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La Prophétie de l'horloge News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 2, 8 1867 notes dont 163 critiques noter: 0. 5 1 1. 5 2 2. 5 3 3. 5 4 4. 5 5 Envie de voir Rédiger ma critique Synopsis Cette aventure magique raconte le récit frissonnant de Lewis, 10 ans, lorsqu'il part vivre chez son oncle dans une vieille demeure dont les murs résonnent d'un mystérieux tic-tac. Mais lorsque Lewis réveille les morts accidentellement dans cette ville, en apparence tranquille, c'est tout un monde secret de mages et de sorcières qui vient la secouer.
La Prophétie de l'Horloge sort en salle en France demain! Ce blockbuster fantastique et familial, sorte de film d'épouvante pour enfants, sort largement du cadre d'un film jeunesse et devrait séduire également les plus vieux. La preuve: il est déjà de très loin numéro 1 du box-office depuis sa sortie aux Etats-Unis! Lire aussi Winnie l'ourson: quand l'ours bien-aimé de notre enfance devient un tueur en série Entre film d'épouvante et compte fantastique Synopsis: Suite à la mort de ses parents, Lewis Barnavelt, âgé de dix ans, part vivre chez son oncle dans une vieille demeure hantée et dont les murs résonnent d'un mystérieux tic-tac. Lorsque Lewis réveille par erreur les morts, c'est tout un monde secret de mages et de sorcières qui se déchaine subitement dans cette ville en apparence tranquille. La voisine, une certaine Madame Zimmerman, est également magicienne… Rien de bien original a priori dans ce scénario conforme aux canons du genre, d'Harry Potter à Hugo Cabret en passant par les nombreuses productions de Disney dédiées à un publique pré-ado.
A cette époque, les vidéoclubs s'occupaient principalement de faire de la location de films. On n'y trouvait pas vingt saveurs de chips différentes et deux fois plus de boissons sucrées en tout genre, ni de tabac, ni de toute autre sorte de conneries.. Un grand moment de plaisir décomplexé qui prouve tout le talent, mais surtout la singularité enthousiasmante, de ce réalisateur inspiré qu'est De La Iglesia. Dans ce jour de la bête, il joue de sa surprenante capacité à accorder les genres pour mettre sur pied des moments qui oscillent entre drame, comédie ou critique sociale corrosive avec une légèreté nécessaire. C'est avec un sourire franc. Film assez surprenant. Tout d'abord, le film remplit son contraten tant que pure divertissement. On ne s'ennuie pas une seconde, d'ailleurs le film ne dure que 90mn et toute l'enquête se déroule en une nuit. Les scènes sont bien fichues, les plans sont sympas, Alex n'essaie pas d'en foutre plein la vue, il s'efforce simplement de raconter son histoire au mieux.
Ce qu'en pense la communauté 17% 90 notes 15 veulent le voir Micro-critique star ( Jylm33): Jylm33 Sa note: " Une fois le décor planté, cette prophétie paresseuse diffuse un pénible sentiment de "déjà vu 20 fois, mais en mieux... " Pas grand intérêt! " — Jylm33 17 novembre 2019 blacktide " Dans les entrailles d'un Halo-Weird, les aiguilles tournent à vide, en un fade grimoire. Fiévreuse cabane, et sa magie de placard, sans zèle " — blacktide 27 septembre 2018 Suzanneastic " Juste pour voir Cate Blanchett faire une rondade et tirer sur des citrouilles avec une mitraillette magique, ça vaut le coup. " — Suzanneastic 1 mai 2019
Tout là-dedans tourne au grotesque avec l'aide non seulement de ce scénario de plus en plus débile mais aussi la participation coupable des. Le Jour de la bête est un film très réussi basé sur une recette fort sympathique. Tout d'abord, il faut bien le dire, il y a un travail sur le scénario à saluer. Le film bénéficie à la fois d'idées recherchées et en même temps ne se complique jamais, réussissant par la même à divertir le spectateur qui peut se reposer le cerveau. Le film n'est pas "prise de tête", et réussis. Sans tabou et décomplexé, Àlex joue à loisir avec des codes qu'il maîtrise à la perfection. Toi, le vilain grincheux, ça te semble abscons et – prépare toi au divin courroux – prétentieux. Tu grinces des dents. Àlex rit. Et son public avec lui. Et rit de tout. Et avec n'importe qui. La religion catholique et son pendant diabolique – funestement inadaptées à la sauvage modernité – sont. Je me souviens encore de ma première rencontre avec Alex de la Iglesia. C'était en 1996, dans un petit vidéoclub anonyme dans mon patelin.
Le film est bien rythmé, entre.