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Par: Norbert | Mots clés: fusillades | Mis à jour le 01-06-2022 En 1899, à Newnan, dans l'État américain de Géorgie, une foule a torturé, mutilé et incendié le corps de Sam Hose, ouvrier agricole noir accusé d'avoir tué son employeur blanc. À l'époque, il était rare qu'une personne noire accusée d'un crime soit traitée de manière équitable par la justice, il est donc impossible de savoir si les accusations portées contre lui étaient fondées. Selon certains témoignages, Sam Hose aurait agi en état de légitime défense. Coupable ou innocent, il a été soumis à la justice sommaire de la foule: traqué, capturé et lynché sans procès. Il masse et baise sa belle soeur - Video sur BonPorn.com. Comme lors des lynchages du passé, les attaques d'aujourd'hui fondées sur la haine raciale font de la souffrance des Noirs un divertissement pour la foule blanche du XXIe siècle. Dans le cas de la fusillade de Buffalo, l'horreur a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Ceux qui ont visionné ce spectacle violent étaient vraisemblablement assis dans le confort de leur foyer, devant leur ordinateur ou leur téléphone portable.
Le président de la Ligue professionnelle de football espagnole Javier Tebas a déclaré mardi que la plainte auprès de l'UEFA concernant la prolongation de contrat de Kylian Mbappé au PSG était "déjà rédigée" et a réaffirmé qu'il en déposerait une autre auprès de la justice française. "La plainte que nous allons déposer auprès de l'UEFA a déjà été rédigée et est en cours d'examen", a assuré Tebas lors d'une conférence de presse. Le PSG "détruit l'écosystème du football européen" "Mais nous n'allons pas en rester là, nous allons aller en France, nous avons déjà engagé des avocats français et nous allons dénoncer la position du PSG devant l'organisme de contrôle économique (... ) et nous allons dénoncer cette situation devant les tribunaux administratifs là-bas", a expliqué le président de la Liga. "Nous n'allons pas permettre à un club européen de détruire l'écosystème du football européen", a insisté Tebas, rappelant que le PSG avait "perdu 300-400 millions d'euros au cours des trois dernières saisons".
Tebas a également une nouvelle fois dénoncé les clubs-états, comme le PSG, dont le propriétaire est une filiale du fonds souverain du Qatar. "Le problème, c'est l'attitude des propriétaires du club, car ils n'ont aucune limite, ils ne se soucient pas des pertes, ils mettent autant d'argent qu'ils veulent, ils vous trompent avec des sponsors liés à l'État..... C'est là le problème", a indiqué le dirigeant espagnol.