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Un étudiant avec 500 dollars envoyés par ses parents, pourra à peine vivre à Paris. Son appart (avec chiottes à l'extérieur) lui coûtera 380 euros, disons. En vendant son cul pour 400/mois, il pourra survivre. Au Québec, évidemment, c'est pas le même délire. Maintenant, viens voir comment on vit avec 4000 euros/mois à Paris ou à Calgary, et je te promets que ton avis sur ce classement s'en trouvera affiné. Le Jam (Le Grand Leader) Admin Nombre de messages: 7320 Age: 21 Date d'inscription: 22/03/2007 Sujet: Re: Richesse et Qualité de vie, Montréal devant Paris! Mer 10 Sep 2008 - 11:29 Pour avoir été à Calagary 2 fois, je voudrais vraiment pas y vivre. Je lui préfèrerais Vancouver ou même LA. Je crois le problème de Paris réside en quelques points simples: 1) Encombrement dans les transports, grèves des transports en commun, embouteillages (merce Delanoe) etc... 2) Bruit, entassement, "écologie" de vie de médiocre qualité, manque d'espace verts de grande ampleur en centre ville. 3) Coût de la vie.
Selon les conclusions du rapport Comparer Montréal, rendu public mardi, bien que Montréal ait plusieurs faiblesses en matière d'économie, c'est sur la qualité de vie qu'elle peut se rattraper. Dans la métropole québécoise, les logements sont abordables, la criminalité est faible et l'offre de transport est diversifiée, ce qui la distingue avantageusement des 14 autres grandes villes à l'étude. Issu d'un partenariat entre le Conference Board du Canada et HEC Montréal, l'Institut du Québec est un groupe de réflexion qui axe ses travaux sur les enjeux socioéconomiques auxquels la province fait face. Le point faible: l'économie Sur les questions d'économie, Montréal a du mal à se démarquer. Même si les années 2016 et 2017 ont été très positives économiquement pour Montréal, la métropole québécoise s'est retrouvée en 2016 au 14e rang sur 15 pour l'activité économique. Pour ce qui est de la croissance économique, Montréal a monté de deux rangs de 2014 à 2016, mais elle se situe tout de même en 13e position, ex aequo avec Philadelphie.
«On était en mission économique récemment à Paris et à Barcelone. Les arguments que nous allons mettre de l'avant pour convaincre les gens à venir travailler ici comportent entre autres choses la qualité de vie. Les gens voudront savoir quelle est la qualité des logements, la rapidité des transports, la qualité des infrastructures et j'en passe», explique M. Bernard. Au niveau du transport en commun, Montréal tire bien son épingle du jeu, dit-il. «Mercer a aussi publié cette année une étude sur les infrastructures et on remarque Montréal devant Toronto à ce sujet. Des projets comme le développement du métro, la construction d'un nouveau pont Champlain ou d'un nouvel échangeur Turcot, qui vont aider à la fluidité des transports, feront en sorte que Montréal pourra se démarquer au cours des prochaines années», croit M. Bernard.
« En plus des attouchements non désirés, il y a la crainte d'être contaminée [par le coronavirus] qui s'ajoute, parce que là on ne respecte plus la distance », laisse tomber l'organisatrice communautaire. Dès l'enfance Plusieurs femmes subissent d'ailleurs du harcèlement de rue depuis l'enfance, note l'étude. « Je suis presque désensibilisée parce que ça m'arrive depuis que j'ai 12 ans de toutes sortes de manières », raconte Angelina Guo, une résidente de Longueuil aujourd'hui âgée de 19 ans. Souvent, quand elle fait du jogging dans la rue, « elle se fait suivre », notamment par des automobilistes qui n'hésitent pas à « klaxonner » en passant près d'elle. « Il y a quelques semaines, il y a un garçon qui a commencé à courir à côté de moi pendant cinq minutes et j'ai dû terminer ma course plus tôt parce qu'il n'arrêtait pas de me suivre », confie-t-elle également. « C'est vraiment désagréable », ajoute la jeune femme, qui « fait exprès de ne pas courir le soir pour minimiser les risques ».
L'enquête de Mercer est menée chaque année afin d'aider les multinationales et d'autres entreprises à établir une rémunération équitable pour les employés qu'elles affectent à l'étranger. Source: TVA Nouvelles
«C'est sûr qu'on ne peut pas encore percevoir les aiguilles bouger beaucoup. Ça va prendre beaucoup d'années comme ça avant qu'on arrive à faire monter Montréal dans le classement», a observé M. Côté. «Ce que Montréal peut faire, c'est de continuer la stratégie déjà amorcée, c'est-à-dire attirer des investisseurs, mais attirer aussi des talents, donc des gens qui ont un espace ou un talent particulier. » Des améliorations aussi Le bilan de la métropole s'améliore quelque peu en ce qui concerne l'attractivité, l'innovation et le capital humain — qui prend notamment en compte la proportion d'habitants détenant un baccalauréat et l'intégration des immigrants sur le marché du travail. Sur ces derniers points, les chercheurs constatent que les avancées ne sont pas suffisantes: Montréal se classe 14e. «Bien que depuis 2013, il y ait plus de Montréalais âgés de 25 à 64 ans qui détiennent un diplôme universitaire, cette hausse de 1, 4% dépasse seulement le taux de croissance observé à Minneapolis, Saint-Louis et Phoenix», indiquent-ils.
Quant à l'innovation, les résultats sont acceptables, selon le rapport, mais Montréal aurait le potentiel d'aller beaucoup plus loin, est-il écrit. —– D'autres observations du rapport «Comparer Montréal» — Montréal est en 15e place quant au revenu disponible par habitant, qui était de 28 600 $ en 2016. Toronto et Vancouver arrivent tout juste devant, en 14e et 13e place. «Notons, toutefois, que lorsque l'on tient compte des dépenses privées de santé par habitant des deux côtés de la frontière, l'écart entre les autres villes canadiennes et américaines diminue de façon significative. » — La métropole dépasse Philadelphie, Boston et Pittsburgh quant à la croissance du nombre de permis de construction. «En moyenne mobile sur trois ans, la croissance du nombre de permis octroyés est passée de -7, 7 pour cent à 5, 8 pour cent. » — Montréal est au dernier rang des villes quant à la population vivant sous le seuil de la pauvreté; ce pourcentage est passé de 13, 3 pour cent à 18, 9 pour cent en 2016.