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À savoir, les scorpions et les serpents dangereux qu'elle évitait à tout prix mais également la soif et la faim. À cela, Maryse Burgot a également dû faire face au harcèlement fait par ses ravisseurs qui avaient des " mains baladeuses ". Fort heureusement, elle avait été rapidement libérée au bout de sept semaines de captivité. " Les associations d'anciens otages ne m'ont pas trouvée très confraternelle. Mais ça a été ma méthode pour tourner la page. Ne pas en parler. Ne plus y penser ", s'était-elle souvenue sur le plateau du JT de 20h à son retour. Maryse Burgot revient sur son passage en Ukraine Auprès de Télé Star, le 28 mars dernier, Maryse Burgot s'était exprimée sur les trois semaines qu'elle a passées en Ukraine. L'occasion pour la journaliste de revenir sur le ressenti de ses enfants sur son travail. Comme elle l'avait confié, lorsqu'elle était sur place, a appelé "tous les jours" ses deux garçons de 20 et 17 ans. " Je ne leur raconte pas ma guerre. Je leur demande plutôt comment ils vont ", avait-elle confié sur son retour en France.
Mardi 29 mars 2022, les journalistes de La revue des médias se sont intéressés à la carrière de Maryse Burgot. L'occasion pour ces derniers de revenir sur sa captivité aux Philippines. Maryse Burgot est une personnalité incontournable. En effet, la journaliste de France Télévision ne recule jamais devant le danger afin d'apporter un regard objectif sur des sujets de société comme les conflits internationaux. Des investigations parfois compliquées évoquées ce mardi 29 mars 2022 par La revue des médias (INA). Lors de son intervention aux Philippines (du 9 juillet au 27 août 2000), Maryse Burgot s'était déplacée sur l'île philippine de Jolo, en vue d'interviewer le célèbre preneur d'otages Ghalib Andang. Sauf que durant ce voyage, Maryse Burgot s'était faite capturée avec son compère, Jean-Jacques Le Garrec et le preneur de son Roland Madura par le groupe terroriste Abu Sayyaf. Incarcérée dans une " prison verte ", cette dernière avait alors évoqué les nombreuses péripéties qui ont rythmé sa captivité.
En revanche, on ne partage pas nos angles de reportages ou nos bons contacts. La concurrence existe là-bas aussi. Vous avez été otage aux Philippines au début de votre carrière. Ça a forgé votre âme de grand reporter? J'étais jeune. J'ai décidé quand j'ai vécu cette histoire que je n'offrirais pas à ces gens qui m'avaient détenue cette victoire de renoncer à mon métier. Et je crois pouvoir dire que j'ai la passion du grand reportage chevillée au cœur et au corps. Et il en faut beaucoup pour qu'on m'arrête! L'article parle de... Ça va vous intéresser News sur Maryse Burgot Sur le même sujet Autour de Maryse Burgot
J'ai vu des milliers d'hommes faire la queue pour s'engager. » Michel Scott: « D'abord, c'est une guerre au cœur de l'Europe. La dernière que j'ai vue, c'était la Bosnie, il y a trente ans. Ensuite, c'est la première à déployer une telle puissance de feu avec des méthodes de 1940. Il n'y a pas eu de combats de chars en Europe comme ça depuis la Seconde Guerre mondiale. Enfin, je suis frappé par le basculement du jour au lendemain. En vingt-quatre heures, ce pays qui pourrait être le nôtre a plongé dans une guerre d'action. » Y retourner Maryse Burgot: « J'essaie de décrocher mais je n'y arrive pas. J'ai très envie d'y retourner. Il ne faut pas déserter. J'ai vu la souffrance, des vieilles dames de 85 ans dans des abris, entendu les cris des bébés… Donc hors de question de chouiner ou de se plaindre. » Michel Scott: « Dans un monde où la vérité est ravalée au rang d'opinion, où les contre-vérités ont autant de poids, il faut continuer à montrer, filmer, raconter. Il y a une mobilisation inattendue de l'Occident, une revitalisation de l'Otan, une renaissance de l'Union européenne, parce que les opinions publiques occidentales sont témoins de tout ça à travers le travail de la presse.
Maryse Burgot © Capture d'écran/France 2 Complexe. Courageuse reporter sur les conflits internationaux (comme récemment en Ukraine), Maryse Burgot a une voix particulière qui lui a valu de nombreuses remarques désobligeantes au cours de sa carrière journalistique. " Avec une voix pareille, impossible de faire du journalisme télé ", " tu n'y arriveras jamais " ou "ç a ne va pas être facile ": autant de phrases cinglantes qu'aurait entendues la journaliste de guerre de 57 ans comme elle l'a confié dans La Revue des médias.
© JACOVIDES-MOREAU 1/12 - Laurence Ferrari Laurence Ferrari s'est imposée comme une journaliste importante du paysage audiovisuel français Le 20 avril 2022 à 14h37 Depuis quelques années, Laurence Ferrari s'épanouit dans un rôle de présentatrice. Mais la journaliste a fait des sacrifices pour ses trois enfants. Depuis plus de 15 ans, Laurence Ferrari s'est imposée comme une journaliste emblématique du paysage audiovisuel français. Mais celle qui officie désormais chaque jour sur CNews et Europe 1, dans son interview politique, a su faire des sacrifices pour préserver sa famille. Invitée de nos confrères de TV Mag, ce mardi 19 avril, l'actuelle compagne de Renaud Capuçon a révélé qu'elle avait fait certains choix dans sa carrière pour pouvoir mieux s'occuper de ses enfants. Quand on lui demande son plus beau souvenir de carrière, la réponse de Laurence Ferrari est très rapide. "Je crois que c'est en reportage. Parce que je suis reporter au départ. C'est le fait d'avoir des enfants qui m'a décidée à devenir présentatrice parce qu'au moins quand on est présentatrice, on sait quand on part, on sait quand on rentre.