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Une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, Les jolies locomotives. Rouge, et verte, marron, et bleue. Toute l'équipe brille de mille feux. Chacune a son rôle à jouer. Toujours partantes pour nous aider. Avec Thomas et ses amis. La vie nous sourit. Orthez : Los de Broussez, quand les racines d’un territoire sonnent à l’unisson. Thomas le plus culotté, James, il nous fait rigoler, Percy s'occupe du courrier, Gordon est toujours pressé, Emily a réponse à tout, Henry siffle, tousse et s'étouffe, Edouard, prêt à nous aider, Toby lui, il est carré. Une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, La vie nous sourit.
C'est aussi lui qui a écrit « Les ours pleines ». C'est un texte assez fin, à double, voire triple sens, qui permet de traiter de la question de la réintroduction de l'ours dans nos montagnes sans jamais faire de prosélytisme. Chacun comprendra ce qu'il veut ou ce qu'il peut. Thomas le petit train chanson paroles du. C'est une façon d'aborder les questions polémiques qui nous plaît bien. » La fameuse histoire du cochon Autre morceau dont les deux amis ne sont pas peu fiers, celui de « Deux cents kilos de gloire » dont l'histoire continue, encore aujourd'hui, de les faire sourire. « Pour faire simple, ce morceau est né d'une petite mésaventure qui s'est déroulée il y a peu, aux environs d'Orthez », expliquent-ils. « On ne donnera pas de nom, mais ce qui est à retenir, c'est qu'un cochon de 200 kilos s'était échappé d'une ferme aux alentours et que, à la même période, une chasse avait été organisée. Un chasseur revenu bredouille de sa journée a dû croiser l'animal et, le prenant, ou pas, pour un sanglier, a tué le cochon en guise de trophée.
Pas de nez rouge pour l'accompagner mais une guitare, un tuba ou ses mains et ses pieds. Dans ses concerts, il propose un voyage en tendresse, en joyeux décalage et en humour. Les grands écarts l'amusent, les doubles sens le régalent, la fleur de peau le fait frissonner. Il n'a d'autre ambition que celle de divertir; un amusement, une émotion, un questionnement. « Ce ne sont pas tellement les thèmes des chansons qui importent mais la façon de les aborder. THOMAS PITIOT - CAFÉ DE LA DANSE. Bien sûr, j'évoque l'envie d'ailleurs, l'absence d'amour, l'enfance, le mensonge, la décadence… Parfois aussi, je me frotte aux places de parking, aux petits coups de pouce qui font du bien et aux nuages que l'on nomme cunnilingus. » Il y a du Nino Ferrer, du Gotainer et du Michel Berger en lui.
"REFRAIN x2" La Grande Découverte Henri siffle, tousse et s'étouffe Stanley, nous et stàn biver Toby, lui, il est carré