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Julien Dupré (1851 - 1910) Résumé Artiste(s) Dupré Julien auteur Paris, Ile-de-France (France), 1851 - Paris, Ile-de-France (France), 1910 Autres numéros d'inventaire Numéro d'inventaire sans 111 sans n° d'inventaire Dimensions avec cadre H. 56; L. 170 faucheuses arrière simples ou en combinaison | Réussir machinisme. 45 cm Informations complémentaires Lieu de conservation mairie de Combourg Organisme déposant musée d'Orsay Historique - Provenance mode d'acquisition inconnu jusqu'en 1929, au musée du Luxembourg 1929, déposé à la Mairie de Combourg (arrêté du 21 octobre 1929, entrée matérielle le 2 décembre 1929 - registres 2 HH 23 et 2 HH 59) attribué au musée du Louvre 1986, affecté au musée d'Orsay Modalité d'acquisition Indexation A propos de cette notice Une suggestion? Vous avez une question ou vous avez des connaissances supplémentaires sur cette œuvre? Vous pouvez nous écrire pour suggérer des améliorations à apporter à la notice de l'oeuvre. Faire une suggestion Autres oeuvres de l'auteur
Les seigles vont se couper la semaine prochaine. On ne devrait glaner qu'avec un certificat d'indigence donné par le maire de la commune, et surtout les communes ne devraient laisser glaner sur leur territoire que leurs indigents; mais les communes d'un canton glanent les unes chez les autres, sans certificat. Les Paysans, Édition Charles Furne, 1845,, p. 542 » ↑ a et b Alfred Sensier, La Vie et l'œuvre de J. -F Millet, A. Quantin, 1881 ↑ Nos Artistes au Salon de 1887, p. 103. ↑ Guy Duplat, « Banksy au musée », La Libre Belgique, 17 juin 2009. ↑ (en) Paul Mitchell, « Britain: The strengths and limitations of Banksy's "guerrilla" art », World Socialist Web Site, 10 septembre 2009. Les faucheuses tableau desktop. Voir aussi Bibliographie Laurent Manœuvre, Millet - Les Saisons, Le Musée miniature - Herscher, Paris, 1996 Geneviève Lacambe, Henri Soldani et Bertrand Tillier, L'ABCdaire de Millet, Flammarion, 1998 Article connexe Glanage Liens externes Ressources relatives aux beaux-arts: Google Arts & Culture Joconde Musée d'Orsay Salons 1673-1914 Notice n o 000PE002031, base Joconde, ministère français de la Culture
Les paysages de Les faucheurs de luzerne, bien qu'imaginaires dans la plupart des cas, s'inspirent de la campagne picarde dans la région de Saint-Quentin et de Nauroy. Voir le site de Julien Dupré par Howard Rehs Peintres et Sculpteurs [ Haut de la page]
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Ces pauvresses ne me touchent pas; elles ont trop d'orgueil, elles trahissent trop visiblement la prétention de descendre des sibylles de Michel-Ange et de porter plus superbement leurs guenilles que les moissonneuses du Poussin ne portent leurs draperies. Sous prétexte qu'elles sont des symboles, elles se dispensent de couleur et de modelé. Ce n'est pas ainsi que je comprends les représentations de la misère, « chose sacrée », dit le poète latin, — sacrée et naive. L'art doit la peindre sans emphase, avec émotion et simplicité. Il me déplaît de voir Ruth et Noémi arpenter, comme les planches d'un théâtre, le champ de Booz. Les faucheuses tableau peinture. » — Paul de Saint-Victor [ 2] « Millet peint avec une austère simplicité des sujets simples. Quoiqu'il étudie la nature d'assez près pour savoir le fin du fin, il ne se laisse pas aller au péché mignon des observateurs subtils; il échappe à la tentation de tout dire à la fois, et vous ne trouverez jamais chez lui cette multiplicité d'intentions, ce caquetage de détails qui fatigue dans les œuvres de M. Meissonier.