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Par Natacha Marbot | Publié le 22/05/2022 à 17:45 | Mis à jour le 22/05/2022 à 17:45 Employé par une ONG humanitaire ivoirienne, Nathan Sologny a vécu 2 an en Côte d'Ivoire, entre Abidjan et Abengourou. De son expérience très riche et particulière, il a publié Quelque chose de Côte d'Ivoire aux éditions Nanika en 2018. Nathan Sologny a accepté de raconter au la genèse de ce livre. Qu'est ce qui vous a donné envie d'écrire Quelque chose de Côte d'Ivoire? D'une certaine manière, j'avais commencé à l'écrire avant même que ce soit véritablement un projet. J'écrivais une sorte de journal destiné à mes amis et à ma famille sur mon quotidien et mes aventures en Côte d'Ivoire. Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo.. J'avais besoin de la forme écrite pour pouvoir raconter ce qu'est la Côte d'Ivoire. Quand on me demandait de raconter à l'oral la Côte d'Ivoire j'en étais incapable. De fil en aiguille, ce journal à été porté à la connaissance des éditions Nanika, une maison d'édition en cours de création, qui m'a d'emblée proposé une collaboration et j'étais partant!
Il salue "l'une des fondatrices de l'art du pochoir", estimant que "les murs du 13e (arrondissement, ndlr) ne seront plus jamais les mêmes". Hotel famille tokyo.ac.jp. Son confrère de 65 ans, Jef Aerosol, a quant lui pleuré sur Instagram sa contemporaine, qui "s'est battue contre la maladie avec tant de courage", évoquant "tant de moments partagés depuis le début des années 80". "Ses pochoirs devenus iconiques, résolument féministes, continueront longtemps à poétiser nos rues", a réagi sur Twitter la nouvelle ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, célébrant "une grande artiste". Née d'un père immigré tunisien et d'une mère normande, Radhia Novat, de son vrai nom, commence à imprimer son art en 1985 dans les rues de la Butte-Montmartre -- où elle a grandi --, du Marais, de Montorgueil et de la Butte-aux-Cailles, après un séjour en Californie. "Je venais du théâtre de rue, j'aimais cette idée de l'art dans la rue", expliquait en 2011 à l'AFP cette femme au teint mat, qui a emprunté son pseudonyme à la sorcière Miss Tick de "La bande à Picsou".