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La session d'assises relative au meurtre de Michel Lenard permettra à la justice de «tester» la fonctionnalité de cette salle hors normes, avant le procès tant attendu des auteurs présumés des attaques du 22 mars 2016.
Publié le dimanche 29 Mai 2022 à 07h18 Joe Biden se rend dimanche dans la ville texane d'Uvalde, cinq jours après la tuerie dans une école primaire, pour apporter toute son empathie aux proches endeuillés par cette fusillade qui a choqué l'Amérique et relancé le débat sur les armes à feu. ISOPIX « On ne peut pas rendre les drames illégaux, je le sais. Mais on peut rendre l'Amérique plus sûre », a plaidé samedi le président des Etats-Unis, regrettant que « dans tant d'endroits, tant d'innocents soient morts ». Baisse ma fille sur. Dix-neuf enfants et deux enseignantes ont péri mardi dans l'école Robb d'Uvalde sous les balles de Salvador Ramos, 18 ans à peine, l'une des pires fusillades des dernières années dans le pays. Le démocrate de 79 ans, qui a lui même perdu deux de ses enfants -- sa fille encore bébé dans un accident de voiture, et un fils adulte suite à un cancer - –, avait évoqué sa propre souffrance peu après la tuerie. « Perdre un enfant, c'est comme si l'on vous arrachait une partie de votre âme », avait-il dit mardi.
Bien que le Maroc soit réputé un pays à vocation agricole, la production des denrées alimentaires reste à désirer avec seulement 55% des besoins en céréales qui sont couverts par la production locale. Et les importations céréalières ont atteint environ 66 Millions de Qx, durant la campagne agricole. Baisse ma fille. En 2022-2023, les experts américains prévoient l'augmentation des importations de blé vers le Maroc d'environ 9%, l'équivalent de 6 millions de tonnes par rapport à l'année en cours. D'autant plus que les céréales constituent l'une des principales filières de la production agricole au Maroc. Et eu égard aux prix moins chers et aux fournisseurs habituels et alternatifs de grande production, notamment l'UE, l'Australie, l'Amérique de Sud, l'Ukraine et la Russie, le Maroc préfère importer ses besoins complémentaires en blé. En plus, les importations de blé provenant de l'Ukraine et de la Russie ne représentent que 24% des besoins en céréales du Maroc.