cancer de la thyroïde, affirme Proyekt. Ce dernier aurait rendu visite au président de la Fédération de Russie pas moins de 35 fois en l'espace de quatre ans, quand il se trouve dans sa résidence de la mer Noire. Un petit dialogue entre un medicine et son malade du. Deux autres spécialistes des oreilles, de la gorge et du nez, prénommés Igor Esakov et Alexei Shcheglov, auraient également passé beaucoup de temps avec Vladimir Poutine. Pour soigner sa maladie, les journalistes enquêteurs ont aussi affirmé que le chef du Kremlin se serait tourné vers des médecines plus traditionnelles. Il aurait, entre autres, essayé les bains de sang extraits de bois de cerf coupé, lesquels ont la réputation d'améliorer le système cardiovasculaire. Abus de chirurgie esthétique? En parallèle, le média d'investigation explique que des stéroïdes auraient été administrés à Vladimir Poutine dans le traitement de son cancer, ce qui pourrait expliquer sa soudaine apparence bouffie.
« Si un médecin dit non, le processus ne s'arrête pas, il peut être transposé auprès d'autres personnes qui peuvent voir la situation autrement », explique-t-il. « Rester à l'écoute de son patient » Marc Decroly a lui-même déjà refusé de passer à l'acte et cite l'exemple d'un grand-père au stade terminal d'un cancer dont la demande émanait de la famille. « Il ne souffrait pas. Il m'a parlé de sa petite-fille qui allait venir le voir et des fleurs du jardin. Il n'avait pas envie de mourir. Il est décédé naturellement ». Le plus important, c'est de « rester à l'écoute de son patient ». Lorsqu'il arrive à domicile pour pratiquer une euthanasie, toujours en fin d'après-midi ou en début de soirée, il parle à nouveau avec le malade de sa décision. « Si on a besoin de deux heures pour discuter, ça prendra deux heures. Vladimir Poutine très malade ? Un médecin lui a rendu visite 35 fois. Je le répète à chaque fois, si c'est pas le bon jour, c'est vous qui décidez. Ce n'est pas parce que vous m'avez fait déplacer que je dois absolument pratiquer l'euthanasie ». En deux temps Après la pose de la perfusion, l'acte se déroule en deux temps: d'abord, les produits d'endormissement, puis les substances létales.