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Le saviez-vous? En France au 1er janvier 2016, on dénombrait en moyenne 3 neurologues pour 100 000 habitants. 1 Pour mettre toutes les chances de votre côté face à la maladie, l'équipe médicale de Concilio vous accompagne personnellement. Qu'est-ce que la polyradiculonévrite chronique? La polyradiculonévrite chronique (Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique – PIDC) se caractérise par la perte de la gaine de myéline des nerfs périphériques. Polyradiculonévrite chronique — Wikipédia. Le principal rôle de la myéline est de protéger les fibres nerveuses, d'accélérer la vitesse de propagation de l'influx nerveux et d'apporter des nutriments à l'axone. La myéline est principalement constituée de lipides. C'est le médecin pathologiste Rudolf Virchow qui lui a donné son nom en 1854. Etiologie À cause d'un dysfonctionnement du système immunitaire, des anticorps sont dirigés contre la gaine de myéline. Sa destruction conduit à un défaut de transmission des informations au niveau des nerfs touchés. La myéline se trouve dans de nombreuses cellules du système nerveux: les cellules de Schwann (se trouvant dans le système nerveux périphérique) et les oligodendrocytes (situés dans le système nerveux central) Pourquoi être bien accompagné en cas de problème de santé?
Dans les formes les plus sévères, les patients peuvent également recevoir des immunosuppresseurs [ 6]. La douleur neuropathique est traitée par antiépileptiques ou antidépresseurs tricycliques. Quadriplégie, faiblesse respiratoire et décès sont possibles mais rares. Polyradiculonévrite chronique pdf version. Également, la thérapie physique peut améliorer la force musculaire, la mobilité, et minimiser le retrait des muscles et des tendons et les distorsions des articulations. Il est important de construire une bonne relation avec les médecins, les infirmiers et les spécialistes. En raison de la rareté de la maladie, de nombreux médecins ne l'auront jamais rencontrée auparavant. Chaque cas de PIDC est différent et les rechutes, si elles se produisent, peuvent apporter de nouveaux symptômes et autres problèmes. En raison de la variabilité, de la sévérité et de la progression de la maladie, les médecins ne seront pas en mesure de donner un pronostic précis. Une période d'expérimentation de différents régimes de traitement est susceptible d'être nécessaire pour découvrir celui qui est le plus approprié pour un patient donné.
Dans ce cas, d'autres examens sont alors nécessaires pour conforter le diagnostic. La ponction lombaire, sur laquelle on recherche une élévation des protéines du liquide céphalorachidien (LCR), traduit l'atteinte des racines nerveuses, typique de la maladie. Polyradiculonévrites chroniques | ENMG en MPR. La prise de sang, quant à elle, permet de rechercher une éventuelle cause ou d'écarter des neuropathies pouvant y ressembler. Traitements [ modifier | modifier le code] Le traitement dépend de la gravité de la PIDC, de l'âge, de l'état global du patient et des contre-indications aux traitements validés suivants: corticostéroïdes perfusion d' immunoglobuline intraveineuse plasmaphérèse (échange de plasma) Les patients avec une PIDC purement motrice doivent recevoir des perfusions d'immunoglobuline intraveineuse plutôt que des stéroïdes. Dans les formes plus modérées, l'observation clinique via un électroneuromyogramme (ENMG [ 5]), voire une corticothérapie sont indiquées. La combinaison stéroïdes et perfusion d'immunoglobulines sont possibles.
L'évolution à long terme est très variable d'un patient à l'autre sans que l'on connaisse de facteur permettant de prédire le pronostic. Souvent, les traitements permettent de faire régresser tout ou partie des symptômes. Polyradiculonévrite chronique. Cependant l'évolution progressive ou les poussées peuvent reprendre à distance du traitement et être responsables, à terme, de séquelles plus ou moins invalidantes [ 1]. Diagnostic [ modifier | modifier le code] Le délai diagnostique des polyradiculonévrites chroniques est très variable selon le mode de présentation de la maladie; il peut dans certains cas être très long (plusieurs années), pris souvent à tort pour une polynévrite. Le diagnostic repose sur un faisceau de critères provenant: de l'interrogatoire du patient, de son examen clinique (tels que l'abolition des réflexes) par un neurologue spécialisé. mais aussi de certains examens complémentaires: l' électromyogramme montre typiquement une diminution de la vitesse de propagation de l'influx électrique sur les nerfs, mais ces anomalies peuvent manquer.
Section snippets Déclaration de liens d'intérêts Les auteurs n'ont pas précisé leurs éventuels liens d'intérêts. View full text Copyright © 2021 Published by Elsevier Masson SAS