pakdoltogel.net
II- Une scène épique Dans cet extrait, Zola a recours à de nombreux procédés afin de donner une tonalité épique à la scène. La métaphore guerrière Procédé épique par excellence, elle donne à la vente l'allure d'un événement extraordinaire. ] De fait, il débute par la disparition progressive des clientes (Lentement, la foule diminuait, ligne et s'achève par l'expansion, elle aussi progressive, des marchandises.
Jean apparaît comme un garçon coureur, ce qui sera confirm& par la suite ce qui aggravera la situation de Denise - décalage entre les différentes catégories sociale: clientèle riche/bourgeoise venant dans le magasin - personnage sensiblz et influençable qui souffrira de la dureté des autres Conclusion: Cet incipit dépasse la simple description réaliste en montrant la puissance du magasin. Il remplit plusieurs donctions en présentant le sujet, les personnages et le cadre. Etude du grand magasin d'Au Bonheur des Dames d'Emile Zola. En effet, fondé sur un suspense et contraste, ce qui donne envie au lecteur d'en savoir plus. Cette originalité sera maintenue dans tout le roman ave cune tension entre le monde du commerce et les différents personnages liés à lui. Ouverture sur la suite du roman.
C'était, à l'encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d'octobre. Huit heures sonnaient à Saint-Roch, il n'y avait sur les trottoirs que le Paris matinal, les employés filant à leur à bureaux et les ménagères courant les boutiques. Devant la porte, deux commis, montés sur une échelle double, finissaient de pendre des lainages, tandis que, dans une vitrine de la rue Neuve-Saint-Augustin, un autre commis, agenouillé et le dos tourné, plissait délicatement une pièce de soie bleue. Le magasin, vide encore de clientes, et où le personnel arrivait à peine, bourdonnait à l'intérieur comme une ruche qui s'éveille. - Fichtre! dit Jean. Ça enfonce Valognes... Lecture analytique au bonheur des dames emile zola. Le tien n'était pas si beau. Denise hocha la tête. Elle avait passé deux ans là-bas, chez Cornaille, le premier marchand de nouveautés de la ville; et ce magasin, rencontré brusquement, cette maison énorme pour elle, lui gonflait le cœur, la retenait, émue, intéressée, oublieuse du reste.