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La question que l'on va se poser alors est la suivante: «L'homme a-t-il un véritable pouvoir de décision sur lui même et donc est il un être de culture? Ou bien, au contraire, agit-il de manière mécanique et est il plutôt un être de nature? Accident — Wikipédia. Beaucoup d'enjeux sont soulevés par cette question puisque c'est à partir de cette séparation que l'homme s'est permis de tout détruire sur la terre, la séparation entre nature et culture. Dans un premier moment, nous étudierons l'homme comme un être de culture puis dans un deuxième moment, comme un être de nature avant de dépasser ces deux contradictions dans un troisième moment afin de répondre à la grande question posée « Dans quelles mesures l'humain est il un être de nature? » I-a) L'homme, dans son histoire, se distingue de la nature. Celle-ci agirait de manière mécanique, c'est-à-dire qu'elle répondrait à d'autres volontés que la sienne, comme un « autonomate, machine mouvante » disait Descartes dans le discours de la méthode, ouvrage très révélateur de cette pensée humaine.
B. L'Homme et son égo Il possède un caractère égocentrique puisqu'il est toujours en quête de sa vie; il recherche en permanence des réponses existentielles afin d'améliorer sa vie. Il ne pense que par lui-même et ne peut se confronter à la nature puisque celle-ci n'est pas apte à lui apporter les solutions utiles. Avec un tempérament orgueilleux, il pense être le seul détenteur de la nature: en effet c'est lui seul qui peut la contrôler et imposer ses limites par exemple l'engrais pour les plantes, la modification des molécules ADN ou bien le clonage et bien d'autres exemples. Dissertation philosophie l homme est il un etre naturel marin du bassin. [... ] [... ] Soumission aux lois de la nature Nous, Hommes terriens, pensons que nous pouvons être libres par notre propre pensée or, la liberté n'est-elle pas contraire à l'obéissance? N'est-elle pas sans limites et sans contraintes? Si nous suivons cette démarche, alors nous pouvons dire que nous ne sommes pas libres puisque nous sommes obligés d'obéir à certaines lois de la nature. En effet, l'Homme est soumis à ces lois telles que les lois physiques (gravitation), aux lois biologiques, climatiques.
aux animaux pourvus de griffes, de crocs et de fourrure, l'homme est le plus démuni des êtres vivants. Mais grâce au feu volé aux dieux par Prométhée, les hommes vont pouvoir développer toutes leurs techniques et transformer leur fragilité initiale en force. Ill. Tout est naturel et tout est culturel • Poser la question sous la forme d'une alternative (ou) n'est pas adéquat, selon Merleau-Ponty. Dissertation philosophie l homme est il un etre naturel sur. Sans la culture, comprise comme modification de la nature, l'homme n'existerait pas, il serait un animal. Mais sans la nature, il n'existerait pas non plus, puisqu'il n'aurait pas de corps. L'homme appartient donc fondamentalement aux deux ordres. •C'est pourquoi on ne peut parvenir à démêler les habitudes culturelles et la nature humaine. Ainsi, il est désormais établi que le sourire du nouveau-né après la tétée est biologique (naturel) et n'a pas de signification particulière, sinon celle de signaler un état de bien-être. Mais sa mère va lui donner un sens (culturel), qui invite l'enfant à entrer dans un jeu d'interactions capital pour son déve loppement.
Nul théoricien n'envisagerait aujourd'hui de répéter sérieusement ce que voltaire écrivait ironiquement à Rousseau: qu'il nous vient l'envie de retourner marcher à quatre pattes dans les forêts, sous prétexte d'arrêter le progrès technique, ne serait-ce que parce qu'il ne subsiste plus guère de forêts dans leur état "naturel" et que l'humanisation de la nature est à peu près universelle. S'il fallait d'ailleurs une preuve supplémentaire de la place à part qu'occupe l'homme dans la nature, elle serait fournir par le fait que ce qui nous apparaît comme "nature" résulte en fait des cultures humaines. Conclusion "C'est poétiquement que l'homme habite la terre", écrivait Hölderlin. L'homme est-il un être contre nature ? - Dissertation - Antoine Pabille. Mais l'habitat des hommes est d'abord culturel et technique. Aussi les hommes peuvent ils revendiquer, en raison même de leur étrangeté relativement au reste du monde, la disposition d'un monde habitable selon leurs désirs. Que ces derniers ne doivent pas aboutir à la destruction intégrale de la nature, c'est l'évidence (même si elle paraît tardive), puisqu'une nature détruite ne serait plus habitable du tout et que l'humanité en ferait elle même les frais: c'est donc les hommes eux-mêmes, et non d'une nature par définition muette, que peuvent venir l'exigence d'un contrôle et la reconnaissance de "droits, sinon de la nature elle-même, du moins pour elle.
Cette nouvelle conscience « élargie » de la destinée commune de tout le genre humain, ainsi que de sa solidarité avec la nature elle-même (désormais menacée par la nouvelle puissance des hommes jusque dans ses grands équilibres, voire dans son existence même), confère à l'homme une responsabilité « élargie » elle aussi, et donc l'oblige à une action politique et morale plus avertie de ses propres capacités mais aussi de ses limites, et qui tâcherait ainsi d'éviter le double écueil du naturalisme objectiviste et du culturalisme historiciste.
La négativité Alors que l'animal obéit à ses instincts et ne peut qu'en réaliser le programme, l'être humain n'a en lui que des pulsions l'autorisant à en varier les réalisations, et à se transformer en fonction des ses premiers acquis. Si la faim est bien, au départ, un besoin naturel relevant de la seule physiologie, la définition de ce qui est mangeable aussi bien que les façons de le préparer n'ont plus rien de commun avec la nature. On peut ici généraliser: tout ce qui, dans l'homme, est d'abord donné par la nature est élaboré de multiples façons, au point que, finalement, le corps humain n'est jamais accepté ou exhibé dans son état initial: il devient un corps pris en charge par les cultures, et se retrouve dès lors défini comme "humain" par les modifications (tatouages, cosmétiques, coiffures, bijou... ) qui lui sont apportées. Cette négativité active de l'homme, c'est sans doute dans le travail qu'elle se manifeste avec ses conséquences les plus marquées. L’homme appartient-il à la nature ? | φ Cafés-Philo De Chevilly-Larue et De l'Haÿ-Les-Roses φ. Les meilleurs professeurs de Philosophie disponibles 5 (148 avis) 1 er cours offert!
Et le fait qu'il compare les corps à des machine ne fais qu'accentuer l'idée de l'animal tel qu'il est, dépourvu de conscience, sous sa forme la plus rudimentaire. Mais l'homme est aussi un être à part dans la nature qui se démarque en tant qu'être pensant, doté d'une conscience réfléchie et de raison. Il est doté du libre arbitre et a donc la possibilité de faire des choix, réfléchi ou non ce qui est vraiment une caractéristique propre à l'être humain. Selon Rousseau, l'homme n'est pas déterminé par ses instincts et peut donc agir librement. L'homme est par conséquent un être imprévisible qui a la possibilité d'agir contre ses besoins mais aussi ses instincts comme faire un jeun par exemple, ce qui va à l'encontre de son besoin de se nourrir. De plus, l'être humain est capable de synthétisé, regrouper en un tout, les informations que l'entoure sur sa situation pour essayer de choisir la meilleur solution pour lui. Par exemple, s'il se retrouve en face d'un loup, grâce à cette synthétisation de la situation, il va pouvoir choisir ce qui est mieux pour lui entre s'enfuir ou se battre.