pakdoltogel.net
> Que-faire/randonnee Rhône Alpes Savoie Aillon le Jeune Le sentier des tannes et glacières du Margériaz Le sentier des tannes et glacières du Margériaz à Aillon le Jeune, carte de la boucle de randonnée pédestre Le sentier des tannes et glacières du Margériaz Place à Baban Aillon le jeune Aillon le Jeune Le plateau calcaire du Margériaz regorge de trous appelés tannes: un paysage souvent étrange, toujours spectaculaire, qui se transforme encore sous nos yeux. Découvrez l'évolution de ce paysage, grâce aux 9 haltes qui jalonnent le parcours Proposé par: Grand Chambéry Alpes Tourisme. Ces informations ont été mises à jour le: 17/04/2022. Crédit Ⓒ Grand Chambéry Alpes Tourisme Sur place: 1327 Si vous êtes sur place, ou si vous y êtes allé pourriez vous nous poster une photo pour Le sentier des tannes et glacières du Margériaz? Nous aimerions améliorer la qualité de cette page et mieux informer les visiteurs comme vous, pourriez vous poster une photo pour Le sentier des tannes et glacières du Margériaz, cela prend quelques secondes, c'est libre et gratuit et ce serait très sympa, Merci!
Loisirs sportifs Le sentier des tannes et glacières du Margériaz Aillon-le-Jeune De la Place à Baban monter dans la forêt en suivant le logo du sentier de découverte, on traverse un dédale rocheux. Au point 4, sur le Grand Raffou 1590m (Refou sur la carte IGN) il est possible de bifurquer sur les chalets de la Bergerie pour suivre la petite boucle, sinon le parcours amène vers la crête pour offrir une vue panoramique sur les sommets environnants. Au point 6 du balisage le sentier de découverte se poursuit à la descente, mais vous pouvez aussi prolonger jusqu'à la crête puis jusqu'au sommet (100m de dénivelé supplémentaire). Par un aller-retour reprendre l'itinéraire découverte que l'on suit à la descente pour arriver à proximité des chalets du Margériaz. Le sentier rejoint la forêt, passe à côté de la Tannes aux cochons (spéléorando: c'est une initiation à la spéléologie où il est recommandé d'être accompagné d'un guide) et différents gouffres puis rejoint le point de départ. Possibilité aussi d'une boucle plus courte: 200 m de dénivelée (2h AR) Un livret d'interprétation est en vente dans les points d'accueil au tarif de 2.
La montée n'est pas difficile, mais ce sont tout de même 560 mètres de dénivelé à absorber, depuis Les Chavonnes. L'itinéraire est en sous-bois le plus souvent. En revanche, après la forêt, une partie terreuse est plus raide à franchir. La fin du sentier sous le col ne pose pas de difficulté. Un peu à l'écart, le col de la Verne (1 520 mètres) dégage des points de vue déjà saisissants sur les Bauges. Le paysage va très loin sur les premiers sommets avec le mont Peney, la Chartreuse avec le Granier et le mont Joigny. Impressionnantes vues. Vous avez le choix de descendre par la combe de la Verne, qui rejoint le sentier montant à la pointe des Torchets et vous ramène par Rocquerand à Aillon-le-Jeune plus rapidement. Mais la randonnée serait incomplète si vous ne tiriez pas le bénéfice de l'effort de montée, sans rejoindre le plateau du Margériaz. Encore 130 mètres de dénivelé pour continuer le GRP du massif des Bauges (jaune-rouge), que vous suivez depuis le début. Après une montée soutenue sur quelques hectomètres, le sentier devient agréable et dégage en permanence des points de vue sur la falaise du Margériaz, toujours impressionnants.
Le plateau calcaire du Margériaz regorge de trous appelés "tannes": un paysage souvent étrange, toujours spectaculaire, qui se transforme encore sous nos yeux. Découvrez l'évolution de ce paysage, grâce aux 9 haltes qui jalonnent le parcours De la Place à Baban monter dans la forêt en suivant le logo du sentier de découverte, on traverse un dédale rocheux. Au point 4, sur le Grand Raffou 1590m (Refou sur la carte IGN) il est possible de bifurquer sur les chalets de la Bergerie pour suivre la petite boucle, sinon le parcours amène vers la crête pour offrir une vue panoramique sur les sommets environnants. Au point 6 du balisage le sentier de découverte se poursuit à la descente, mais vous pouvez aussi prolonger jusqu'à la crête puis jusqu'au sommet (100m de dénivelé supplémentaire). Par un aller-retour reprendre l'itinéraire découverte que l'on suit à la descente pour arriver à proximité des chalets du Margériaz. Le sentier rejoint la forêt, passe à côté de la Tannes aux cochons (spéléorando: c'est une initiation à la spéléologie où il est recommandé d'être accompagné d'un guide) et différents gouffres puis rejoint le point de départ.
On parle alors d'ouvala. Les lapiaz de Margériaz Le massif karstique du Margeriaz est composé d'une dalle monoclinale urgonienne inclinée vers l'Est. Elle culmine à 1845 m. Le lent travail d'érosion de la roche calcaire par l'eau modèle le paysage. Les lapiaz à crêtes aiguisées sont ceux qui ont évolués à découvert. Les lapiaz formés sous couverture forestière sont à crêtes émoussées. Tout au long de la montée, les lapiaz sont nombreux. Il y en a vraiment beaucoup. Vous pouvez aussi en voir beaucoup au Parmelan au dessus d'Annecy. Plus haut, sur le stade de neige de Margériaz, les aménageurs de la station ont essayé au mieux de minimiser les effets des minages et terrassements qui ont modifié l'alpage. Concassage de surface puis ré-engazonnement après apport de terre ont été nécéssaires pendant plusieurs années. La photo ci-contre a été faite le 18 mai 2014. La neige entre les rochers est encore d'une sacrée hauteur. L'arche et la névière du Pont de Pierre. Sur le sommet du stade de neige de Margériaz, le pont de pierre est un puits de 14 mètres sur 10 mètres de large et 10 mètres de profondeur.
Crêtes du Margériaz par les tannes et glacières, dimanche 31 Janvier 2021. Simple comme... Margériaz. Et encore une fois, on jouit d'une chance inouïe! Après une semaine de déluge qui a affolé le BERA, monté à 5 quand même, s'il vous plait, quelques heures de soleil entre deux dépressions nous permettent d'aller nous rouler dans la neige. Après les cuchons de neige qui sont tombés et ceux à venir, on ne va pas aller chercher la grande pente, encore une fois. Alors quoi de mieux que de profiter des grands espaces du Margériaz, de sa somptueuse forêt dense, et des panoramas géants? Le choix fut judicieux. C'était absolument fantastique. Un ciel de malade... Ce bleu profond et limpide à la fois, comme lavé par le déluge de la semaine, une forêt meringuée, une neige poudreuse et profonde scintillante au soleil, et l'astre du jour brillant et chaud! Ah oui, ce fut juste bien, juste beau. La course avec le brouillard a mis un peu de piquant à cette courte balade. Mais il a gagné (étonnant non?