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Cette épreuve du brevet des collèges se présente sous la forme d'une douzaine d'interrogations regroupées en deux ou trois grandes parties qui définissent les axes de lecture d'un extrait proposé. Mais nous savons qu'il n'est pas facile d'obtenir des réponses structurées, syntaxiquement…. Neige 908 mots | 4 pages |Sujets de dissertation sur la poésie (recensés par Vanessa Cazelles) | |1 |Pour Eluard, le poète « aimant l'amour » n'est pas tant amoureux d'une femme que de l'amour lui-même ». La vocation de la |Fonctions poésie: lyrique | | |poésie est-elle, selon vous, de célébrer l'amour ou privilégiez-vous d'autres fonctions? Victor hugo elle avait pris ce pliable. |…. Évaluation poésie 468 mots | 2 pages sont passées Comme l'ombre et comme le vent! Victor Hugo, Les contemplations (1844) Songe: rêve, imagination / Candides: innocentes Matière: Français Durée: 2 heures | Devoir de contrôle n° 3 | Prof: Mme JaouadiNiveau: 4ème Lettres | Compréhension (6pts) 1. Dans ce poème l'auteur évoque un souvenir heureux. Lequel? Relevez un procédé qui décrit ce bonheur.
The French poet Victor Hugo (1802-1885) lost his beloved elder daughter Lėopoldine when she was only nineteen: she drowned along with her husband in a boating accident on the Seine. Hugo wrote many moving poems in her memory; this is one of them. The translation that follows is my own. Victor Hugo - Elle avait pris ce pli... lyrics + English translation. 'Elle avait pris ce pli…' Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin; Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère; Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père; Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant, Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée, Et mainte page blanche entre ses mains froissée Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers. Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts, Et c'était un esprit avant d'être une femme.
618 mots 3 pages DissertationDans l'un de ses poèmes, Victor Hugo présente le poète comme « le souffrant du mal éternel ». Pensez-vous que la poésie de Victor Hugo, dans les quatre premiers livres des Contemplations, ne soit qu'une poésie de la souffrance? Le romantisme se développe au XIXe siècle en réaction au classicisme et à la rigidité de ses règles qui régissaient la littérature depuis le XVIIe siècle. Victor hugo elle avait pris ce plier. Il marque ainsi une liberté artistique retrouvée et un renouveau …afficher plus de contenu… L'auteur qualifie d'ailleurs le poète de « souffrant du mal éternel », et ancre ainsi la notion de souffrance dans son travail. Les Contemplations n'est-il donc que le reflet de cette souffrance ou bien montre-t-il aux d'autres aspects de la vie humaine? Afin de répondre à cette problématique, nous analyserons dans une première partie les différentes facettes de la souffrance exprimée par Hugo, avant de mettre en avant dans une seconde partie;;;;;? I – La souffrance: un thème centrale des Contemplationsa) Une expérience personnelle de la douleur chez le poèteexpression de la souffrance liée à la mort tout au long du recueil, car expérience du deuil de sa fille Léopoldine → livre IV des Contemplations « pauca meae » dédié à sa fille, poète explore douleur et étapes du deuil, comme dans les poèmes « Demain dès l'aube » et « Oh!
La bibliothèque libre. V Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin; Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère; Elle entrait et disait: Bonjour, mon petit père; Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon œuvre interrompue, et, tout en écrivant, Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée, Et mainte page blanche entre ses mains froissée Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers. Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts, Et c'était un esprit avant d'être une femme. Elle avait pris ce pli – Premières Pages. Son regard reflétait la clarté de son âme. Elle me consultait sur tout à tous moments. Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants Passés à raisonner langue, histoire et grammaire, Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère Tout près, quelques amis causant au coin du feu!
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin; Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère; Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père; Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant, Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée, Et mainte page blanche entre ses mains froissée Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers. Victor hugo elle avait pris ce pli commentaire. Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts, Et c'était un esprit avant d'être une femme. Son regard reflétait la clarté de son âme. Elle me consultait sur tout à tous moments. Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants Passés à raisonner langue, histoire et grammaire, Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère Tout près, quelques amis causant au coin du feu!
Elle avait pris ce pli... Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin; Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère; Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père; Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant, Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée, Et mainte page blanche entre ses mains froissée Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers. Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts, Et c'était un esprit avant d'être une femme. Son regard reflétait la clarté de son âme. Elle me consultait sur tout à tous moments. Oh! Pensez-vous que la poésie de victor hugo, dans les... | Etudier. que de soirs d'hiver radieux et charmants Passés à raisonner langue, histoire et grammaire, Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère Tout près, quelques amis causant au coin du feu!
Aux yeux la brume est comme un voile évanescent Fluide et rassurante elle est aussi légère, Les silhouettes, contours estompés, tremblotants, Mâts et voiles semblent léviter sur la mer. Dans le brouillard pas de bruit ni de mouvement, Les sons y sont étouffés, plus qu'atténués, Les choses ne se voient qu'au tout dernier moment On s'y déplace contraint et exténué. Même les mots nous montrent la différence, Brouillard étant bien moins amène que brume, Il se coupe au couteau, elle est transparence. Brume diffuse, brouillard et amertume. Le Soleil à lui seul dissipe la brume, Associé au vent le brouillard il chasse mieux, Et le jour prend le dessus sur ce qui fume, Tout ce qui nous entoure devient lumineux, Nous sommes tels les navires dans le brouillard, Lumières allumées, sirène hurlante, Nous avançons mains tendues nous fiant au hasard, Le passé est repère dans la déferlante. Notre avenir nous semble souvent bien trouble, Parfois on distingue, trop souvent aveugles, Les yeux grands ouverts on fini par voir double, Et nous avançons vers la corne qui beugle.
Autour de nous, la nature se parait de couleurs nouvelles, et les restes de brouillard semblaient fondre et s'évaporer au dessus de l'eau. Pas facile de voler des chevaux Per Petterson Il se mit à ramer vers la côte, qu'il distinguait confusément à travers le brouillard et la pluie. le rivage était loin, mais pas aussi loin que celui vers lequel Kate Rashid était partie. Midnight runner Jack Higgins L'homme est celui qui avance dans le brouillard. Mais quand il regarde en arrière pour juger les gens du passé il ne voit aucun brouillard sur leur chemin. [] l'homme voit le chemin, il voit les gens qui s'avancent, il voit leurs erreurs, mais le brouillard n'est plus là. [] Ne pas voir le brouillard sur le chemin [], c'est oublier ce qu'est l'homme, oublier ce que nous sommes nous-mêmes. Les testaments trahis - Kundera L'homme est celui qui avance dans le brouillard. Les testaments trahis. - Milan Kundera Si brouillard vient après beau temps, Qu'il se lève en laissant nuage; De beau il vient en mauvais temps Et bourrasque de long tapage.
- Proverbe français ce doute anxieux qui monte comme un brouillard « lord jim », joseph conrad, folio, nº 1403, 1982, p. 71 Joseph Conrad La tour Eiffel grelottait dans le brouillard, on distinguait à peine ses pieds humides dans les flaques qu'un fin crachin agrandissait lentement Un avion sans elle Michel Bussi Des enseignes au néon ondulaient comme de brillantes couleuvres électriques dans le brouillard nacré. Rock machine Norman Spinrad Le temps et mon humeur ont peu de liaison j'ai mes brouillards et mon beau temps au-dedans de moi. The heart of pascal, Éd. cup archive, 1945 Blaise Pascal Finalement les trois soleils boulèrent vers le zénith et le brouillard commença à se dissiper, tourbillonnant et s'effilochant, laissant apparaître des étendues irrégulières de terre et de fleuve. Asutra Jack Vance La cachette fut terminée aux premières heures de l'aube. C'était une aube mauvaise de septembre, mouillée de pluie: les pains flottaient dans le brouillard, le regard n'arrivait pas jusqu'au ciel.
Le brouillard me fait peur! Et ces phares – yeux hurlant de quels monstres Glissant dans le silence. Ces ombres qui rasent le mur Et passent, sont-ce mes souvenirs Dont la longue file va-t-en pèlerinage? … Le brouillard sale de la Ville! De sa suie froide Il encrasse mes poumons qu'a rouillés l'hiver, Et la meute de mes entrailles affamées vont aboyant En moi Tandis qu'à leurs voix répond La plainte faible de mes rêves moribonds.
Elles te berceront, elles t'endormiront, à leur danse, à leur chant. — Mon père, mon père, et ne vois-tu pas là-bas Les filles du roi des aulnes à cette place sombre? — Mon fils, mon fils, je le vois bien: Ce sont les vieux saules qui paraissent grisâtres. — Je t'aime, ta beauté me charme, Et, si tu ne veux pas céder, j'userai de violence. — Mon père, mon père, voilà qu'il me saisit! Le roi des Aulnes m'a fait mal! » Le père frémit, il presse son cheval, Il tient dans ses bras l'enfant qui gémit; Il arrive à sa maison avec peine, avec angoisse: L'enfant dans ses bras était mort. Quel est ce cavalier qui file si tard dans la nuit et le vent? C'est le père avec son enfant; Il serre le petit garçon dans son bras, Il le serre bien, il lui tient chaud. « Mon fils, pourquoi caches-tu avec tant d'effroi ton visage? — Père, ne vois-tu pas le Roi des Aulnes? Le Roi des Aulnes avec sa traîne et sa couronne? — Mon fils, c'est un banc de brouillard. — Cher enfant, viens, pars avec moi! Je jouerai à de très beaux jeux avec toi, Il y a de nombreuses fleurs de toutes les couleurs sur le rivage, Et ma mère possède de nombreux habits d'or.
Nous irons vers les îles de beauté où les femmes Sont belles comme des arbres et nues comme des âmes; Nous irons vers les îles où les hommes sont doux Comme des lions, avec des cheveux longs et roux. Viens, le monde incréé attend de notre rêve Ses lois, ses joies, les dieux qui font fleurir la sève Et le vent qui fait luire et bruire les feuilles. Viens, le monde innocent va sortir d'un cercueil. Simone, mets ton manteau et tes gros sabots noirs, Nous irons vers les îles où il y a des montagnes D'où l'on voit l'étendue paisible des campagnes, Avec des animaux heureux de brouter l'herbe, Des bergers qui ressemblent à des saules, et des gerbes Qu'on monte avec des fourches sur le dos des charrettes. Il fait encore soleil et les moutons s'arrêtent Près de l'étable, devant la porte du jardin, Qui sent la pimprenelle, l'estragon et le thym. Nous irons vers les îles où les pins gris et bleus Chantent quand le vent d'ouest passe entre leurs cheveux. Nous écouterons, couchés sous leur ombre odorante, La plainte des esprits que le désir tourmente Et qui attendent l'heure où leur chair doit revivre.
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