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Le Seigneur ne nous demande pas des actes héroïques mais une petite Foi, un peu de confiance malgré tout. Comme pour la femme hémorroïsse, c'est la foi qui touche notre Seigneur, même par derrière, même sans son consentement explicite. Notre foi et notre espérance touchent Dieu Notre Père dans ces entailles de miséricorde et le forcent à agir. La foi et l'espérance sont comme un doux entêtement, une obstination amoureuse qui s'appuient sur le don premier de Dieu, celui de la vie, et sur la promesse réalisée en Jésus-Christ, celle de la vie vainqueur de la mort. Sports | Tour d'Italie: Démare ouvre le compteur français sur le Giro | La Provence. Désespérer, c'est dire que le Seigneur ne peut plus rien pour nous, que les dons qu'il nous fait, il ne peut les mener à leur achèvement. Or « si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous? ». Espérer contre toute espérance, c'est confesser que nous croyons que Dieu Notre Père fera jaillir la vie là où nous pensions que la mort pouvait vaincre. De la création à la résurrection, dans la vie de Jésus et de tant de saints, le Seigneur nous a bien révélé que jamais la mort n'aura le dessus sur la vie.
» Aujourd'hui encore, abattus par la fièvre de notre cœur, paralysés par nos retours sur nous-mêmes, dévitalisés par notre manque de foi, nous entendons deux mots d'espoir: « Lève-toi! ». C'est la voix de Jésus qui pardonne. Et aussitôt, pour nous rendre des forces, il nous invite à sa table. Fr. Jean-Christian Lévêque, o. c. d.
Après la communion, on chantera plutôt Sous le regard de Dieu D 575 (Vn 78). Jean-Marc Benejean, diocèse de Perpignan
La grâce qui sort du Christ est renouvellement du don de la vie. Toutes nos prières de demande, et nos recherches spirituelles doivent s'appuyer sur cette conviction inébranlable que Dieu Notre Père veut pour nous la vie. S'il nous a créés, s'il nous a sauvés, c'est bien pour nous donner la vie, et nous accorder une vie pleine et entière. Avec le Seigneur, il n'y a jamais d'impasse totale, d'échec absolu. Certes nous pouvons être ébranlés intérieurement et au plus profond de nous-mêmes par les attaques des forces de mort, comme les décès, la maladie, l'exclusion, les ruptures, la peur. Mais nous ne pouvons douter ni du projet de vie du Seigneur, ni de sa capacité à le réaliser, quelques fois selon un dessein qui nous échappe. Délation sous l'Occupation : France 2 adapte l'enquête de Laurent Joly. Sa victoire finale est celle de la résurrection. Les récits évangéliques lus aujourd'hui veulent nous conforter dans notre démarche de foi, et la Passion - Résurrection du Christ ratifie cette Foi dans le don de la vie pour chacun. Au plus profond de la nuit de sa Pâque, le Christ crie: « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?
Sa foi, elle l'a traduite à sa manière. Les braves gens, à l'époque, pensaient que le pouvoir des guérisseurs irradiait de leurs personnes dans leurs vêtements ou même dans leur ombre. L'important, pour elle, c'était de toucher Jésus; l'important, pour Ya'ir, c'était de dire à Jésus: « Viens vite imposer les mains à ma petite fille. » Quant au centurion de Capharnaüm, il disait à Jésus: « Dis seulement un mot, une parole, là où tu es, et mon serviteur sera guéri, là où il est ». Il y a bien là trois expressions différentes de la foi, trois niveaux de confiance en Jésus, mais Jésus répond toujours, dès lors que la foi est sincère et prête à l'audace. « Ma fille, ta foi t'a sauvée. Va en paix, sois guérie de ton mal ». Déjà la femme avait senti en elle que le mal était stoppé; elle sait maintenant, sur la parole de Jésus, que sa guérison est définitive. Pendant ce temps, dans la maison de Ya'ir, la petite est morte. 13e dimanche du temps ordinaires. Et des proches de Ya'ir viennent lui dire: « Maintenant, c'est fini; ce n'est plus la peine d'importuner le Maître… » Il est donc évident pour eux que Jésus, même Jésus, ne peut plus rien pour la petite.
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