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Il n'en a pas fallu davantage pour susciter toutes sortes de spéculations sur le Web quant à une éventuelle reformation du groupe à l'écran. Mais, jusqu'à preuve du contraire, la seule actualité majeure concernant The Shield reste l'annonce, par l'éditeur américain Mill Creek Entertainment, de la toute première sortie en Blu-ray de l'intégrale du chef-d'œuvre de Shawn Ryan, fixée au 6 novembre prochain. Annoncée depuis 2015, cette édition en ultra-haute définition 4K posait un problème technique de fidélité au grain rugueux d'origine de The Shield, série tournée sur pellicule 16 mm et en 4/3, pour sa diffusion sur la chaîne câblée FX, entre 2002 et 2008 (en France, elle fut programmée sur Canal Jimmy, aujourd'hui disparue, puis Canal+). Ce format visuel au look plus rude, voulu par Shawn Ryan, correspondait à son intention d'imprimer un aspect documentaire le plus réaliste possible aux péripéties de Vic Mackey, flic corrompu, voire meurtrier, mais efficace d'un district chaud de Los Angeles.
Par Feyrtys, le 30 novembre 2008 Publié le 30 novembre 2008 Saison 7 Episode 13 L'épisode qui conclut une série est toujours synonyme de moment privilégié dans la vie d'un sériephile. En particulier quand il s'agit de The Shield. En repensant à cet épisode, ce sont les détails - qui tuent - qui m'ont le plus marquée: Shane qui accompagne sa femme blessée jusqu'aux toilettes et qui l'essuie quand elle est incapable de le faire. Les bruits étouffés, provenant de l'autre côté de la vitre, que l'on entend lorsque Ronnie est fait prisonnier et qu'il se débat. Le fait que Vic ne puisse pas changer le thermostat de son bureau sans demander l'autorisation à un responsable… Et enfin, l'annonce du temps écoulé entre le moment où Vic McKey tue Terry Crowley et le moment où la Strike Team explose définitivement: trois ans. Trois petites années que l'on nous a raconté en 7 saisons parfaitement maîtrisées, parfaitement conduites, et parfaitement interprétées. A la fin de la saison 6, j'espérais que Vic finirait par se remettre en cause, à montrer des remords.
Je pense à The Shield ou à The Wire par exemple". Si la création de Ryan reste à ce jour un ovni dans le paysage de nombreuses créations télévisuelles faussement irrévérencieuses, c'est qu'elle s'est engagée sur un territoire métissé que seul le format de diffusion autorisait, mais se permettant au passage l'emprunt d'outils cinématographiques (avec entre autres de talentueux réalisateurs tels que David Mamet et Frank Darabont ainsi que des acteurs de renom, Glenn Close et Forest Whitaker en tête)! © Sony Pictures Television International Ce qui est évident dès l'incroyable pilote, c'est effectivement la convocation du meilleur du cinéma et de la télévision pour un mix des deux médiums conférant cette aura unique. Le tournage en argentique 16mm, les cadrages à l'épaule, l'effet d'obturateur permanent dans les scènes d'action etc. Autant de partis pris draconiens qui attribuent aux épisodes une tournure cinématographique et pourtant, comment raconter de façon aussi tangible cette décadence annoncée autrement que le temps de sept saisons télévisuelles qui prennent le temps d'amener son protagoniste vers un seul et unique objectif télévisuel?
Les moins de 20 ans ne peuvent pas s'en souvenir, mais, à son lancement, le 12 mars 2002, sur FX, The Shield fit aux téléspectateurs l'effet d'un uppercut en pleine face. Après Tony Soprano dans Les Soprano sur HBO et Jack Bauer dans 24 sur Fox TV, l'Amérique découvrait, effarée, le flic le plus sulfureux que la télévision ait jamais enfanté: le détective Vic Mackey. Un salopard suintant la testostérone et le charisme, à côté duquel des poulets cathodiques déjà peu recommandables tels que Norman Buntz dans Hill Street Blues ou Andy Sipowicz de NYPD Blue faisaient figure de gentils animateurs de colo. Chef d'une petite unité d'intervention basée au commissariat de Farmington (quartier chaud imaginaire de LA), Mackey, avec les membres de sa « strike team », faisait régner sa loi dans une zone gangrenée par des guerres entre gangs ethniques, la prostitution, les trafics divers et une misère sociale dévastatrice. Mais ces méthodes de cowboy cachaient aussi une corruption bien organisée, un rançonnage en règle des voyous et une exploitation méthodique des failles du droit pour ne jamais se faire pincer.