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Voltaire s'est impliqué personnellement dans cette histoire afin d'obtenir la réhabilitation d'un innocent condamné à la roue. Indigné par la mort de cet homme, Voltaire décide de prouver son innocence…. Volvoltaire, Traité sue la tolérance, 1763 1457 mots | 6 pages Dans cet essai, Voltaire ne cherche pas seulement à obtenir la révision du procès mais aussi…. Etude de texte 312 mots | 2 pages Etude de texte 1 Voltaire, "Prière à Dieu" chapitre 23 de Traité sur la tolérance (1763) Voltaire: 1694-1778 Il écrit ce traité pour Jean Calas qui est victime d'une erreur judiciaire: il est accusé d'avoir tué son fils qui s'était greconvertit au catholisisme. Cela devient un grand plaidoyer. C'est un essai constitué d'un argumentation direct. Il s'adresse a Dieu, car il considere que les hommes ne peuvent pas le comprendre. Il est Déiste: religion tolérante qui pense qu'un seul Dieu éxiste…. Commentaire sur de l'horrible danger de la lecture 947 mots | 4 pages l'horrible danger de la lecture de Voltaire Le siècle des Lumières, 18 e, est caractérisé par des auteurs qui se battent pour la liberté d'expression, de conscience, l'égalité et le progrès.
5° Ils pourraient, en augmentant le respect qu'ils ont pour Dieu, et en imprimant scandaleusement qu'il remplit tout de sa présence, diminuer le nombre des pèlerins de la Mecque, au grand détriment du salut des âmes. 6° Il arriverait sans doute qu'à force de lire les auteurs occidentaux qui ont traité des maladies contagieuses, et de la manière de les prévenir, nous serions assez malheureux pour nous garantir de la peste, ce qui serait un attentat énorme contre les ordres de la Providence. A ces causes et autres, pour l'édification des fidèles et pour le bien de leurs âmes, nous leur défendons de jamais lire aucun livre, sous peine de damnation éternelle. Et, de peur que la tentation diabolique ne leur prenne de s'instruire, nous défendons aux pères et aux mères d'enseigner à lire à leurs enfants. Et, pour prévenir toute contravention à notre ordonnance, nous leur défendons expressément de penser, sous les mêmes peines; enjoignons à tous les vrais croyants de dénoncer à notre officialité quiconque aurait prononcé quatre phrases liées ensemble, desquelles on pourrait inférer un sens clair et net.
• Formules évoquant le langage administratif: « ci devant », « ci dessous », « lequel », « ladite ». 2) La fiction orientale • Evocation de lieux précis: « Stamboul »; « La Mecque », « Saint empire ottoman ». • Noms propres: « Joussouf Chéribi »; « Said Effendi »; « Mahomet » • Fonctions: « Mouphti », « cadis », » imans », voire « fakirs » • Date: Le 7 de la lune de Muharem, l'an 1143 de l'Hégire • Formules: « Sa hautesse », « La Sublime Porte » • A l'inverse mention de l'occident: « Petit état nommé Frankrom, situé entre l'Espagne et l'Italie »; « livres apportés d'occident »; « auteurs occidentaux ». 3) Un texte religieux et politique De fait, il apparaît dans ce texte que despotisme et superstition sont liés: confusion constante: le despotisme s'appuie sur la superstition religieuse qui lui confère une pseudo-légitimité. • Le pouvoir s'affirme « Par la grâce de Dieu », il se présente comme « mouphti du Saint Empire ottoman », et s'appuie sur les cadis, imans et fakirs (i. e des autorités religieuses).
La lecture entraîne les progrès techniques qui sont source de progrès moral et d'altruisme dans une société. Les connaissances morales est une clé du bonheur et enfin les progrès médicaux permet d'être maître de son destin. ] Il y a deux champs lexicaux celui de l'ordre puis de la condamnation. De plus il y a une signature comme dans un traité et enfin il y a un commanditaire « Joussouf-Chéribi » II/ Un texte politique et religieux Ce texte est politique et religieux car il y a une évocation des dieux, une volonté divine à tous ceci. Il y a le champs lexical du divin. De plus le régime politique est une théocratie car le gouvernement est dirigé par un souverain considéré comme le représentant de Dieu. ]
Donné dans notre palais de la stupidité, le 7 de la lune de Muharem, l'an 1143 de l'hégire. " Petite analyse De l'horrible danger de la lecture est un texte argumentatif court qui critique non pas la religion en elle même, mais ses représentants (Voltaire n'était pas athée mais déiste). Il propose la critique d'un système politico-religieux. Voltaire se cache derrière des « masques » pour paraître authentique, par exemple: Joussouf Chéribi. Il prend l'exemple de l'Orient mais critique en réalité le contexte contemporain de la France, d'où les allusions à la France: « un petit Etat nommé Frankrom » et le jeu sur la date: 1143 (calendrier musulman) + 622 (hégire) = 1765 (date de publication). Le texte est présenté sous forme de lois visant à interdire l'imprimerie. La première loi montre bien que les deux pouvoirs maintiennent le peuple dans l'ignorance pour mieux les contrôler en leur interdisant de lire: « cette facilité de communiquer ses pensées tend évidemment à dissiper l'ignorance ».
En effet, ce faux décret est censé émaner d'un État théocratique lointain: le texte fait recourt à la fiction orientale. On retrouve des notions de lieu: « Saint-empire ottoman », « Stambul », mettant en valeur l'éloignement de la France: « Frankrom », « les auteurs occidentaux »; des notions de temps, par des dates données dans le calendrier musulman: « l'an 1143 de l'Hégire » (L'hégire est le début de l'ère musulmane donc nous sommes retrouvons bien dans un contexte orientale), et des références au contexte administratif et religieux: « Joussouf-Chéribi » (l. 1), religieux: « cadi » (l. 7), « imans »(l. 7). L'évocation de la religion musulmane est aussi présente dans le texte. Nous avons les \"imans\", qui est un titre donné en islam aux prêtres, et les ascètes musulmans (\"fakirs\" l.. Mais le détail le plus frappant est l'évocation de Mohamet (l. 9) qui est le chef religieux, politique et militaire arabe qui a fondé l'islam. Le texte de Voltaire est donc riche en termes orientales.
A terme, c'est surtout la stupidité de celui qui rédige l'édit qui éclate.